« Je vous appelle pour vous parler d'une solution intéressante pour votre stratégie marketing… » « Un de mes clients m'a dit que vous cherchiez une solution pour… » « Je regardais votre profil d'entreprise sur LinkedIn et j'ai vu que l'un de vos projets majeurs cette année est… »
La maîtrise des achats : un bon point de départ pour optimiser la rentabilité d'un bar. C'est une évidence, mais il n'est pas inutile de rappeler que pour accroître la rentabilité d'un bar il est essentiel d'optimiser la marge entre le prix d'achat des boissons et leur prix de vente.
N'hésitez pas, en plus d'une campagne presse, à utiliser des encarts publicitaires dans les journaux locaux. Pensez aussi à la TV locale, à la radio ou encore à l'affichage. Tous les canaux sont bons à utiliser pour vous faire connaître !
Analyse de la performance financière historique. Etudier la performance financière historique est une autre étape clé de la reprise de bar. Le but est simple : évaluer la rentabilité du bar et sa capacité à générer de la trésorerie, en vue d'établir les données chiffrées de votre business plan.
Bien évidemment, la communication et la fidélisation joueront une place importante sur la rentabilité, mais comme dans tout commerce, le nerf de la guerre se trouve dans l'implantation du local. La réponse est oui, un bar peut-être particulièrement rentable, à condition de bien choisir son local.
Vous pouvez espérer une marge entre 60 et 80% par crêpe. Sa consommation représente plus de 10 kilos par personne et par an, la pizza est l'un des plats les plus rentables en restauration.
Les franchises de bar proposant des planches apéritives en plus des boissons peuvent aisément enregistrer un chiffre d'affaires annuel entre 200 000 € et 500 000 €. Les franchises de bar-brasserie ou de bar-restaurant quant à eux, peuvent dégager de meilleures rentabilités.
Une des 5 raisons les plus fréquentes qui explique pourquoi vous ne trouvez pas de clients, est que vous n'êtes pas centrée client. En d'autres termes, vous réfléchissez votre business essentiellement de votre point de vue, de votre expertise, et de vos connaissances.
Un écueil tout aussi courant est de noyer le prospect sous les informations. "Enlevez-vous de la tête que plus on en dit, mieux c'est, insiste Carine Dognin. Vous devez savoir présenter votre activité en une minute. Pas de jargon.