L'organisation d'une commémoration se fait en fonction de certains critères. Si la commémoration a lieu régulièrement, vous prévoirez un endroit sympathique, la possibilité de se restaurer, la liste des invités, des discours ou des documents rappelant la mémoire du défunt.
Commencez par un souvenir, un dicton ou une citation. Dans la deuxième partie du discours, vous pouvez poursuivre avec des anecdotes, une histoire personnelle, un poème… En conclusion, vous pouvez exprimer le sentiment qui vous anime face à sa disparition.
Organiser une cérémonie d'hommage
Lors de chaque date d'anniversaire du décès par exemple, vous pouvez rassembler le cercle familial ou plus largement les amis et connaissances du défunt sur le lieu de la sépulture (au cimetière, crématorium, lieu de dispersion des cendres, etc).
Parlez de votre proche, de sa vie, des bons comme des moins bons moments. Oui, se souvenir du défunt de façon objective aide aussi à faire son deuil. Racontez aussi quelques anecdotes, en effet faire sourire et parfois même rire, contribue à rendre votre intervention moins formelle et donnera envie de vous écouter.
Comment commémorer ? Les commémorations s'inscrivent aujourd'hui dans une forte dynamique d'évolution, mettant les spectateurs en situation d'acteurs de la commémoration et convoquant toute discipline, comme les arts et le sport, à des fins de transmission de la mémoire.
Cher [Prénom], Ta famille, tes proches, tes collègues et tous ceux qui t'ont aimé sont ici aujourd'hui, pour te rendre hommage. Nous sommes là, réunis en ce lieu, pour te dire au revoir. Tu es parti avant nous, bien trop tôt, et tu nous rappelles qu'ici-bas, notre vie est peu de chose.
Rédiger le discours
Commencez par une citation, des propos typiques de la personne décédée ou un poème. Personnalisez le discours autant que possible : incluez des anecdotes de la vie du défunt et remémorez-vous des souvenirs en sa compagnie. Assurez-vous que les proches reconnaissent le défunt.
“Je suis désolé pour votre perte.” Bien que cette phrase soit devenue un cliché, elle est aussi un moyen simple et succinct de montrer votre empathie. Si vous ne trouvez pas les mots, dire une personne “Je suis désolé pour votre perte » peut permettre de lui faire comprendre que vous vous souciez d'elle.
Ajoutez des exemples concrets, utilisez des métaphores, faites des comparaisons avec des choses familières pour le public. Il faut que le discours soit le plus « visuel » possible pour que l'auditoire puisse suivre facilement. Ensuite seulement, rédigez votre accroche.
inspirez lentement par le nez (pendant environ 4 secondes), retenez votre souffle pendant environ 7 secondes, puis expirez lentement (pendant environ 8 secondes).
Faire dire une messe pour les défunts est donc non seulement un acte de charité, dans la communion des saints, envers ceux qui nous ont quittés, mais aussi un acte de partage et de solidarité, envers nos frères qui cheminent avec nous sur la terre.
Les funérailles constituent généralement la dernière occasion pour dire adieu à une personne décédée qui vous est chère. Ainsi, toute la famille et amis se réunissent pour ce moment douloureux.
La célébration du Quarantième jour marque le début des retrouvailles et l'acceptation de la mort (le deuil). Cet article montre que la durée de quarante jours n'est pas choisie au hasard, elle correspond à des considérations psychologiques et médicales.
Fêter signifie "commémorer une date ou une fête du calendrier religieux" et "célébrer par des réjouissances un événement historique ou personnel" ; ainsi, on peut fêter Noël, fêter une victoire en finale de Coupe du monde de football (phrase à usage unique en France) ou fêter l'obtention d'un diplôme.
Action de commémorer, de rappeler le souvenir d'un événement, d'une personne ; cérémonie faite à cette occasion. 2. Mention que le prêtre fait, au canon de la messe, des vivants et des morts.
Rôle de la commémoration
Une commémoration est à la fois sobre et inspirante, elle est donc une manière appropriée de conclure une expérience éducative. Elle fait appel aux émotions et peut être imprégnée des traditions religieuses et sociales de nombreuses communautés ou sociétés.
des mots de réconfort, de la douceur:
« Prends soin de toi », « Tout simplement, je t'aime », « Je suis loin et j'aimerais juste te prendre dans mes bras en ce moment ».
La douleur de perdre notre mère ne nous quittera jamais complètement, mais le temps permet au chagrin de céder progressivement le pas à l'apprentissage et à cette douleur de nous rendre plus forts. Même si votre âme est incomplète, allez-y et concentrez-vous sur votre bonheur, rendez votre mère fière, où qu'elle soit.