Lorsque quelqu'un est en deuil de l'être aimé, ce qui semble primordial, c'est d'avoir la faculté de parler du défunt, d'exprimer sa peine et sa douleur à sa façon. Pour celui qui reste, il est important d'être aidé et entouré dans le respect qu'il mérite et en fonction de ses envies.
Comment ne plus aimer sans être aimé : accepter la réalité
Parfois, vous vous rendez compte bien trop tard que vous vous berciez d'illusions. Le plus difficile à faire donc est d'accepter le fait que la personne aimée ne vous aime pas. Pour y parvenir, ne vous fiez pas à votre jugement faussé par les sentiments.
Le deuil compliqué est caractérisé par une perturbation du travail de deuil qui ne s'engage pas ou qui ne parvient pas à son terme. Le deuil pathologique est caractérisé par la survenue de troubles psychiatriques durant la période du deuil.
Vous vous sentez particulièrement seul même en présence d'autrui. Votre état de tristesse prend tout l'espace dans votre vie. Vous faites face à des pensées répétitives, intrusives et douloureuses en lien avec ce que vous avez perdu.
On l'oublie souvent : le deuil met aussi le corps à rude épreuve. A la fatigue s'ajoute parfois l'épuisement des années d'accompagnement du proche malade.
Prendre soin de soi, de son corps, savoir se donner les moments de repos nécessaires, et le temps qu'il faut, fût-ce des mois, constitue la première manière de traverser le deuil. Cette fatigue physique s'associe à une fatigue psychomotrice.
Pour cela, les deux scientifiques et plusieurs autres de leurs collègues pro-pathologisation du deuil, préconisent l'utilisation de la naltrexone, médicament actuellement utilisé pour traiter les dépendances à l'alcool et aux opioïdes.
L'absence de deuil ou le deuil-non-fait en est une complication grave à l'origine de désordres somatiques et psychologiques et d'une entrave au bon développement psychique chez l'endeuillé et même sa descendance.
La durée d'un deuil est très variable, suivant la souffrance de la personne. Elle peut s'étendre de plusieurs semaines à plusieurs mois ou même plusieurs années. Néanmoins quand le deuil fait suite à la perte d'un proche, la première année est souvent décisive afin de revisiter toutes les grandes dates anniversaire.
Pour envoyer de la lumière à un défunt vous pouvez : Visualisez la personne défunte, souriante, heureuse et entourée d'une belle lumière protectrice. Dites-lui que vous l'aimez. Dites lui comme vous souhaitez qu'il aille bien, qu'il soit heureux.
Il vous parle sans but particulier, juste au hasard pour vous demander conseil, parler de tout et de rien et poser des questions - qu'il aurait pu poser à Google - mais juste parce que c'est à vous qu'il veut parler. Une façon de vous faire comprendre subtilement qu'il ne peut déjà plus se passer de vous.
Il ne m'aime plus : accepter le changement
Une phase importante pour reprendre confiance et avancer est d'accepter ce qu'il se passe. Accepter qu'il est possible qu'il revienne vers vous, comme il est possible qu'il ne revienne pas. C'est douloureux, mais c'est la vérité, et je suis de tout cœur avec vous.
Tranxène, Lysanxia, Lexomil, Xanax, Valium… sont recommandés pour calmer les troubles de l'angoisse ou de l'anxiété.
La première des fleurs à choisir pour accompagner le deuil est bien sûr STAR OF BETHLEHEM (l'Etoile de Bethléem). C'est LA fleur qui soigne et panse tous les chagrins liés à un choc émotionnel. Elle permet de ne plus se sentir paralysé par la douleur, et de moins se laisser envahir par la souffrance.
« Recevez mes très sincères condoléances. Mes pensées vous accompagnent vous et votre famille dans cette épreuve. » « Puissiez-vous accepter mes plus profondes condoléances pour vous et votre famille. Je vous souhaite tout le soutien et la force que l'on peut espérer dans une telle situation.
Vous pouvez parler avec les morts à voix haute ou à l'intérieur de vous-même tout en effectuant un rituel. Ils peuvent être de tout ordre : avec des bougies : elles représentent la lumière, la chaleur et l'énergie. Elles se consumeront en envoyant continuellement des ondes bénéfiques à l'âme.
Accueillir totalement notre souffrance
Laisser venir la douleur qui tord ses entrailles, se laisser traverser totalement par elle, la vivre le plus profondément possible. C'est une étape indispensable pour accomplir son deuil. Plus tôt on se confronte à sa souffrance, plus tôt on s'en libère.
Traumatisme, culpabilité, maladie : le deuil pathologique
La personne endeuillée peut alors souffrir de dépression, de troubles anxieux, voire de délires ou d'hallucinations. Mais elle peut aussi contracter des ulcères, des difficultés cardiaques ou des cancers.
✓ Angoisse, réaction de sursaut exagéré (impression que la personne est sur le qui-vive) ✓ Etat anxieux (agitation ou inhibition…) ✓ Fatigue ✓ Troubles du sommeil (cauchemar, trouble de l'endormissement, réveil intempestif…) ✓ Troubles de l'appétit (de la perte d'appétit vers une suralimentation anarchique…)