Montrez votre bienveillance en offrant des cadeaux par exemple ou en proposant votre aide. Dans toutes les situations, restez naturel, jouer les plastiques ne fera qu'empirer votre situation. Il vaut mieux que votre belle-famille vous voie sous votre vrai jour et s'y adapte dès la première rencontre.
Utilisez le principe du « merci positif ». « Face aux remarques désobligeantes, répondez quelque chose comme "tiens, c'est une bonne idée, je vais essayer", quitte à faire exactement le contraire dès qu'elle sera partie. Pour la belle-mère, c'est souvent une manière (certes maladroite) de vouloir se rendre utile.
nouvelle femme du père ou de la mère, pour les enfants d'un mariage antérieur. On dit aussi, avec une connotation péjorative, « marâtre », ou à l'opposé avec une appellation affectueuse « belle-maman ».
Pour expliquer cette mauvaise réputation, on a traditionnellement recours à la psychologie. En cause, un rapport trop fusionnel entre une mère et son enfant, qui rendrait difficile l'instauration d'une relation apaisée entre la mère, sa belle-fille ou son gendre.
Elle le sent peut-être trop. Vous en faites peut-être trop. Vous avez ouvert grand les portes de votre chez vous, de votre intimité. Maintenant, elle vous envahit, et pire, vous fait un tas de reproches.
La détestation de la figure de la belle-mère se trouve alors affermie par la naissance de la famille nucléaire, qui bouleverse la donne. «Elle implique l'intimité du couple, il n'y a plus de place pour la belle-mère», résume Yannick Ripa. Ce contexte donne une nouvelle jeunesse au conflit avec les brus.
Donner clairement la priorité à son partenaire par rapport à sa famille. C'est le principe clef pour une relation harmonieuse avec la belle-famille : chaque partenaire doit donner la priorité à son conjoint par rapport à ses parents et sa famille. En réalité, le problème ne vient souvent pas de la belle-famille.
« Dès le début, il est important de fixer des limites à sa belle-famille, nous avertit Élisabeth Couzon, psychologue clinicienne. Il ne faut pas avoir peur de mettre un cadre autour de ces relations qui peuvent rapidement devenir toxiques : osez affirmer vos besoins, ne vous sacrifiez pas.
Posez-lui des questions sur la façon dont elle a élevé ses enfants, ou sur son métier, sur sa façon de concilier vie de famille et vie professionnelle. Deux avantages à cela : une proximité possible avec elle, mais aussi un terrain de confiance.
Le plus souvent se met en place une habitude. Pour nommer ses beaux-parents, il existe six possibilités : appeller sa belle-mère par son nom de famille, par son prénom, par « belle-maman », par « maman », par « mamie » ou « mémé », ou éviter.
Montrez-lui qu'elle est le chef chez elle et complimentez-la. En revanche, n'acceptez pas qu'elle critique votre façon de faire devant les enfants. Il faut que ça soit bien clair : si elle a quelque chose à dire, ce ne doit être en aucun cas en leur présence.
Travaillez différentes expressions feintes devant un miroir, jusqu'à les imiter parfaitement : compassion, admiration, tristesse, stupéfaction et la plus importante : l'innocence. En règle générale, soyez aussi fourbe, péremptoire, faux-cul et odieuse qu'elle, mais pas en présence d'éventuels témoins.
La belle-mère est une matriarche : elle peut être celle qui réunit tous les membres de la famille et endosser un rôle de gardienne de clan quand ça se passe bien, mais parfois elle n'est pas autorisée à rassembler, à se mêler, ça dépend des cas", explique l'experte. "Elle peut aussi les désunir si ça se passe mal."
Elle veut qu'elle soit irréprochable, performante, aimée. Ses critiques peuvent aussi résulter de sa propre anxiété: elle a tellement peur que sa fille soit jugée par d'autres et elle veut tellement la préserver des coups qu'elle les porte elle-même en se disant que, venant d'elle, ça fera moins mal.
1. Une belle-fille toxique ne fait jamais preuve de sympathie envers sa belle-mère. Peu importe ce que la belle-mère traverse, elle ne montre jamais de compassion ou d'empathie pour elle et se présente rarement pour aider. Les seules personnes qui la soutiennent sont son mari, des amis proches et peut-être son fils.
Il faut du temps pour prendre suffisamment de recul et peser le pour et le contre. Essayez au mieux d'arriver à garder de bonnes relations avec vos deux familles car vos enfants ont besoin aussi de cet héritage, de connaître les personnes qui font partie de son histoire et de celle de ses parents.
Beaux-parents : Père et mère du conjoint. Belle-famille : Famille du mari ou de la femme.
Nom commun
(Famille) Mère d'un des époux par rapport à l'autre conjoint. (Famille) Pour les enfants d'union(s) précédente(s), la nouvelle épouse de l'un de leurs parents. Mon père nous a présenté notre nouvelle belle-mère.