Montrez à votre enfant comment respirer lentement pour se calmer. Demandez-lui de mettre ses mains sur son ventre et d'imaginer un ballon qui se gonfle quand il inspire et qui se dégonfle quand il expire. Répétez l'exercice avec lui jusqu'à ce que vous le sentiez plus calme.
Incitez votre enfant à bouger.
Il devrait faire au moins 60 minutes d'activité physique par jour. Allez faire des marches, jouez au parc ou faites des jeux de ballon avec lui. Des sports qui favorisent le contrôle de soi, comme les arts martiaux, peuvent aussi être bénéfiques pour sa concentration.
Faire une pause
Si la crise vient trop vous chercher, placez l'enfant en sécurité et retirez-vous de la situation. Faites une pause, respirez 3-4 fois et reprenez votre calme. Un adulte qui s'énerve ou qui se sent lui aussi mal ne fera qu'augmenter la colère de l'enfant.
Faites un massage à votre enfant. Ce contact tendre renforce l'attachement et facilite la relaxation. Par exemple, vous pouvez masser doucement la nuque, le front, les tempes ou les pieds de votre tout-petit. Par la suite, votre enfant pourrait aussi vous faire un massage.
L'enfant en proie à une colère de frustration a besoin d'apprendre à mettre des mots sur ses désirs et ses désirs frustrés (pas forcément que ses désirs soient exaucés). Par exemple, un enfant qui explose de colère quand sa mère lui refuse quelque chose est précisément en train de se remettre de sa frustration.
Les jeux de relaxation seront plus efficaces si votre attitude est calme et posée. Invitez votre enfant à se masser le front, les joues, la nuque, la tête, les mains ou les pieds, en faisant de petits mouvements circulaires pour se détendre. Faites la même chose de votre côté pour lui montrer comment se masser.
Montrez-lui par l'exemple que la meilleure manière de résoudre un conflit, c'est de trouver une solution. Une fois passé le gros moment de colère, quand votre enfant sera plus stable émotionnellement parlant, demandez-lui s'il était difficile de trouver une solution à son gros problème.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
Il a envie de faire les choses par lui-même
Toutefois, il est encore maladroit pour certaines tâches et il a souvent besoin de votre aide (ex. : pour s'habiller). Cela peut entraîner des frustrations puisque son envie d'autonomie est plus grande que ce qu'il est capable de faire.
Une supplémentation en zinc, fer et magnésium pourrait aider à diminuer certains symptômes de l'hyperactivité. Plusieurs études indiquent que les enfants atteints de TDAH souffrent de carences en ces minéraux et qu'une supplémentation durant trois mois peut permettre de réduire des troubles liés à l'hyperactivité.
Pour que la punition soit comprise, il faut respecter quelques règles. Tout d'abord, il faut que l'enfant sache que ce qu'il fait est interdit. Aussi, si l'enfant fait une bêtise pour la première fois, il faut commencer par lui expliquer que ce qu'il fait est mal. Si l'enfant récidive, il faut le punir.
Ne pas tout faire à sa place, ne pas le presser, ne pas faire plusieurs choses à la fois (on parle de troubles de l'attention divisée comme écouter et prendre un couvert et manger…), ne pas lui parler de façon autoritaire ni lui faire du chantage.
La période des « fucking fours » est principalement caractérisée par des crises de colère, des négociations, de la bouderie, des paroles blessantes envers l'adulte et de la confrontation face aux limites instaurées par l'adulte.
Le mieux est de l'engager à consulter un psychiatre ou un psychologue… mais nous savons parfaitement que ce n'est pas facile…
La seule attitude valable et efficace vis à vis des colères de cet âge est encore de prendre le maximum de recul, de ne pas réagir, de laisser la colère s'épuiser même si l'enfant se tape. L'enfant a un trop plein d'émotion qu'il ne sait pas, ne peut pas du fait de son âge gérer et vous n'y pouvez rien.
Les crises de colère font partie du développement normal de l'enfant, particulièrement à l'âge où celui-ci commence à développer son autonomie, soit à partir de 18 mois. Certaines crises ne durent que quelques minutes, mais d'autres peuvent se prolonger pendant plus d'une heure.
Lors de la « phase du non », entre 2 ans et 3 ans, soyez ferme, mais compréhensif. Encadrez votre enfant et fixez des limites tout en lui donnant du contrôle sur certains aspects de sa vie. Concentrez-vous sur quelques règles importantes afin d'éviter d'être toujours dans la confrontation avec lui.
L'halopéridol employé seul est recommandé pour calmer les situations en cas d'agressivité ou d'agitation chez des personnes ayant une psychose. Celui-ci est largement répandu et peut être le seul antipsychotique disponible dans certaines régions aux ressources limitées.
L'oxazépam agit en ralentissant la vitesse à laquelle les messages sont propagés par les nerfs dans le cerveau (système nerveux central). Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations, ou les deux.