Ce langage correspond à une partie de la norme SQL (structured query language), l'autre partie étant relative à la manipulation des données (LMD). La définition d'un schéma comprend essentiellement deux parties: d'une part la description des tables, d'autre part les contraintes qui portent sur leur contenu.
Un schéma de base de données représente la configuration logique de tout ou partie d'une base de données relationnelle. Il peut se présenter à la fois sous la forme d'une représentation visuelle et d'un ensemble de formules, appelées « contraintes d'intégrité », qui régissent une base de données.
Le modèle relationnel définit 5 opérateurs de base qui sont l'union, la différence, la sélection (ou restriction), la projection et le produit cartésien.
Une clé d'une relation R est un sous-ensemble minimal C des attributs tel que tout attribut de R dépend fonctionnellement de C. L'attribut id_expert est une clé de la relation Expert dans le schéma 2. Dans le schéma 1, l'attribut id_manuscrit est une clé de Manuscrit.
Le modèle relationnel, introduit par EF Codd en 1970, repose sur la théorie mathématique des ensembles. Codd propose d'utiliser cette théorie universellement connue pour formaliser une base de données (BD) ainsi que les opérations qui lui sont applicables.
Les schémas SQL sont des unités de code à la manière des bibliothèque de code ou des espaces de noms (qui ne sont qu'une version moderne de la notion de library…). Cela confère à la structure d'une base de données, une certaine modularité.
Le modèle conceptuel des données (MCD) a pour but d'écrire de façon formelle les données qui seront utilisées par le système d'information. Il s'agit donc d'une représentation des données, facilement compréhensible, permettant de décrire le système d'information à l'aide d'entités.
Une clé primaire peut être composée d'une ou de plusieurs colonnes de la table. Deux lignes distinctes de la table ne peuvent pas avoir les mêmes valeurs dans les colonnes définies comme clé primaire. Il est possible de définir pour une même table plusieurs contraintes d'unicité, mais au plus une seule clé primaire.
Ouvrez un document vierge ou démarrez avec un modèle. Activez la bibliothèque de formes UML. Sur la gauche de l'éditeur Lucidchart, cliquez sur « Formes ». Une fois dans le Gestionnaire de bibliothèques de formes, cochez « UML » et cliquez sur « Enregistrer ».
Dans la modélisation UML, les interfaces sont des éléments de modèle qui définissent des ensembles d'opérations que d'autres éléments de modèle, tels que des classes ou des composants, doivent implémenter.
Une base de données relationnelle peut être prise en compte pour tout besoin d'informations dans lequel les points de données sont liés, et doit être gérée de manière cohérente, sécurisée et basée sur des règles. Les bases de données relationnelles existent depuis les années 1970.
Les relations de base de données sont des associations entre des tables qui sont créées à l'aide d'instruction de jointure pour récupérer des données. Le tableau suivant décrit les relations de base de données. Les deux tables ne peuvent avoir qu'un seul enregistrement de chaque côté de la relation.
Un attribut clé est l'attribut d'une dimension, qui identifie les colonnes dans la table principale de la dimension qui sont utilisées dans des relations de clé étrangère avec la table de faits. Généralement, l'attribut clé représente la colonne ou les colonnes clés primaires de la table de dimension.
Un modèle logique de données (MLD) est la représentation des données d'un système d'information. Les données sont représentées en prenant en compte le modèle technologique qui sera utilisée pour leur gestion. Par exemple : des fichiers, une structure XML ou encore une base de données orientée objet.
L'utilisateur dbo est un principal d'utilisateur spécial dans chaque base de données. Tous les administrateurs de SQL Server, les membres du rôle de serveur fixe sysadmin , la connexion sa et les propriétaires de la base de données accèdent aux bases de données en tant qu'utilisateur dbo .
On peut la voir comme une table virtuelle, définie par une requête. Les avantages des vues sont : d'éviter de taper une requête très longue : la vue sert à donner un nom à la requête pour l'utiliser souvent, de masquer certaines données à certains utilisateurs.
Les champs d'un enregistrement peuvent aussi être nommés "membres", en particulier dans la programmation orientée objet. Les champs peuvent encore être appelés "éléments", mais cela entraîne un risque de confusion avec les éléments d'une collection.
1. Relatif aux relations entre les individus. 2. Relatif aux relations grammaticales.
Un mode relationnel est une manière de se comporter qui prend sa source dans ce que nous avons vécu durant notre enfance et qui nous influence dans nos comportements.
Un SGBDR est une version avancée d'un SGBD. Contrairement à un SGBD qui gère des bases de données sur un réseau informatique et des disques durs, une base de données RDBMS permet de maintenir les relations entre ses tables.