Utilisez une couleur ou un symbole par type pour garder le tout lisible. Commencez par l'éclairage général (par ex. plafonniers et spots). Placez-les de manière à ce que les cercles de lumière se chevauchent partiellement, pour garantir une transition fluide et homogène entre les zones.
Prenons l'exemple de l'aménagement d'une chambre de 15 m² que l'on équiperait d'ampoules basse consommation de 9W et qui produisent 350 lumens. Pour une lampe équipée de cette ampoule et sur la base de la règle de calcul citée plus haut, vous faites donc le calcul suivant : 350 lm/15 m² = 23 lux d'éclairement.
Reprenons avec l'exemple d'un salon de 25 m2 équipé d'ampoules LED de 1000 lm : 1000 lm/25 m2 = 40 lux d'éclairement.
Le pilotage de l'éclairage d'une maison peut désormais se réaliser, grâce à la domotique. Cela peut se faire par le biais des dispositifs qui sont en relation avec les interrupteurs et les lampes. En effet, cela consiste à la gestion de fonctionnement et de l'arrêt de l'éclairage à distance.
Pour optimiser la gestion de vos éclairages, mettez en place un détecteur de mouvement afin que la lumière ne s'allume qu'en cas de besoin. Il vous faudra prévoir des ampoules ou des interrupteurs adaptés, des capteurs, un logiciel domotique, une télécommande et une centrale domotique.
Le module lumière est au dessus des pedales, sous le cache plastique, coté gauche.
Connaissant l'éclairement lumineux de la pièce, et le nombre de lumens d'un spot, il devient facile de calculer le nombre de spots LED par mètre carré : nombre de spots LED / m² = éclairement lumineux (lx) / flux lumineux du spot (lm)
Très simplement, 1 watt vaut environ 10 lm. En cela, pour avoir la valeur approximative en watts, il convient de diviser le nombre de lumens indiqués par 10. Une ampoule de 240 lumens équivaut ainsi à une ampoule de 25 watts tandis qu'une ampoule de 1 400 lumens équivaut à une ampoule de 100 watts.
Calcul de l'éclairement en un point d'une surface en fonction de l'intensité lumineuse : L'éclairement en un point est inversement proportionnel au carré de la distance de la source de lumière. Si on double la distance, on éclaire 4 (2² = 2 x 2) fois moins. Exemple : une lampe de 75 W émet 1000 Lumens.
Le projet d'éclairage consiste à déterminer un éclairage artificiel qu'il faut installer dans un local afin de l'adapter à une activité donnée, en tenant compte du confort visuel que requiert cette activité.
Le flux et l'éclairement sont liés par la relation suivante : flux = éclairement x aire de la zone éclairée. La mesure de l'éclairement sur toute la surface éclairée permet donc de calculer le flux lumineux d'une ampoule LED.
Pour une pièce de 20 m2, prévoyez un éclairage général avec un suspension de bonne taille par exemple (1000 lumens), qui couvrira l'ensemble de l'espace. Ajoutez 2 ou 3 éclairages ponctuels à utiliser selon les besoins : une lampe à poser à proximité du canapé pour lire, un lampadaire pour regarder la télévision…
Différence entre lumen et lux :
Une source lumineuse de 500 Lumen illumine 1 mètre carré avec 500 Lux. La même source lumineuse qui devrait éclairer 10 mètres carrés illumine cette zone avec seulement 50 Lux. Une lampe de 1000 lumens qui répartit sa lumière sur une surface de 1 m², éclaire cette surface de 1000 lux.
Pour un salon, il faut prévoir un éclairage autour de 300 lux, unité de mesure de l'éclairement lumineux qui caractérise chaque intensité lumineuse ! On peut alors y pratiquer des activités diverses, tout en ayant une atmosphère chaleureuse.
La lumière doit être douce et tamisée. Erreur récurrente dans cette pièce, n'avoir qu'une seule et unique source lumineuse. Il est nécessaire d'avoir un luminaire différent pour chacune des ses "activités" : chercher ses vêtements, ranger, lire... Pour éclairer l'ensemble de la pièce, l'éclairage doit être indirect.
Le rapport de suspension est le rapport entre la hau- teur du plan de travail et la distance entre le luminaire et le plafond.
Lorsqu'on parle de 8 points lumineux maximum au niveau d'un circuit électrique, on oublie de prendre en compte un facteur supplémentaire, celui de la puissance consommée par chaque point lumineux. Cette notion est très important surtout lorsqu'on parle de spot.
Voici ce qu'elle indique : Pour un circuit de lumières : un disjoncteur 16 A max pour 8 points d'éclairage, avec section de 1,5 mm2. Un disjoncteur 10 A : l'amendement 5 de la norme donne le 16 A comme un maximum.
Disjoncteurs 16 A max pour des circuits d'éclairages et de prises, pour un maximum de 8 points lumineux ou de 8 prises (avec fil de section de 1,5 mm2). Disjoncteurs 20 A max pour des circuits associant jusqu'à 12 prises ou pour les prises dédiées à la cuisine (avec fil de section de 2,5 mm2).
Module équipé d'un capteur résistif (LDR) dont la valeur dépend de la lumière. La surface sensible du capteur réagit à la lumière visible (longueur d'onde environ 400 à 700 nm) et fournit une tension proportionnelle à l'intensité lumineuse. Il se connecte sur une entrée analogique du boîtier de commande AutoProg®.
L'interrupteur crépusculaire commande un circuit lumineux en fonction de la luminosité ambiante à l'extérieur grâce à une cellule photoélectrique : dès que la luminosité décline, l'interrupteur met en marche le circuit lumineux sur lequel il est installé, et l'éteint lorsque la luminosité remonte.
Connecter un système d'éclairage avec une prise connectée
Une lampe doit uniquement être allumée et éteinte. Aussi, il suffit de connecter un adaptateur intelligent de type prise connectée. Ce disposif, très simple, va commuter l'alimentation via via une application.