Pour faire une introduction, il faut amener le sujet du contenu en incluant les éléments essentiels pour informer et éveiller la curiosité du lecteur. La première étape consiste à utiliser une accroche pour capter son attention, pour ensuite poser un contexte, énoncer une problématique et aborder le plan à suivre.
Pour être efficace, une introduction se déroule en 4 étapes : l'approche, l'explication du sujet, la formulation de la problématique, et enfin l'annonce du plan. L'accroche peut se faire notamment par le biais d'une citation ou d'un fait d'actualité.
Elle doit amener le sujet, l'analyser et le problématiser. Elle peut en outre annoncer le plan ou du moins les lignes directrices de la réflexion à venir et énoncer les enjeux du sujet. Ainsi l'introduction ne saurait être élaborée qu'après un important travail de réflexion (fait au brouillon).
Une bonne accroche doit introduire non seulement le sujet, mais aussi le problème soulevé par ce sujet. Elle peut suggérer une première réponse au sujet : soit sous forme d'un exemple pouvant être réfuté immédiatement en émettant un doute, soit en utilisant une citation pertinente liée au sujet.
La phrase d'accroche doit être écrite avec des mots simples. Cette courte phrase doit présenter le produit ou service que vous proposez et le problème que vous pouvez résoudre pour le client potentiel. Inutile d'ajouter des mots superflus : allez droit à l'essentiel.
Exemples d'annonce de plan
“Afin de répondre à la problématique susmentionnée, nous verrons premièrement [une description de la situation]. Ensuite, notre réflexion se dirigera deuxièmement sur [une analyse des causes]. Enfin nous étudierons [les solutions ou analyses conséquences]. “
L'amorce ou entrée en matière se doit d'être originale et de susciter l'intérêt du lecteur. Vous pouvez utiliser un fait marquant, des statistiques, une citation ou un ouvrage. Évitez absolument les amorces du type : « De tous le temps, les hommes se sont intéressés à… ».
2. L'accroche basée sur des mots-clés. Exemple : "Mes qualités : organisé(e), optimiste, déterminé(e), flexible et toujours souriant(e)." On retrouve souvent cette accroche sous la forme d'un encadré, encore une fois juste en-dessous du titre du CV pour respecter la mise en page classique du document.
De trois à cinq pages, l'introduction du mémoire situe le cadre de l'étude en suscitant l'intérêt du lecteur car il s'agit des premières pages que va lire votre examinateur. Vous y exposez sujet de votre mémoire, énoncez votre problématique et présentez votre plan.
Comment formuler la problématique ? – Par quoi commencer sa phrase ? Deux tournures sont très utiles pour lancer le débat : "En quoi ?" et "Dans quelle mesure ?" Les tournures "Par quels moyens... ?", "Pourquoi... ?" ou "Doit-on considérer que... ?" lancent également le débat.
Rédiger son introduction après la finalisation du plan de rédaction (au début du projet de mémoire ou de thèse). Rédiger son introduction après la fin de la rédaction du mémoire (à la fin du projet).
La conjonction et peut s'employer en début de phrase pour marquer une opposition ou un sentiment, ou pour souligner l'enchaînement des idées, accélérer un dialogue ou un récit : Vous avez tout dépensé. Et vous venez me réclamer de l'argent, à moi qui n'ai plus un sou.
Comment se présenter en français en donnant ses nom et prénom dans le bon ordre ? Pour se présenter ou présenter quelqu'un en français, il faut donner son prénom et son nom dans le bon ordre ! Pour se présenter, on peut utiliser : Je suis / Je m'appelle / Moi, c'est + prénom.
Une introduction est généralement un texte court figurant en préambule d'un ouvrage. Dans un écrit académique (rapport de stage, mémoire, thèse), l'introduction suit des usages particuliers et sert principalement à présenter le sujet du document et à annoncer son plan.
~~Le fouillis de vers de vase convient parfaitement pour les amorces de fond. ~~Les asticots, plus volumineux, naturellement gras et très remuants, désagrègent rapidement les boules les plus serrées. ~~L'asticot convient donc aux préparations collantes et lourdes.
Une formule assez simple est souvent utilisée pour annoncer un plan : « Afin de répondre à la problématique posée, il serait intéressant d'étudier en premier lieu (axe I), puis en second lieu (axe II) ». L'annonce doit être explicite et claire, et suivant une certaine logique.
Les premières lignes de l'introduction doivent présenter, dans un contexte général, la nature du sujet qui sera traité, un exemple tiré du sujet d'actualité, ou un fait historique. Le lecteur est ainsi fixé, dès le départ, sur le thème. Ces quelques lignes doivent éveiller son intérêt, attirer son envie de lire.
L'introduction, qui dégage la logique du plan, est une présentation du sujet : elle doit l'amener et le poser, avant de le diviser.
« Quel est ton cours favori ? » 👉 Ces déterminants peuvent être un attribut du sujet dans une subordonnée complétive interrogative indirecte. En d'autres termes, ils ne seront pas situés au début de la phrase ! 👉 Même dans ce cas-là, la règle reste la même.
Vis comme si tu devais mourir demain. Apprends comme si tu devais vivre toujours. Lorsqu'une porte du bonheur se ferme, une autre s'ouvre ; mais parfois on observe si longtemps celle qui est fermée qu'on ne voit pas celle qui vient de s'ouvrir à nous.
– Pour introduire des exemples et varier les expressions, on peut utiliser : « ainsi », « c'est le cas de », « par exemple », « notamment », « imaginez-vous que ». – Pour reformuler sa pensée on peut employer des termes comme : « en d'autres termes », « c'est-à-dire », « autrement dit ».