l'élément modificateur ; les péripéties ; l'élément rééquilibrant ; la situation finale.
Temps du récit
La plupart des récits ont comme temps de narration le passé simple (seulement à l'écrit) ou le passé composé (écrit et oral) ; le passé antérieur, variante du passé simple, peut notamment apparaître dans des subordonnées temporelles. Certains récits ont comme temps de narration le présent.
Le terme ''incipit '' vient du verbe latin incipire= commencer. L'incipit sert à désigner le début d'un roman. On peut dégager plusieurs fonctions : Fonction n°1 : il a une valeur d'annonce et programme la suite du texte.
L'annonce de plan se situe à la toute fin de l'introduction, juste après l'exposé de la problématique. Son objectif est de présenter au lecteur la structure de la copie : on va rapidement expliquer quelles sont les grandes parties et comment elles s'articulent.
Un texte se définit, notamment, par sa structure, ou son "découpage" en différentes parties : le plan du texte est la logique qui préside à l'articulation de ces parties entre elles, afin que le texte soit cohérent. Le plan est donc la structure du contenu du texte, selon une logique démonstrative ou argumentative.
La première de couverture est la première page extérieure d'un livre. Elle est aussi appelée « plat de devant » dans le cas des livres cartonnés. Elle n'est pas numérotée et accueille généralement le titre et le nom de l'auteur de l'ouvrage.
Un bon récit sera un bon récit lorsque ceux qui l'auront apprécié, l'auront apprécié précisément parce que le travail de l'auteur aura porté ses fruits : il aura souhaité que l'on ressente telle ou telle émotion à tel ou tel moment et c'est ce que l'on ressentira.
Les péripéties sont essentiellement constituées d'actions. Elles vont donc utiliser un temps de la conjugaison adapté : le passé simple. Les péripéties sont un ensemble de situations instables : chaque rebondissement, chaque nœud, transforme cette stabilité – dans un sens comme dans l'autre.
Un récit est construit en suivant une structure déterminée par l'auteur. Traditionnellement, une séquence narrative suit cinq mouvements : la situation initiale, l'élément perturbateur ou déclencheur, les péripéties ou les actions, l'élément de résolution et la situation finale.
Le schéma narratif : exemple du chaperon rouge
Dans la situation initiale, tout va bien le petit chaperon rouge vit avec sa maman et va rendre visite à sa grand-mère. Puis arrive l'élément perturbateur et c'est bien sûr, la rencontre avec le loup. Les péripéties, c'est tout ce qui se passe dans la forêt après.
– choisir un narrateur (« je » ou « il ») ; – respecter le schéma narratif (situation initiale, élément transformateur, péripéties, résolution, situation finale) ; – enchaîner les idées de manière logique et relier les faits à l'aide de termes exprimant le temps et le lieu ; – utiliser les temps du passé ou du présent.
Il existe quatre types de plan : thématique, dialectique, analytique et comparatif.
A quoi sert-il ? Un plan, c'est un principe d'organisation des idées, des informations d'un document. C'est donc une ossature, un squelette. On le construit traditionnellement en 3 parties : introduction, développement, conclusion.
Comment annoncer le plan ? Une formule assez simple est souvent utilisée pour annoncer un plan : « Afin de répondre à la problématique posée, il serait intéressant d'étudier en premier lieu (axe I), puis en second lieu (axe II) ». L'annonce doit être explicite et claire, et suivant une certaine logique.
Comment procéder pour dégager le plan du texte ? Lisez tout d'abord le texte plusieurs fois. Puis, un crayon papier à la main, repérez les différentes articulations présentes dans le texte. Repérez également l'introduction d'idées ou de termes radicalement nouveaux, par rapport à ce qui précède.
Soignez l'écriture de la première phrase
L'écriture de la première phrase doit être un concentré du récit, et donc le refléter au maximum. La combinaison idéale serait une phrase simple et dynamique, qui incluerait quelques éléments de contexte, de suspense et/ou de caractérisation du héros.
Le narrateur omniscient est parfois appelé narrateur absent ou narrateur dieu. Le narrateur omniscient, contrairement aux narrateurs personnages, ne fait pas partie de l'histoire. Le narrateur omniscient raconte le récit à la 3e personne. Il a accès à toutes les connaissances et à l'intériorité de tous les personnages.