Comment faire une sclérote? Pour réaliser une sclérote, il faut attirer (ou déposer) le
Avant de lancer toute expérience, il faut réveiller le blob. Un blob endormi est un sclérote qui a séché bien souvent sur un papier filtre. Pour le réveiller, on le mouille légèrement et on le dépose au milieu d'une gélose.
Pour construire un Blob à partir d'objets qui ne sont pas des blobs ou à partir d'autres données, on pourra utiliser le constructeur Blob() . Pour créer un blob qui contient un sous-ensemble d'un autre blob, on pourra employer la méthode slice() (en-US).
Comment endormir un blob ? Le placer sur un papier filtre très légèrement humide et le laisser à l'obscurité et attendre 3-4 jours (voir le tutoriel).
Les méthodes sont nombreuses et dépendent de la solidité des liens qui relient les atomes ou les molécules entre eux. Pour casser ces liaisons inter-atomiques ou inter-moléculaires, on peut déchirer, couper, sans oublier de cisailler, rompre, tirer, appuyer... ou encore chauffer comme dans le cas de la découpe laser.
Non pas au sens strict du terme, on dit que le blob est immortel biologiquement. Lorsque le blob est placé en dormance régulièrement il régénère. Mais attention le blob peut mourir de froid, de chaud, de dessiccation, peut être dévoré etc... Il est immortel au laboratoire où les conditions sont idéales.
Jeter à la poubelle la partie gauche restée dans les boites de Petri n°1 (partie où sont les papiers qui abritaient les sclérotes) et laver les boites de Petri n°1. Pourquoi transférer le blob dans une nouvelle boite ? Le transfert régulier du blob sur une nouvelle gélose permet d'éviter les contaminations.
Mon blob a changé de couleur, est-ce normal ? Réponse: Oui, le blob peut changer de couleur en fonction de son état de santé, de sa phase de croissance, ou des aliments qu'il consomme. Une coloration jaune pâle est généralement saine.
C'est là que le blob présente des avantages. D'abord, il est facilement cultivable en laboratoire et ensuite, il peut être conservé dans un état unicellulaire pendant très longtemps, comme une seule et unique cellule géante. C'est donc un modèle idéal pour étudier l'impact du temps sur ces organismes.
« Il faut chercher dans les vieux tas de bois, dans les zones humides. C'est là que l'on trouve la plupart des myxomycètes. » Il faut prendre soin de retourner les troncs au sol, car le blob pousse à l'abri de la lumière. On les vérifie un à un, patiemment.
Un moyen de le faire est de disposer un morceau d'essuie-tout humide en contact avec la gélose et d'attirer le blob avec un peu de nourriture dessus.
Pour cloner un blob, rien de plus simple : coupez-le en deux. Chacune des deux parties deviendra un blob viable et indépendant.
Lorsque le blob aura quitté son support papier, profitez-en pour retirer ce dernier à l'aide d'une pince à épiler. Le blob ne fera jamais totalement disparaître les grains d'avoine car il ne consomme que les nutriments en surface. Retirez l'avoine délaissé par le blob et ajoutez de nouveaux flocons.
La recette est simple : entraînez un premier blob à traverser des ponts de sel. Mettez le ensuite en contact avec un second blob qui n'a jamais touché le moindre grain de sel. Il est dit « naïf ». Laissez-les fusionner, puis séparez les à nouveau.
Le blob se réveille au bout de quelques heures et commence à partir à la recherche de nourriture. Il faut lui donner quelques flocons d'avoine (ou autre nourriture chaque jour et il va vite se développer). Change la gélose régulièrement (4 jours par exemple).
Cet être vivant hors normes est quasi immortel, il ne craint que la lumière et la sécheresse. Lorsque les conditions sont défavorables, le blob s'assèche et rentre dans une phase de dormance.
Le blob a 3 modes de reproduction : sexuée, asexuée ou par clonage. Son allure est comparable à de la gelée. La plupart du temps, cet organisme primitif est de couleur jaune orangé, de texture gélatineuse et couvert de membranes gluantes.
la levure de blé maltée ou d'avoine et de bière! Les graines de chia, de tournesol avec une préférence pour les graines germées, essayez-les et l'habitat de votre blob deviendra un jardin! Tous les champignons (crus) de Paris, de saison ou tous ceux que vous pourrez trouver dans votre jardin!
Bien entendu, les blobs présents dans la nature ne se nourrissent pas de flocons d'avoine, mais de bactéries et de microbes. C'est après de nombreux tests que l'avoine est apparue comme l'aliment le plus approprié à la croissance du blob.
Dans « Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le blob sans jamais oser le demander » (2017), Audrey Dussutour raconte son parcours, ses découvertes, son métier.
Le blob ne meurt jamais
Découpé, un blob cicatrise et referme sa membrane en moins de deux minutes. S'il se dessèche, il entre dans une forme d'hibernation et n'a plus besoin d'être nourri. Pour le réveiller, quelques gouttes d'eau suffisent.
Il est unicellulaire, il n'est constitué que d'une seule cellule. Il est intelligent, se nourrit, respire et bouge, mais n'a pas de cerveau, de visage, de membres, de poumons ou de muscles. Le blob se nourrit d'avoine, de jaunes d'œuf mais le plus souvent de champignons.
Le blob n'est ni un animal, ni un végétal, ni un champignon! Il n'aime pas la lumière ni la moisissure.
Le blob peut apprendre bien qu'il soit composé une seule cellule dépourvue de cerveau. Il apprend à ignorer ce qu'il n'aime pas comme la lumière ou certaines substances chimiques. Nos expériences ont démontré que le blob peut tolérer certains éléments qu'il n'apprécie pas.
Ce dimanche, focus sur le blob, qu'une chercheuse toulousaine étudie de près. Et qui, s'il peut rajeunir partiellement, souffre aussi du réchauffement climatique. Dans Planète Bleu Occitanie, on décortique des infos liées au climat et à l'environnement.