Une bonne solution pour faire le vide dans sa tête est de ralentir et de vivre le « moment présent », de vous permettre de vous détendre en focalisant votre esprit sur une chose en particulier, ce qui affûtera aussi votre conscience. Par exemple, prenez le temps d'apprécier votre repas.
En fait, il s'agit ici de se libérer du poison de nos pensées, de le faire sortir ! Parce que nos pensées ont un réel pouvoir sur nous et sur notre vie, et si nous restons trop longtemps avec des peurs et des doutes, cela nous ronge notre joie de vivre naturelle et notre confiance en nous et en la vie.
Même si vous êtes seul(e) dans une pièce, vous observerez que le silence « fait » du bruit. Concentrez vous sur tout ce que peuvent entendre vos oreilles : le chauffage, les gens qui montent ou descendent, les oiseaux et la circulation dehors et même vos bruits digestifs ou autre….
Le vide, ou « vide existentiel », est une condition humaine caractérisée par un sentiment d'ennui généralisé, d'aliénation et d'apathie.
Organiser sa semaine et anticiper son quotidien peut être une source de relaxation car elle permet d'apaiser notre envie de contrôle et nous libère du stress lié à l'incertitude. En planifiant, nous pouvons nous ressourcer, même si nous n'avons pas la « fibre » de l'organisation.
Tenter la méditation
Une fois au calme, installez-vous confortablement et respirez profondément. Pensez à une personne ou à un lieu que vous aimez et laissez votre esprit vagabonder. Après avoir fait le plein de pensées positives, cherchez à trouver la paix. Chassez le stress, les tensions, les rancœurs...
Le « Haut Potentiel » est souvent détecté (quand le terme « diagnostiqué » n'est pas utilisé) à travers un test de QI, qui dit tellement peu ce que la personne peut vivre. Le mental qui n'arrête jamais ou peu souvent, une capacité accrue d'analyser et de voir les choses sous un autre oeil …
Pour débrancher le cerveau, on commence donc par se déconnecter littéralement. Ou, du moins, par se discipliner un peu. On apprend donc à se fixer des plages consacrées à la consultation de nos messages, textos et autres notifications et l'on cesse de bondir à chaque alerte.
Arrêtez vos activités, même une seule minute, pour inspirer et expirer lentement et profondément en gonflant le ventre. Le fait de se concentrer sur sa respiration permet de se déconnecter de l'emballement mental et de retrouver son calme intérieur.
Sans trop de surprise, les premiers responsables sont le stress et l'anxiété. "C'est la cause numéro 1" , assure Olivier Pallanca : "Certaines personnes ont des vulnérabilités au stress. Dès qu'ils vont être trop actifs, qu'ils vont avoir un niveau d'éveil trop important, ça va activer le même déséquilibre.
La tachypsychie correspond à un déroulement anormalement rapide de la pensée et des associations d'idées. Elle peut être à l'origine de troubles de l'attention et de difficultés pour s'organiser.
Respirez pour faire le vide dans votre tête
D'abord elle accompagne notre vie jour et nuit, heure après heure, sans que vous en ayez conscience. En l'amenant à votre conscience, en focalisant vos pensées sur elle seule, elle vous permet d'évacuer les situations stressantes en vous focalisant sur le « moment présent ».
Pour faire face à nos émotions perturbatrices, nous pouvons avoir recours à plusieurs moyens : l'exercice physique, la relaxation, le yoga, la méditation zen... Bref, les outils ne manquent pas ! Mais, nous avons souvent besoin de réagir sur le coup d'une émotion.
On en oublie de vivre l'instant, et on ne profite plus de rien ! Inutile de se morfondre sur des regrets ou d'angoisser à propos du lendemain. Vivre le moment présent, c'est s'investir dans sa propre vie et s'ouvrir aux plaisirs quotidiens. Lâcher prise, c'est aussi apprendre à déléguer, à se décharger sur les autres.
Trop d'émotions, trop de pensées qui partent dans tous les sens, trop de questions, trop de sensibilité, trop d'énergie, trop d'activités. On ne vous arrête jamais, même la nuit.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
La rumination mentale se déclenche souvent au moment du coucher. Comment se débarrasser de la rumination mentale ? En détournant son attention sur des tâches distrayantes mais prenantes, en se recentrant sur l'instant présent grâce à la méditation ou encore en écrivant ses ruminations, il est possible de les contrer.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Lorsque l'anxiété devient grave, donc pathologique, elle altère, voire, paralyse complètement le fonctionnement de la personne dans la plupart des domaines de son existence. Une personne souffrant d'anxiété sévère vit des difficultés considérables, tant au travail, que dans sa vie familiale, sexuelle ou sociale.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...