Alimentation artificielle : par exemple par sonde nasale, par voie parentérale dans la veine ou par voie orale au moyen d'une seringue sans canule. Si le sens du goût ou de l'odorat du chat est altéré : essayez des aliments à forte odeur, comme le thon.
Si le chat malade refuse sa nouvelle alimentation, accompagnez-la d'abord d'un morceau de viande crue ou de sa nourriture habituelle. Le jus de thon ou un bouillon de poulet maison peu salé peuvent également stimuler son appétit.
Incorporez des aliments humides de qualité, ils sont plus palatables, aromatisés et digestes, avec une haute teneur en eau, ce qui est toujours un plus pour les chats. Vous pouvez parfois offrir un aliment humide tiède, la chaleur augmente les caractéristiques organoleptiques des aliments qui stimulent l'appétit.
Pour ce faire, inversez la seringue et cognez-la à quelques reprises sur la table. La nourriture va aller dans le fond et l'air à la surface. En pressant le piston, l'air va sortir. Répétez la procédure jusqu'à l'obtention de la quantité désirée.
La nourriture idéale du chat se compose de 50 % de viande bouillie ou de poisson, de 20 % de céréales, de 20 % de légumes verts cuits et de 10 % de compléments vitaminés et d'huiles.
Saupoudrez sa nourriture de levure de bière ou rajoutez une petite douceur (une pointe de beurre, un petit morceau d'emmenthal, une bouchée de thon en boîte...). Encouragez-le. Restez près de lui lorsqu'il essaye de manger ou donnez-lui la nourriture avec votre main. Restaurez ses habitudes.
Veillez de plus à varier les menus ; le chat lui aussi n'aime pas manger la même chose tous les jours. Astuce : cachez des friandises par exemple dans des rouleaux en carton, pour rendre la prise de nourriture plus intéressante.
Un animal qui souffre présente souvent un regard éteint, il est replié sur lui-même et moins « vivant » qu'à son habitude. Un chat qui souffre à souvent les yeux abattus, moins ouverts et « fronce les sourcils ».
Les chats au museau plat sont désavantagés. Plus le museau du chat est plat, moins son odorat est développé. Il est dans certains cas très atténué, comme chez les chiens. Mais les chats au museau plats n'en demeurent pas moins capables de détecter des stimuli olfactifs imperceptibles pour nous.
Si vous remarquez « mon chat ne mange plus et ne boit plus », cela doit vous alarmer et c'est un symptôme que quelque chose ne va pas dans son organisme ou la conséquence d'un agent externe stressant qui provoque la perte d'appétit.
Par contre, le thon ne couvre pas tous les besoin des chats, il n'est donc pas possible de nourrir un chat uniquement avec du thon. De plus, le thon accumule des métaux lourds comme de l'arsenic ou encore du mercure, les métaux lourds pouvant avoir des effets néfastes sur la santé (effet neurotoxique).
Le faire boire
Si votre chat refuse de boire et surtout s'il souffre de vomissements et/ou de diarrhées, il risque de se déshydrater rapidement. Donnez-lui alors l'équivalent d'une cuillérée à café d'eau fraîche (préalablement bouillie), toutes les heures environ.
Un chat adulte peut consommer du lait en quantité raisonnable à moins qu'il ne soit intolérant au lactose, ce qui est le cas de 50% des individus. Donner du lait à votre chat n'est pas du tout indispensable, s'il profite d'une nourriture équilibrée et suffisamment riche en protéines.
Cependant si les ronronnements accompagnent un autre signe relatif à une éventuelle douleur, il s'agit surement d'une douleur significative. Ils peuvent être un indicateur de la douleur ressentie. Plus les ronronnements sont répétitifs et sonores plus votre chat souffre.
Les signes qui doivent vous alerter
- Des yeux rouges ou bien qui coulent, des éternuements, une toux ou des difficultés à respirer…
Paracétamol : dangereux pour le chien et encore plus pour le chat. Le paracétamol est toxique pour le foie chez le chien et le chat, en détruisant les cellules avant de s'attaquer aux globules rouges.
Une fois le diagnostic posé, votre chat doit retrouver l'envie de se nourrir. Voici quelques astuces pour l'aider. Ajoutez à sa gamelle un peu de levure de bière, du jus de thon, de l'huile de poisson. Il existe aussi dans le commerce des compléments nutritionnels qui stimulent l'appétit.
La plupart des chats en grandissant deviennent intolérants au lactose. Les produits laitiers fermentés comme le yaourt ou le fromage contiennent, pour leur part, moins de lactoses que le lait. Il n'y a donc aucun risque majeur à donner du yaourt à votre chat en quantité modérée et de manière occasionnelle.
Produits laitiers
Fromage, yaourt, lait… Les animaux sont conçus pour digérer le lait pendant leur phase de croissance uniquement. Dès qu'ils sont à l'âge adulte, il ne faut plus leur donner de produits laitiers, sans quoi ils risqueraient de souffrir de ballonnements, diarrhées et autres troubles digestifs.
Pour humidifier les croquettes de son chien, il faut : Faire chauffer de l'eau : l'eau doit être chaude lorsqu'on la mélange aux croquettes mais non bouillante. Verser l'eau dans la gamelle remplie de croquettes. Laisser les aliments gonfler progressivement.
Bien qu'il ne soit pas conseillé, vous pouvez donner du jambon à votre animal de compagnie comme friandise. Il ne peut s'agir que d'un très petit morceau. De préférence, donnez du jambon blanc à votre chat, car sa teneur en sel est moindre, mais toujours avec modération.
Le poulet est un ingrédient clé des aliments pour chats IAMS. Ses protéines contribuent à maintenir une structure musculaire saine, et il apporte naturellement tous les acides aminés essentiels aux animaux carnivores. De plus, le poulet confère aux repas un goût savoureux.