Présentation générale du texte : nom de l'auteur, titre de l'œuvre et date de parution, contexte (siècle, mouvement littéraire). Situer l'extrait / résumer brièvement l'intrigue : situer la place du passage dans l'œuvre. Préciser l'idée générale du passage à commenter, évoquer ce qui se passe juste avant cet extrait.
Commencer par présenter l'auteur du texte et le mouvement littéraire auquel il appartient. Présenter l'histoire en résumant le texte en 2 ou trois lignes. Situer le texte en racontant ce qu'il y a juste avant le texte et juste après en s'aidant du chapeau qu'il y a au-dessus du texte.
Le commentaire suivi :
- la chronologie de l'explication suit celle du texte ; - après l'explication de chaque partie dans sa double dimension thématique et formelle, rédiger une conclusion partielle, puis s'il y a lieu, une transition pour aborder la partie siuvante.
L'introduction se divise en trois parties : sujet AMENÉ, sujet POSÉ, sujet DIVISÉ. Les premières lignes de l'introduction doivent présenter, dans un contexte général, la nature du sujet qui sera traité. Le lecteur est ainsi fixé, dès le départ, en voyant que tu as choisi d'aborder tel thème.
La problématique se présente généralement sous la forme d'une question qui peut commencer par « dans quelle mesure », « en quoi », « comment ». Souvent, on n'arrive à la formuler qu'après avoir fait le plan : c'est normal, pas de panique ! Le nom n'est pas un hasard : une bonne problématique doit poser un problème.
Comment formuler la problématique ? Par quoi commencer sa phrase ? Deux tournures sont très utiles pour lancer le débat : "En quoi ?" et "Dans quelle mesure ?" Les tournures "Par quels moyens... ?", "Pourquoi... ?" ou "Doit-on considérer que... ?" lancent également le débat.
Une conclusion comprend généralement : un retour sur la problématique énoncée en introduction ; une analyse des résultats mentionnés dans le développement et une réponse à la problématique en fonction de ceux-ci ; une perspective d'ouverture sur le sujet.
S'appuyer, pour son accroche, sur un élément d'actualité va vous permettre de mettre le sujet en contexte. Cela va même pouvoir vous aider à mettre en place votre raisonnement. Mettre le sujet en contexte va permettre au correcteur de voir que vous avez bien compris le sujet et ses enjeux dans le monde actuel.
L'amorce doit toujours susciter l'intérêt du lecteur : imaginez qu'elle doit toujours distinguer votre copie de celles de tous les autres candidats. Pour cette raison, vous devez absolument bannir les formules toutes faites, qui pourraient introduire n'importe quel devoir.
Chaque grande partie est une thèse qui répond à la problématique de l'introduction. Cette thèse est appuyée par plusieurs arguments : ce sont tes deux ou trois sous-parties. Ces arguments sont eux-mêmes illustrés par des exemples précis : ce sont tes analyses et citations du texte.
Aérer le texte : Sauter une ligne avant et après le paragraphe de transition III- Paragraphe de transition Bilan de la partie I et annonce de la partie II, de manière détaillée en deux à trois lignes maximum. IV- La conclusion Aérer le texte : Sauter trois lignes entre la dernière partie et la conclusion.
L'annonce de plan se situe à la toute fin de l'introduction, juste après l'exposé de la problématique. Son objectif est de présenter au lecteur la structure de la copie : on va rapidement expliquer quelles sont les grandes parties et comment elles s'articulent.
Le commentaire littéraire, anciennement dénommé « commentaire composé » ou « commentaire de texte » est, selon le programme d'enseignement du français de l'Éducation nationale, « le lieu d'expression d'un jugement personnel sur un texte, dans un vocabulaire précis et pertinent qui permet de le caractériser dans sa ...
Chaque partie doit être introduite par l'annonce du plan des sous- parties (Exemple : « Pour traiter de……, nous verrons ……. car…. Enfin, nous pourrons aborder … » ) Cela facilite la lecture, permet de se raccrocher à votre fil conducteur.
N'utilisez le point d'interrogation qu'une seule fois dans l'intro. Si vous ne posez qu'une question, le correcteur supposera que c'est votre problématique. Si vous en posez plusieurs, votre discours sera confus. Vous pouvez aussi exprimer votre problématique en sans passer par une phrase interrogative.
On pose le sens des mots du sujet, pour expliquer ensuite le paradoxe qui émerge des définitions posées. Au passage, on montre au correcteur qu'on connaît ses définitions. On lui prouve qu'on ne va pas utiliser les mots dans un sens incorrect, déformé, partiel ou connu seulement de nous-mêmes.
Un plan doit être dynamique. On doit apporter en conclusion une réponse à la question que l'on a posée en introduction : entre les deux, on doit progresser régulièrement et par étapes de l'une à l'autre.
Une « problématique » sert à exprimer l'intérêt d'un texte littéraire. Elle s'exprime sous la forme d'une question commençant par « Comment... », « En quoi... » ou « Dans quelle mesure... ». Elle met ainsi en évidence le talent de l'auteur et l'originalité de l'extrait.
Une sous-partie de dissertation a toujours la même structure. Elle se compose d'une idée et d'une raison d'accepter cette idée. On commence par affirmer quelque chose, puis on explique pourquoi cette affirmation est solide : on donne un argument. En pratique, ces deux moments sont parfois difficiles à séparer.
Conclure (utilisé surtout pour la conclusion d'une production écrite) : au total, tout compte fait, tout bien considéré, en somme, en conclusion, finalement, somme toute, en peu de mots, à tout prendre, en définitive, après tout, en dernière analyse, en dernier lieu, à la fin, au terme de l'analyse, au fond, pour ...
Ensemble des questions, des problèmes concernant un domaine de connaissances ou qui sont posés par une situation.