- Le raisonnement inductif : il part d'observations particulières pour aboutir à une conclusion de portée générale. - Le raisonnement déductif : il part d'une idée générale pour en déduire des propositions particulières. - Le raisonnement par analogie : il procède à une comparaison avant d'aboutir à une conclusion.
Dans ce noyau, on définit l'induction comme une opération mentale consistant à remonter de propositions singulières à une proposition générale, et dans lequel la déduction consiste à passer d'une proposition à une autre qui en est la conséquence logique et, la conséquence logique de la première proposition.
Dans un texte argumentatif – c'est-à-dire un texte qui veut défendre une thèse, un point de vue – l'énonciateur doit avancer des arguments (des idées) qu'il relie entre eux par des termes communs et des connecteurs logiques. La façon d'organiser ces arguments va ensuite créer un raisonnement logique.
D'une idée générale ou universelle souvent accompagnée de propositions secondaires ou mineures, formant les prémisses, la déduction ou raisonnement déductif permet d'en tirer des propositions particulières.
C'est une forme spécifique de raisonnement fluide (Gf) qui implique aussi certaines connaissances quantitatives. Cette habileté a été évaluée à l'aide du sous-test Balance décrit plus haut et d'une autre tâches lui demandant de répondre verbalement à des problèmes d'arithmétique présent oralement par l'évaluateur.
Le raisonnement inductif : définition
Le terme de « raisonnement inductif » indique une certaine manière de réfléchir, de manière logique. En général, une personne qui utilise ce type de raisonnement part d'une ou de plusieurs observations et aboutit ensuite à une conclusion générale.
Introduction. Le raisonnement analogique désigne la capacité à établir une correspondance entre deux situations : une situation de base et une situation cible [1]. Il nécessite de découvrir la structure commune entre deux situations et de pouvoir faire correspondre un ensemble de relations à un autre [2].
Le raisonnement par opposition permet de conclure à la vérité d'une thèse ou d'un jugement à partir de la fausseté d'une thèse ou d'un jugement opposé, ou inversement à la fausseté de l'un en s'appuyant sur la vérité de l'autre.
Raisonnement inductif
L'induction procède du particulier au général (G. Gohau Aster 1992). Elle consiste à généraliser à partir d'un série d'observations spontanées ou provoquées.
Hume considérait que l'origine de l'induction (l'idée de connexion) est l'habitude.
L'induction est un raisonnement qui s'appuie sur une série d'évènements préalables. La loi générale que l'on formule doit être vérifiée pour chacun des évènements préalables, mais elle peut à tout moment être démentie par un contre-exemple.
Recueillir, résumer et évaluer l'information et les données probantes pour déterminer les options et résultats potentiels et prendre des décisions éclairées et rapides. Comprend la pensée et le raisonnement critiques.
Pour développer votre raisonnement logique, prenez 5 minutes tous les jours pour compléter une suite logique de nombres. Ce test psychotechnique et d'autres tests similaires vous aideront à réfléchir suivant des schémas logiques, et ceci deviendra un automatisme chez vous.
La stratégie argumentative est l'ensemble des moyens qu'un auteur ou une autrice utilise pour atteindre un but précis lors de l'écriture d'un texte argumentatif : convaincre son ou sa destinataire de son point de vue, donc de sa thèse. Un texte argumentatif s'organise généralement autour d'une stratégie dominante.
Le raisonnement concessif : « Oui, mais… »
On admet d'abord, ou feint d'admettre, la thèse de l'adversaire, ou l'un de ses arguments. Néanmoins, c'est pour mieux vaincre… Exemple : « Vous avez les meilleurs arguments du monde, mais vous ne me convainquez pas ! »
Le raisonnement par récurrence sert à démontrer qu'une proposition est vraie pour tout entier naturel n. C'est l'une des méthodes de démonstration utilisées en mathématiques. L'ensemble des entiers naturels est noté N, il contient l'ensemble des entiers qui sont positifs.
Faux dilemme
Ce mode de raisonnement s'oppose à un autre qui est fallacieux ou trompeur, qui consiste à présenter deux solutions à un problème donné comme si elles étaient les deux seules possibles, alors qu'en réalité il en existe d'autres.
Une analogie est un processus de pensée par lequel on remarque une similitude de forme entre deux choses, par ailleurs de différentes natures ou classes. Dans le discours, une analogie explicite est une comparaison, tandis qu'une analogie implicite est une métaphore.
Un exemple très connu de syllogisme est : « Tous les hommes sont mortels, or Socrate est un homme ; donc Socrate est mortel » : les deux prémisses (dites « majeure » et « mineure ») sont des propositions données et supposées vraies, le syllogisme permettant d'établir la validité formelle de la conclusion, qui est ...
Qui présente de l'analogie, des rapports de similitude avec une autre chose ; comparable, semblable, similaire : Une matière poisseuse, analogue à la résine.
Le philosophe Socrate s'était fait une spécialité des discussions par questions et réponses. C'est en tâchant d'en codifier les règles, tout en déterminant aussi les règles des raisonnements scientifiques, qu'Aristote inventa la logique.
Suite d'arguments. Synonyme : argument, argumentation, déduction, démonstration, logique, preuve, raison.
On s'intéresse à deux propositions A et B et on veut démontrer que A implique B (autrement dit, si A est vraie, alors B l'est aussi). Le raisonnement par l'absurde consiste à supposer que A est vraie et que B est fausse. On aboutit alors à une contradiction, ce qui entraîne que B doit être nécessairement vraie.