Si tu ressens que tu as des difficultés à lâcher prise, c'est que tu as de la peine à accepter les choses telles qu'elles sont. Autrement dit, la situation génère chez toi des émotions désagréables que tu n'as pas envie ou que tu n'es pas en mesure d'accueillir.
Pratiquer des exercices de méditation et/ou de relaxation
Pour lâcher prise, la méditation dite de pleine conscience est une pratique qui consiste à être pleinement conscient de l'instant présent, sans jugement. Elle permet de se détacher des pensées anxieuses ou dépressives en se concentrant sur le moment présent.
L'émotion clé liée au lâcher prise
L'émotion clé qui vous empêche souvent de lâcher prise est votre colère! Vous êtes surpris? C'est normal. Et si vous me dites que vous ne vous mettez jamais en colère, je vous dirai que c'est peut être que vous n'arrivez pas à la ressentir au moment où elle arrive.
La thérapie EMDR peut vous aider à chasser vos pensées obsessionnelles et à redéfinir vos priorités. En combinant des exercices de visualisation et des séries de mouvements oculaires avec l'encadrement de votre praticienne EMDR à Nice, vous parviendrez petit à petit à lâcher prise.
Le running pour lâcher prise
Et cela fonctionne aussi pour les autres sports d'endurance : le cardio-training, le vélo, le tennis, le squash…
Quand vous remarquez qu'une pensée vous envahit, et que vous avez du mal à vous en détacher, prenez quelques instants pour une respiration consciente. La respiration consciente est un exercice de méditation de pleine conscience qui consiste simplement à sentir le mouvement de la respiration à travers le corps.
Des séances répétées de «relaxation-minute» ou des séances plus longues et espacées (par exemple, deux «pauses détente» de 10 à 20 minutes). En plus de la relaxation, une activité physique comme le yoga ou le tai chi ainsi qu'une bonne hygiène de vie sont des moyens efficaces pour faire face à l'anxiété à tout moment.
Le lâcher prise consiste à accepter ce qui est, ce qui se présente ici et maintenant. C'est ainsi qu'il est aussi préférable d'accepter ce qui ne peut être changé : accepter la chaleur, la pluie, la douleur, voire la mort, accepter la différence d'autrui, accepter l'imprévu.
Rejouer le passé encore et encore ne le change pas, et souhaiter que les choses soient différentes ne l'améliore pas. Dans certains cas, en particulier en ce qui concerne le passé, tout ce que vous pouvez faire est d'accepter tout ce à quoi vous vous accrochez et de le laisser partir. C'est comme ça que tout change.
Si vous avez des difficultés à lâcher prise, n'hésitez pas à prendre contact avec un(e) de nos psychologues.
Une bonne solution pour faire le vide dans sa tête est de ralentir et de vivre le « moment présent », de vous permettre de vous détendre en focalisant votre esprit sur une chose en particulier, ce qui affûtera aussi votre conscience. Par exemple, prenez le temps d'apprécier votre repas.
Pratiquez le lâcher-prise : prenez des pauses, ce n'est pas plus compliqué que cela. Pour ceux/celles qui ne peuvent s'arrêter de penser, ou de souffrir d'angoisse, de stress ou de culpabilité qui vous empêchent de tranquiliser votre esprit, pratiquez aussi la méditation, la sophrologie ou encore le yoga.
Des pistes pour accepter
Accepter la situation, c'est d'abord conscientiser et accueillir qu'on est dans la résistance. Ensuite, on avance vers l'acceptation par l'accueil des émotions souffrante déclenchée par cette réalité.
Essayer de comprendre pourquoi et comment apparaissent les symptômes. C'est en l'aidant à ne plus se focaliser sur les conséquences, sur la souffrance elle-même, que le sophrologue permet au malade de procéder à cette introspection. Cet exercice est nécessaire, car il facilite le dialogue avec l'équipe médicale.
Lâcher prise ne consiste pas à rester de marbre, passif, face aux aléas de l'existence. Il s'agit au contraire d'accepter ses limites et d'agir uniquement sur ce qui est à sa portée. Cela permet notamment de préserver sa santé physique et psychique du poison que représente la rumination des émotions négatives.
Courir, nager, faire du vélo… Une activité physique régulière diminue les symptômes des personnes dépressives.
Vélo, footing, natation, marche rapide favorisent la canalisation et l'élimination d'un surplus d'énergie. Les sports d'endurance régulent les tempéraments les plus agités. Ils contribuent à diminuer le niveau d'activation du système nerveux. Avec une pratique régulière le taux de cortisol, l'hormone du stress, baisse.
Courir, faire du vélo ou marcher, ces activités ont pour avantage de libérer l'esprit.