- Manger un peu de tout au moment des repas (des légumes crus et/ou cuits, de la viande, du poisson ou des œufs, des féculents, du fromage ou un laitage et un fruit). - Limiter les aliments gras, sucrés, salés. - Avoir une activité physique régulière.
Selon une récente analyse (15) des régimes à l'adolescence, de 41 % à 66 % des adolescentes et de 20 % à 31 % des adolescents ont déjà tenté de perdre du poids.
Incitez vos adolescents à bouger : au moins une heure d'activité physique d'intensité modérée à élevée par jour pour améliorer la souplesse et l'endurance, selon ses goûts (gymnastique, danse, escalade, sports collectifs...)
Chez les garçons, la puberté commence vers l'âge de 12 ans. Ils vont grandir de plusieurs dizaines de centimètres et prendre 20 à 30 kilos en l'espace de 4 à 5 ans. Cette croissance gigantesque suffit à expliquer pourquoi ils mangent beaucoup.
Un manque d'activité physique ou trop de temps passé devant les écrans favoriserait l'obésité. C'est pourquoi pratiquer une activité sportive extrascolaire est nécessaire pour aider votre enfant à garder la forme. Ces activités aident les enfants à communiquer avec les autres et à dépenser leur trop plein d'énergie.
Diminuez votre apport calorique.
Il faut 3 500 calories pour éliminer 500 grammes. Cela signifie qu'il vous faut bruler 5 000 calories par jour pour perdre 5 kg en une semaine X Source de recherche . Soyez conscient qu'il vous faudra faire de l'exercice pour perdre 5 kilos en une semaine.
Pour maigrir du ventre à 15 ans, il est essentiel d'adopter une alimentation équilibrée et d'éviter les aliments gras comme les fast food ou les aliments industriels. Il est conseillé de manger de tout en bonne quantité et au bon moment tout en restant attentif aux besoins de son corps.
Ils grossissent, tout comme les adultes, car leurs apports caloriques sont supérieurs à leurs dépenses énergétiques. Pour beaucoup d'entre eux, cette prise de poids a commencé dès l'enfance, surtout quand les parents en souffrent aussi. Ces ados combinent alors mal-être, pression sociale et hérédité.
Mais ne lui imposez rien et ne tentez pas d'exercer un contrôle sur elle. Sinon, elle pourrait développer une relation malsaine avec son corps, avec l'alimentation… ou avec vous! Votre rôle est simplement de représenter un modèle proposant un autre mode de vie, sans rien lui dire directement.
La prise de poids à la puberté a d'abord une origine physiologique : elle est liée à la poussée de croissance des adolescents à cette période. Environ 50 % du poids adulte s'acquiert durant la puberté, et la prise de poids annuelle atteint + 9 kg/an à son paroxysme.
Mangez suffisamment et lentement, en mastiquant bien chaque bouchée. Évitez de manger debout et prenez vos repas bien assis, face à une table. Essayez de prendre vos repas avec d'autres personnes, si possible dans la convivialité.
Privilégier les féculents et pains complets ; Cuisiner des plats maison et éviter les plats préparés et aliments transformés ; Boire au minimum 1,5 litre d'eau quotidiennement, éviter les sodas et jus de fruits industriels ; Limiter la consommation d'alcool.
Augmentez votre activité physique.
Vous brulerez plus de calories et vous retirerez l'eau et les déchets en excès dans votre corps en faisant du sport. Marchez 30 minutes après le déjeuner et le diner. Évitez de grignoter le soir.
Faire les bons choix, c'est manger de tout, soit un peu, soit beaucoup, selon le type d'aliments... C'est faire le plein de fruits, de légumes, de produits laitiers et de féculents (pain, riz, pâtes...), c'est diminuer les sucreries et les viennoiseries (croissants, pains au chocolat...)
Mais l'hyperphagie nocturne peut révéler un problème psychologique. Et en effet, des troubles de l'humeur, une dépression, un stress post-traumatique ou encore une grande anxiété peuvent se traduire par des accès de boulimie nocturne. Ces personnes tendent, donc, à se réfugier dans la nourriture.
Selon le baromètre INPES 2005, 80% des jeunes prennent un dîner en famille, environ un tiers des jeunes déjeunent à la cantine alors qu'une portion faible mais qui croît au fil de l'adolescence pour atteindre 20% chez les 18-20 ans, fréquente un fast-food.