Faites-le de façon claire et paisible, en lui parlant « au je », et en évitant de l'accuser de quoi que ce soit. Gardez toujours en tête qu'il aime ses parents et tentez de trouver un terrain d'entente raisonnable pour tous. Soyez patiente et conservez votre calme. Rien ne se règle dans l'adversité.
Traitez votre beau-père et votre belle-mère comme vous traiteriez votre père et votre mère X Source de recherche . Traitez vos beaux-frères et belles-sœurs comme vous traiteriez vos propres frères et sœurs. Soyez aimable, cordial et naturel avec eux. Soyez honnête et communiquez de façon ouverte.
Plus vous discutez ou vous opposez, plus vous alimentez un conflit présent ou sous-jacent. Il faut s'imposer, imposer ses choix, et prendre ses distances si besoin. Ne culpabilisez pas de ne pas prendre tous ses appels, ni de ne pas assister à toutes les réunions familiales. Surtout si elles vous pèsent.
Sa famille traite vos enfants comme s'ils n'appartenaient qu'à votre partenaire et à son côté de la famille. Ils invitent votre partenaire aux fêtes de famille, mais pas vous. Ils vous critiquent devant votre partenaire ou devant vos enfants.
Si vous envisagez de couper les ponts avec votre belle-famille, parlez-en à votre conjoint(e) et réfléchissez à la manière dont cela affectera les autres relations familiales. Si vous voulez toujours mettre fin à votre relation avec votre belle-famille, essayez de le faire sans provoquer de remords.
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
Invitez-la gentiment à déjeuner au restaurant et posez-lui un lapin. À reproduire une fois par semaine pendant 3 mois. Déboulez chez elle à l'improviste, souvent. Appelez-la à 23h55 pour savoir si elle est bien rentrée après avoir dîné chez vous.
Souriez, soyez amical sans être trop hypocrite, mais rappelez-vous que c'est de votre devoir de partager avec eux, comme le fait votre partenaire avec votre famille, donc faites que tout se passe bien.
« Dès le début, il est important de fixer des limites à sa belle-famille, nous avertit Élisabeth Couzon, psychologue clinicienne. Il ne faut pas avoir peur de mettre un cadre autour de ces relations qui peuvent rapidement devenir toxiques : osez affirmer vos besoins, ne vous sacrifiez pas.
Le modèle d'une mère trop présente peut traduire un manque de reconnaissance de vos propres valeurs, de la part de votre compagnon. Entraînant chez vous un manque de confiance en vous, ou de la déception face à son manque d'adaptabilité à une nouvelle situation. Dans les deux cas, le couple en pâtit.
1. Une belle-fille toxique ne fait jamais preuve de sympathie envers sa belle-mère. Peu importe ce que la belle-mère traverse, elle ne montre jamais de compassion ou d'empathie pour elle et se présente rarement pour aider. Les seules personnes qui la soutiennent sont son mari, des amis proches et peut-être son fils.
Éviter sa belle-mère. Éloignez-vous d'elle. Faites-le dès que vous commencez à vous énerver. Si le simple fait de passer du temps avec elle vous agace ou vous énerve, retirez-vous ou éloignez-vous de la conversation.
Rien ne doit rester en suspens, au risque d'empirer les choses rapidement. Seulement, il est important que cela soit fait avec respect et tact. Ces relations sont très souvent conflictuelles par définition. Il vaut donc mieux faire en sorte de parler calmement et poliment pour éviter les tensions.
Une belle-mère manipulatrice narcissique utilise essentiellement la violence psychologique pour contrôler sa belle-fille qui est une victime. Elle va donc vous contrôler, vous rabaisser publiquement et littéralement vous casser mais jamais en présence de son fils et donc votre mari.
Il faut du temps pour prendre suffisamment de recul et peser le pour et le contre. Essayez au mieux d'arriver à garder de bonnes relations avec vos deux familles car vos enfants ont besoin aussi de cet héritage, de connaître les personnes qui font partie de son histoire et de celle de ses parents.
« Une belle-famille envahissante peut générer une souffrance au sujet de laquelle il ne faut pas culpabiliser : chaque individu a droit au respect de son espace vital et, si celui-ci est menacé, il faut réagir ! » affirme Élisabeth Couzon, psychologue clinicienne.
Ne pas répondre du tac au tac
Quand on a une belle-famille qui a pris l'habitude de dire tout ce qu'elle pense à haute voix, et en particulier de critiquer à peu près tout ce qu'on fait, on a envie de répondre aussi sèchemment pour ne pas se laisser faire.
C'est quoi une "famille toxique" ? Une famille peut être toxique lorsqu'il existe des comportements qui provoquent des problèmes émotionnels chez un ou plusieurs membres du système ou lorsque les rôles familiaux sont différents de ceux qu'ils devraient être.
Donner clairement la priorité à son partenaire par rapport à sa famille. C'est le principe clef pour une relation harmonieuse avec la belle-famille : chaque partenaire doit donner la priorité à son conjoint par rapport à ses parents et sa famille. En réalité, le problème ne vient souvent pas de la belle-famille.
Érigez des règles claires afin d'éviter que les beaux-parents ne deviennent trop envahissants, quitte à les froisser un peu. Il faut qu'ils apprennent à ne pas s'immiscer dans vos affaires. Souvent, une bonne discussion marquée par le respect s'impose.
Elle est intrusive, manipulatrice, possessive, jalouse et parfois haineuse. Cette situation est particulièrement plus habituelle et prévisible entre une fille et sa belle-mère. Néanmoins, dans bien des cas, la belle-mère envahissante est la mère de la conjointe.
Ne pas supporter sa belle-fille ou son gendre est souvent dû au fait qu'on les considère inconsciemment comme des rivaux ou des concurrents alors qu'en matière de relations beaux-parents/beaux-enfants, il ne s'agit pas du tout de ce registre là.