Pour gagner en vitesse, faites des exercices de musculation ou de fractionné. Pensez aux courses de cotes. Plus que briser la routine, elles vous feront progresser pour votre retour sur plat. Votre organisme sera alors plus à même de supporter une charge de travail supérieure et vous pourrez gagner en rapidité.
L'idée est de travailler sur des cycles. « Trois semaines d'efforts et une semaine de relâchement. On entend par effort des exercices de vitesses très intense comme des 30/30 ou des 100 m qui correspondent au maximum de la VMA. Il y a également les exercices moins rapides mais plus longs comme le 400 m par exemple.
Pour le travail de la vitesse et de la vivacité, la période de 8 à 12 ans environ est une des périodes clés par exemple. Un travail d'explosivité, de pliométrie, de fréquence, de gainage, de motricité, de proprioception ou encore de souplesse active permettra également d'améliorer la vivacité des joueurs..
Un entraînement régulier
Trois séances de course à pied, de vélo ou de natation, disciplines reine de l'endurance, trois fois par semaine pendant 30 minutes à une heure. Pour atteindre cet objectif, soyez régulier. Mieux vaut deux séances de 30 minutes qu'une seule d'une heure.
Faire un échauffement complet
En incluant des séries de gammes à chaque entraînement, sur le long terme on se retrouve à avoir un pied plus actif à chaque foulée. Et un pied plus actif utilise mieux ses qualités élastiques, perd moins d'énergie au sol et fait donc courir plus vite.
Quels muscles cibler ? Les muscles de la jambe sont bien entendu les plus sollicités lors de la course à pied. Plus particulièrement les quadriceps, les ischio-jambiers, les fessiers et les mollets. Trois exercices efficaces vont permettre de tous les muscler : les squats, les fentes et le leg curl.
À la maison ou lors de sorties tranquilles, entraînez-vous à inspirer en gonflant le ventre pour favoriser la descente du diaphragme et augmenter le volume libre dans la cage thoracique. Une fois automatisée, cette technique de respiration permet d'inhaler une plus grande quantité d'oxygène pendant l'effort.
Au mieux, tu pourrais l'améliorer grâce aux sports d'endurance classiques, tels que la course, la natation et le vélo. Mais faire du patin à roulettes, de l'aviron, ou encore du vélo elliptique sont autant de façons optimales d'améliorer son endurance.
Relâcher la pédale jusqu'au point de patinage. Le point de patinage correspondant au moment ou le contact commence à s'établir entre le volant moteur et le disque d'embrayage. Ce qui correspond à peu près à la moitié de course de la pédale.
QUELLES QUALITES DEVELOPPER ? Au cours de sa formation, le sportif qu'il soit footballeur ou tennisman devra acquérir les qualités physiques suivantes : l'endurance, la résistance, la force, la vitesse, la souplesse et la capacité de coordination. L'important est de savoir quand il faut développer ces qualités.
Plusieurs vitesses, ou toutes, sont dures
C'est le cas des synchros et des éléments de tringlerie. Ainsi, si une ou toutes les vitesses passent mal, c'est certainement une usure des synchros ou d'une tringlerie. L'autre cause ayant un impact sur l'ensemble des vitesses est l'embrayage et/ou le volant moteur.
Une seule solution existe pour progresser : l'entraînement. Pour courir plus vite, il ne faut pas avoir peur de se mettre en difficulté. Vous devez habituer votre corps à une intensité qu'il ne connait pas encore. Si cela peut paraître délicat, accrochez-vous au cours de vos entraînements, les résultats arriveront.
Mais personne n'a réussi à battre le record absolu de 9,58 secondes détenu par le célèbre Usain Bolt. Pour établir ce record, le Jamaïcain avait atteint une vitesse d'environ 43 km/h... Un peu moins que celle d'un chat domestique, indique Wired.
On retrouve par exemple la marche, la course à pied, le vélo, la natation, l'aviron ou encore les activités collectives comme le football ou le basket" détaille le médecin du sport. Il suffit ensuite d'adapter l'intensité de la pratique à sa situation physique.
Une évaluation de sa condition physique peut être réalisée avec le test de Ruffier, qu'il est possible de faire à domicile sans difficulté. Il s'établit à partir d'un calcul simple prenant en compte le freinage cardiaque; c'est-à-dire le rythme des pulsations du cœur dans la minute suivant un effort physique.
Ce peut être aussi un essoufflement à l'effort. Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
La dyspnée aiguë est un motif fréquent de consultation aux urgences. Les origines les plus fréquentes chez l'adulte sont l'insuffisance cardiaque aiguë, l'embolie pulmonaire et une infection pulmonaire survenant sur un poumon déjà malade (asthme, bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), etc.)
Vos abdos travaillent à chaque impact
Et si l'on en croit les spécialistes, les abdominaux figurent aussi parmi la liste des muscles essentiels au coureur. « Le grand droit et les obliques sont sollicités à chaque impact au sol, d'autant plus lors de séances de course à pied sur chemin vallonné ou caillouteux.
Lors d'un effort, léger ou intense, il faut garder la bouche ouverte ou entre-ouverte, pour l'inspiration comme pour l'expiration. Ne respirer que par le nez vous protège des poussières, certes, mais pendant l'effort, l'orifice est trop étroit pour que l'air rentre sans effort supplémentaire.