Evitez les répétitions de trois manières : 1- en utilisant un pronom personnel ; 2- en changeant la construction de la phrase ; 3- en utilisant un synonyme ou un équivalent. Ex : Tu m'as prêté un livre. Ce livre était passionnant. 1- Tu m'as prêté un livre.
La répétition. Le même mot, ou la même expression, est repris plusieurs fois sans modification. La répétition peut être considérée comme une faute de style, mais elle peut aussi véhiculer et mettre en valeur une idée. Elle crée un rythme, et renforce l'idée, la sensation, l'émotion.
"Nous" peut aussi être un substitut du "je", par emphase ("Nous, Roi de France...") ou au contraire par modestie (dans une dissertation ou une thèse, lorsque le "je", par principe, est interdit : "Nous allons démontrer que...")
Oh là là, je n'en peux plus, je suis crevé… Cette expression vient du verbe crever, que l'on utilise notamment quand on éclate un pneu (de voiture, de vélo…). J'ai crevé un pneu en roulant sur un clou. Dans le même esprit, pour dire qu'on est fatigué, on utilise souvent le mot mort.
Forme interrogative de "je peux" qui induit que le sujet questionne sur sa possibilité de faire quelque chose. Exemple : Puis-je vous parler en privé madame, ce que j'ai à vous dire ne peut être entendu par vos hôtes.
Répéter, du latin repetere, signifie chercher pour comprendre. L'enfant répète le même mot, le même geste, la même colère, pour chercher avec nous à comprendre et à être compris.
Répéter une information pour la retenir par cœur, ça n'a rien de nouveau. Mais historiquement, on s'appuyait davantage sur des répétitions successives et concomitantes pour mémoriser une information, sans laisser le cerveau se reposer.
Définition de répétition nom féminin
Des répétitions inutiles (➙ redite, redondance ; pléonasme, tautologie). La répétition d'un thème. ➙ leitmotiv.
Dans vos différents types d'écrits, il faut éviter les répétitions qui alourdissent vos phrases et appauvrissent votre pensée.
"Réfléchir aux actes passés peut vous aider à ne pas répéter vos erreurs. Il est important d'étudier ce qui s'est mal passé, ce qui aurait pu être mieux réalisé, et comprendre comment faire les choses différemment la prochaine fois", estime Morin.
La formule d'EPLEY
Il s'agit également de définir le poids maxi par l'intermédiaire du nombre de répétitions et du poids soulevé. La formule se présente comme suit : Charge max = (charge soulevée x Nombre de répétitions/30) + charge soulevée.
Vos séances devront être composées de 80 à 100 répétions pour les gros muscles, tels que le dos et les jambes, et de 40 à 60 répétitions pour les petits muscles. Les répétions sur chaque série devront aller de 5 à 8. Au-delà, l'entrainement sera plus axé sur du volume musculaire ; en dessous, plus sur de la force.
Psittaciste, subst.,rare. Personne qui pratique le psittacisme, qui répète sans réfléchir. Pascal (...) n'aura pas été un janséniste pour rire, un psittaciste, un simple ergoteur (Bremond, Hist.
Pour faire simple, il s'agit de nos schémas erronés de construction psychologique ou schémas d'inadaptation qui nous maintiennent dans ces croyances négatives sur nous-mêmes. Ces schémas nous poussent de manière inconsciente à répéter le même type de fonctionnement qui est souvent autodestructeur ou insatisfaisant.
répétitive. Qui se renouvelle sans arrêt de manière cyclique, en repassant systématiquement par son état initial. Exemple : As-tu aimé le dernier jeu que tu as acheté ? - Non pas vraiment, je l'ai trouvé extrêmement répétitif.
Le syndrome de répétition
La détresse émotionnelle est intense. Elles peuvent prendre la forme de cauchemars. L'anxiété est également majeure pendant les reviviscences. – réactions dissociatives : Il s'agit de flash-backs.
La répétition de ces schémas émotionnels survient majoritairement dans des situations précises : incapacité à faire des choix, difficultés à s'engager, harcèlement moral, problème relationnel à l'autorité, abandon ou rejet, problèmes de santé, burnout, etc.
La première manifestation de la pulsion de mort serait donc les rêves dans les cas de névrose traumatique. Car si le rêve révèle toujours des désirs refoulés, et si dans ces névroses le contenu révélé est douloureux, alors il faudrait conclure qu'il s'agit d'un désir masochiste.
La formulation correcte est « Puis-je ? ». « Peux-je ? » n'existe plus en français. On trouve la vieille forme « Peux-je ? » dans certains écrits en ancien français. Cette forme a peu à peu disparu pour laisser place à « Puis-je ? », probablement pour une raison d'euphonie.
Alors que, répondre « oui » à une question interro-négative confirmerait « la négation » de la question ce qui ne veut rien dire puisque la réponse est positive. Le « si » est donc là pour transformer une question négative en réponse positive.
On emploie le futur Pourrai-je quand on parle d'une action à venir. On emploie le conditionnel Pourrais-je quand on fait une hypothèse ou dans une formule de politesse.