Une bonne solution pour faire le vide dans sa tête est de ralentir et de vivre le « moment présent », de vous permettre de vous détendre en focalisant votre esprit sur une chose en particulier, ce qui affûtera aussi votre conscience. Par exemple, prenez le temps d'apprécier votre repas.
Le bavardage mental désigne ce fil de pensées incessant qui captive l'esprit. Il est constitué de jugements sur tout et cela peut se révéler particulièrement polluant, voire nocif.
Le silence intérieur se réfère quant à lui à un état subjectif dans lequel il n'existe pas d'éléments venant perturber la tranquillité. Tant le silence intérieur qu'extérieur offrent de grands avantages à notre cerveau. L'absence de bruit et l'absence de stimuli stressants facilitent une forme unique de repos.
Quel que soit le sexe, la rumination puise sa source dans les peurs, le manque de confiance et parfois une image de soi fantasmée. "On s'imagine mieux ou moins bien que ce que l'on est réellement", illustre le Dr Aimelet-Périssol.
Allez faire un tour. Le fait de sortir peut vider votre esprit de ses soucis, soit à cause de l'activité physique en soi ou parce que vous vivrez d'autres sensations (des images, des sons, des odeurs), lesquelles peuvent aider votre esprit à vagabonder en direction de sujets moins éprouvants.
Pour débrancher le cerveau, on commence donc par se déconnecter littéralement. Ou, du moins, par se discipliner un peu. On apprend donc à se fixer des plages consacrées à la consultation de nos messages, textos et autres notifications et l'on cesse de bondir à chaque alerte.
Freud innove en inventant un inconscient qui parle, se déchiffre et guérit, un inconscient peuplé de désirs sexuels, agressifs, mégalomanes, inavouables, de pulsions de vie et de mort, et qui possède des lois internes. Il nous propose en fait une vision révolutionnaire de l'âme humaine.
Vous devez revoir vos situations stressantes. Ensuite, pensez à des choses positives en disant à votre subconscient ce qu'il doit retenir. Il peut s'agir par exemple d'une phrase motivante. En somme, travailler avec son subconscient grâce à la respiration permet de réduire le stress.
Mettez une main à hauteur des yeux, paume face à soi et focalisez le regard sur un point au centre. Tout en relâchant le corps et en restant focalisé, demandez à l'inconscient d'avancer la main jusqu'au visage par des mouvements lents et saccadés, comme si elle était aimantée par le visage.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Quoi qu'il se passe, surtout quand il ne se passe rien, on réfléchit, on rumine, on juge, on analyse, on se demande si. Bref, on pense trop. Ça s'appelle l'overthinking. Bonne nouvelle : quelque part dans notre cerveau, il existe un bouton "Stop", adapté à chaque manière de "trop penser".
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
De nombreuses maladies mentales sont liées à une inhibition neuronale inadéquate du cortex préfrontal et de l'hippocampe, qui sont alors « surexcités ». Il s'agit notamment de la schizophrénie, de la maladie d'Alzheimer, des troubles autistiques, de la dépression et des troubles bipolaires.
Rappel constant d'idées simples ou complexes : c'est l'une des techniques les plus importantes, car ce n'est qu'en gardant constamment à l'esprit les idées qu'on veut insérer dans l'esprit de la personne manipulée que le contrôle mental sera efficace.
Développez votre vigilance. Pour freiner vos pensées négatives, vous devez prendre conscience du moment précis où elles se mettent en marche. Pour y arriver, on observe ses pensées afin de repérer les scénarios et les discours intérieurs improductifs, négatifs ou essentiellement centrés sur l'ego.
C'est souvent lié à des épisodes de vie très forts comme un deuil, une maladie, un divorce. Dans ces cas-là,nos pensées font une véritable intrusion dans notre esprit. Oui. Il est alors compliqué de prendre du recul pour stopper le cercle vicieux de la rumination.
Pourquoi certaines personnes se posent plus de questions que d'autres ? Nous fonctionnons tous différemment. Il est donc naturel que certaines personnes se posent plus de questions que d'autres. "L'histoire de la personne, sa sensibilité et son fonctionnement cognitif peuvent jouer un rôle" souligne la psychologue.
Il semble que le stress chronique accroît le risque de souffrir de diverses maladies comme les troubles cardiaques, la grippe, le rhume et même les allergies.