Pour obtenir l'attention de votre enfant, mettez-vous à sa hauteur et regardez-le dans les yeux pour lui parler. Il est parfois nécessaire de lui toucher l'épaule ou la main pour avoir toute son attention. Vous pouvez ensuite exprimer clairement votre demande et dire, par exemple: « Amélie, regarde-moi.
Formuler votre demande de manière claire et positive
Combien de fois par jour dites-vous à votre enfant ce qu'il ne doit pas faire. « Ne cours pas dans la maison », « ne me parle pas sur ce ton », « arrête de te chicaner avec ton frère », etc.
Le tout-petit désobéit aussi parfois parce qu'il veut vérifier si sa conduite est celle qui est attendue. Il peut aussi désobéir pour voir s'il est vraiment surveillé. De plus, le tout-petit a besoin de s'affirmer pour faire sa place et être autonome. Il s'agit d'ailleurs d'une étape normale de son développement.
On ne peut dès lors simplement parler d'enfants « mal élevés ». Ce dont il s'agit plutôt, c'est d'enfants qui épousent la cause de parents qui, pour des raisons singulières, sont en rébellion contre le reste du monde, et en conséquence contre ses codes de civilité et de courtoisie.
Pourquoi fait-il ça ? Il arrive à l'âge où il prend conscience de son individualité, il sait qu'il ne pense pas toujours comme ses parents ou comme les autres adultes, il cherche à former sa propre personnalité en vous montrant qu'il ne suit pas vos règles.
Au lieu de dire « tu es agressif », vous pouvez essayer de dire quelque chose comme « je me sens blessée quand tu me parles comme ça ». Il n'y a pas de mal à dire de temps en temps clairement ce que vous ressentez.
Aidez-le à se calmer.
Pendant la crise, allez voir l'enfant toutes les 5 à 10 minutes et demandez-lui posément s'il est plus calme. » Ça va mieux mon coco? La colère est passée? » S'il semble un peu plus calme, entrez dans sa chambre et offrez-lui un câlin ou des caresses pour l'aider à finir de se calmer.
Il est important de rester attentif à quelques symptômes récurrents de la maladie mais nouveaux chez l'enfant: difficultés scolaires inexpliquées, irritabilité, moins de motivation pour des activités qui auparavant l'intéressaient, dévalorisation, sommeil perturbé, inquiétudes particulières ou angoisses, tristesse, ...
Être une “bonne mère”, c'est laisser une place au père
Au père ensuite de se montrer suffisamment présent avec ses enfants pour, à la fois les protéger avec affection (poser des limites, des interdits), mais également les “ouvrir” au monde extérieur...
Exemples : Réparer ce qu'on a cassé, remettre en place ce qu'on a dérangé, nettoyer ce qu'on a sali. Ou bien supprimer une heure de la prochaine sortie si l'ado est rentré une heure en retard sur l'horaire prévu. Chacun juge de ce qui est important dans le cadre familial.
Afin que les règles que l'on pose à la maison aient un sens, il faut qu'elles soient claires, concrètes, constantes, cohérentes et conséquentes. Si l'une de ces règles fait défaut, alors il y a un problème de discipline. N'oubliez pas qu'il est primordial d'énoncer une raison pour chaque règle.
Écouter est beaucoup plus difficile que parler. Pourquoi ? Parce que cela demande à la fois de la concentration (comprendre ce que l'autre nous dit) et de l'attention (interpréter le non-verbal). Mais en plus, il faut dégager les idées principales, éliminer le superflu, évaluer les arguments et démontrer de l'empathie.
Les techniques de l'écoute active
* Utiliser les questions miroirs, c'est-à-dire, répéter dans la question le dernier propos de l'interlocuteur. * Laisser à l'interlocuteur le temps de formuler ses réponses. * Ne pas hésiter à formuler ses réponses en termes de « sentiment ». Ex : vous semblez rassuré par cela…
Les expériences traumatiques de l'enfance (ACEs) – qui incluent : maltraitances émotionnelle et physiques ; humiliation verbale ; abus sexuels; présence d'un membre de la famille sous addiction ou malade mental ; abandon parental, divorce, perte, décès, emprisonnement - peuvent endommager le cerveau en cours de ...
La tristesse est associée à des modifications comportementales : mimique pauvre, diminution des échanges, difficultés d'alimentation ou de sommeil etc. chez l'enfant, la tristesse s'associe à une recherche d'isolement, à une diminution d'activité. L'irritabilité et la dévalorisation sont fréquentes.