D'abord, fermez-les et massez doucement vos paupières pendant 25 secondes environ. Ensuite, ouvrez vos yeux et regardez fixement devant vous jusqu'à ce que vos larmes jaillissent. Vous aurez peut-être besoin d'un peu d'exercice, mais une fois que vous maitrisez cette méthode, vous réaliserez des merveilles.
Parlez aux personnes en qui vous avez confiance : Une fois que vous vous sentez plus à l'aise avec vos émotions, vous pouvez essayer de les partager avec vos proches. Il est conseillé de le faire progressivement, en essayant de mettre des mots sur ce que vous ressentez.
Si vous avez besoin de pleurer pendant un cours, vous pouvez tourner votre visage vers le bureau ou le couvrir avec un livre. Ne faites pas de bruit et ne sanglotez pas. Essayez de ne pas renifler non plus. Gardez un mouchoir dans votre main et essuyez rapidement vos larmes dès qu'elles se mettent à couler.
Pourquoi ne puis-je pas pleurer ? L'impossibilité de pleurer peut s'associer à diverses causes : de la maladie aux blocages émotionnels, d'où l'importance d'éliminer d'abord toute cause au niveau physiologique.
Répression émotionnelle
Souvent, avec des émotions refoulées, vous ne réalisez peut-être même pas que vous évitez inconsciemment vos émotions, c'est pourquoi vous pourriez être confus, face à votre incapacité à pleurer, lorsque vous êtes triste.
Réduction du stress
De plus, les larmes contiennent des hormones et des neurotransmetteurs tels que l'ocytocine et les endorphines, qui sont aussi appelées « hormones du bien-être ». Ces substances chimiques contribuent à atténuer la douleur et à améliorer l'humeur.
Certains signes nous avertissent aussi que nous vivons peut-être un blocage émotionnel : Évitement d'activités ou d'événements par peur de mal faire ou de ne pas savoir quoi dire. Stress continu. Peur d'être rejeté.
Pourquoi avons-nous honte de pleurer devant les autres ? - Quora. Parce que lorsqu'on pleure, on se sent vulnérable, c'est qu'on a été touché par une situation qui nous a tellement bouleversée, qu'on a du mal à gérer et on évacue en pleurant et on pense qu'on se montre faible.
Cela vient de la préhistoire, où aucun signe de menace ne nous laissait prêt à nous battre pour notre survie. Plusieurs fois, le niveau de stress généré par la rage est si grand que nous ne sommes pas en mesure de revenir à notre état rationnel et d'expliquer par des mots ce que nous ressentons. Alors on pleure.
Le blocage émotionnel c'est lorsque vous sentez que vous devez forcer et que vous devez utiliser votre volonté. À ce moment-là, c'est qu'il y a un combat entre votre conscient (le cavalier) et votre subconscient (le cheval).
Des blocages émotionnels surviennent suite à des expériences traumatisantes vécues dans l'enfance ou à des blessures émotionnelles non résolues. Les effets secondaires des émotions non traitées (colère, culpabilité, tristesse…) persistent. Ils affectent le bien-être général d'un individu.
Vous pouvez aussi pratiquer le yoga, la méditation ou la cohérence cardiaque par exemple. Pour faire le plein d'endorphines (hormone anti-douleur et anti-stress) : pratiquez des activités sportives et des étirements (variés !), et… riez autant que vous pouvez !
L'esprit se sent attaqué, vulnérable et provoque un blocage. C'est la même chose en situation de stress intense : si votre confiance n'est pas suffisante pour permettre une bonne estime de vous et une juste maîtrise des évènements, le stress prendra le dessus et votre esprit provoquera à nouveau un blocage.
Le choc psychologique, également appelé choc émotionnel, résulte d'un évènement traumatisant qui submerge la faculté que possède un individu à faire face aux émotions qu'il ressent lorsque celui-ci survient. Non pris en charge, il peut entrainer un traumatisme psychique.
Par ailleurs, pleurer permet de brûler des calories. Les scientifiques pensent que l'on élimine une quantité similaire à celle que l'on dépense lorsque l'on rit, à savoir 1,3 calorie par minute. Ainsi, en pleurant une trentaine de minutes, ce sont environ 30 calories qui sont éliminées.
Ainsi, la recherche a depuis longtemps montré que les pleurs émotionnels permettaient à l'organisme de produire de l'ocytocine, et des endorphines, c'est à dire des substances soulageant la douleur. Celles-ci apaisent la douleur physique et psychologique.
Comme nous l'avons vu, certaines causes physiques peuvent affecter le désir de pleurer : par exemple, la fatigue, l'insomnie, le manque de nutriments et de vitamines, le stress et les mauvaises habitudes pourraient nous rendre beaucoup plus sensibles aux pleurs et à la mauvaise humeur en général.
Pleurer plus souvent ou sans raison apparente peut évoquer une affection mentale comme une dépression, l'anxiété ou un trouble bipolaire. En effet, ces affections peuvent provoquer des émotions intenses et incontrôlables qui peuvent conduire à des pleurs spontanés.
Mais pourquoi pleurons-nous là où nous devrions sourire ou rire ? Les larmes de joie auraient une explication scientifique. Selon Oriana Aragon, pleurer après une émotion positive très forte permet de restaurer l'équilibre émotionnel.
Zak, verser quelques larmes devant un film ou une série serait la preuve d'une grande empathie et d'une réelle force mentale. Publiée dans Psychology Today, l'étude explique ce phénomène par un procédé très scientifique : lorsqu'on pleure, on libère de l'ocytocine, une hormone liée à l'empathie.