Le tilak, tika, ou pottu est une marque portée sur le front par des hindous. C'est une marque censée porter bonheur, apposée au cours d'une cérémonie religieuse ou en guise de bienvenue ou bien le tilak indique l'appartenance à un groupe religieux.
Marque, généralement circulaire et de couleur rouge, symbole de prospérité domestique, apposée sur le front, siège de la sagesse dans la tradition hindouiste. (Au nord de l'Inde, il est réservé aux femmes mariées ; ailleurs, chacune peut le porter tel un maquillage.)
Il symbolise la paix et la pureté. En Inde, le blanc est la couleur du deuil. Lors d'un enterrement, chacun doit venir habillé de blanc, et les veuves revêtent également cette couleur tout le long de leur deuil.
Le bindi ne se porte pas sur une partie du corps anodine, en effet la zone entre les sourcils fait partie des centre névralgique dus corps humain. Appliquer sur cette zone des bijoux stimule l'énergie du corps.
Les piercings sont également considérés en Inde comme une marque de beauté karmique et le piercing du nez souligne en particulier le niveau de richesse élevé de celle qui le porte. Le perçage de la narine en Inde daterait du XVI e siècle et aurait initialement été utilisé pour célébrer Parvati, la déesse du mariage.
Traditionnellement, le tilak de couleur rouge est créé à partir d'une poudre de curcuma sé- chée, mélangée à de la chaux éteinte (hydroxyde de calcium), nommée kumkum. Celui de couleur blanche est obtenu en réduisant en bouillie du bois de santal.
En Inde, les défunts sont enroulés dans un linceul, placés sur un brancard surplombant un bûcher fait d'environ un tiers de tonne de bois. Les défunts sont recouverts de fleurs, et sont brûlés. Les fleurs préférées consistent en des œillets d'Inde, en raison de leur caractère sacré.
L'Inde et le Vietnam privilégient le blanc. Au Japon, les personnes en deuil portent du noir et du blanc. En effet, les japonais considèrent que le défunt se transforme en corps de lumière. La Chine se revêt de blanc, qui symbolise la mort, et de rouge, pour rappeler le sang et la douleur.
Dès le XVIème siècle, ils se mettent à voler les chevaux aux espagnols et attrapent des maladies au contact des blancs qui décime des populations. Ces indiens, se peignaient le visage ainsi que certaines parties du corps et les blancs, en les découvrant, les surnommèrent les peaux rouges.
Au féminin : une Indienne, des Indiennes.
Pourquoi le teint de Krishna est bleu ? Le teint bleu particulier à Vishnou et à ses manifestations est sans doute lié à l'association de la divinité avec l'eau. Dans l'hindouisme, la peau bleue est également associée aux êtres qui font la preuve de profondeur de caractère et d'endurance dans le combat.
Le Bindi, ou Tilak, avait donc une fonction médicale dont rend compte une composition parfaitement accordée au troisième oeil: santal jaune ou rouge, curcuma, safran, fleurs, etc., des ingrédients qui permettent de conserver une énergie puissante et vive.
Les habitants de l'Inde sont donc appelés les Indiens et les Indiennes. Mais qu'en est-il du terme Hindou ? Il s'agit en réalité du terme qui se rapporte à l'une des religions les plus pratiquées en Inde : l'hindouisme. Un hindou (ou une hindou) est donc une personne adepte de cette religion.
Le prête brahmane est le célébrant des cérémonies hindoues. Le gourou est le professeur qui possède une grande connaissance de la vie. Il guide aussi les futurs prêtes brahmanes dans leur quête d'éveil spirituel. Il n'y a cependant aucun guide spirituel dans l'hindouisme.
La dhoti — de l'hindi धोती (dhotī), parfois notée dhuti et autrefois appelée paridhana — est un vêtement à l'usage des hommes, traditionnel au Bengale et dans la vallée du Gange et qui a été adopté dans une grande partie de l'Inde. Il consiste en une pièce rectangulaire de cotonnade fine d'environ 5 m sur 1,20 m .
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures.
Le noir est toujours l'idéal ; qu'il soit traditionnel, formel ou décontracté, le noir ne vous déplaît pas lors d'un enterrement.
Ne portez jamais de couleurs vives à un enterrement. Les couleurs primaires, comme le bleu, le rouge et le jaune, pourraient être interprétées comme un manque de respect et froisser la famille du défunt.
Obturer les orifices naturels
Sous la pression des gaz, issus de la fermentation bactérienne, ces liquides peuvent refluer par ces orifices naturels. Afin d'éviter ces écoulements, il est possible à l'aide de mèches de coton, de former un tampon qui viendra faire obstacle à ces fluides.
La célébration du Quarantième jour marque le début des retrouvailles et l'acceptation de la mort (le deuil). Cet article montre que la durée de quarante jours n'est pas choisie au hasard, elle correspond à des considérations psychologiques et médicales.
Le deuil. Après l'enterrement, une tradition veut que les proches du défunt suivent un jeûne : à La Réunion, cela signifie ne pas manger de viande pendant quelque temps. Cette période varie d'une personne à une autre : elle est plus longue pour une personne très proche du défunt comme son conjoint ou ses enfants.
Le salut traditionnel indien (le namaste) consiste à joindre les deux mains sous le menton en inclinant légèrement la tête. Il est à utiliser avec précaution toutefois car la jeune génération indienne tend à utiliser de plus en plus la poignée de main en affaires.
Ne pas s'habiller de manière légère
S'il ne fallait retenir que deux conseils sur ce point c'est couvrir ses épaules et ses jambes, le contraire peut vraiment choquer les Indiens. Jupes courtes, shorts, débardeurs ou décolletés resteront sur les plages ou en boîte de nuit éventuellement.