Le sol est continuellement humide ou le drainage est trop lent. Les racines deviennent spongieuses, brunissent et pourrissent.
Symptômes et Dégâts
Très rapidement les plantes sont défoliées. Elles consomment également la sauge officinale, le romarin et la lavande papillon. Les symptômes dus aux attaques se caractérisent par le bout des pousses qui devient marron et par un dépérissement.
Dans ces cas, la meilleure chose à faire est de déplacer la plante et de tailler les parties sèches ou pourries. De même, si le sol est gorgé d'eau, il sera important de rempoter le romarin et de mettre en place un nouveau substrat avec un bon drainage.
Si votre romarin n'a pas été entretenu régulièrement et qu'il n'a plus de jolie forme, n'hésitez pas à en faire des boutures afin de le remplacer. Pour cela, entre août et octobre, coupez des extrémités de tiges de 15 cm environ et mettez les en terre, elles reprendront très facilement.
Elle provoque une chute de la rusticité, et le romarin qui est pourtant capable, selon les variétés, d'endurer des températures de -8 °C à -15 °C dans son milieu d'origine, peut se trouver tué par un simple gel si le sol est trop mouillé.
Cette plante connue pour être très simple d'entretien peut cependant avoir quelques petits soucis de temps en temps. Les branches peuvent brunir ou noircir sans que vous ne sachiez pourquoi. En réalité, le changement de couleur de votre plante s'explique par la présence de champignons dans cette dernière.
Assurez-vous de tondre régulièrement et évitez les herbes hautes augmentant l'humidité. Aérez les plantes et assurez vous d'une exposition suffisamment ensoleillée. Qu'il s'agisse de cette maladie ou d'une autre maladie cryptogamique, aspergez le romarin d'une décoction de prêle.
Il ne faut pas se presser de tout couper. Un romarin gelé n'est pas forcément mort, et c'est le cas de beaucoup de végétaux qui semblent « grillés » à la fin de l'hiver. Dans le cas de ce romarin qui émet de nouvelles feuilles sur les branches encore vivantes, l'observation doit être minutieuse.
Le romarin aime le soleil, même les situation brulantes l'été. Préférez lui une situation abritée des vents forts, surtout près de la mer. Le romarin redoute l'humidité dans le sol et ne résiste pas à l'eau stagnante. Il aime les terres bien drainés, même pauvres ou calcaire.
La cause principale du brunissement des pointes des feuilles est un assèchement trop intense. La sève ne se rend pas à cause d'un manque cruel d'arrosage.
Le romarin ne demande pas beaucoup d'entretien. Pensez à l'arroser faiblement sans jamais laisser l'eau stagner. Si les branches sont mortes, coupez-les pour stimuler la croissance de la plante. Paillez son pied avant l'hiver, pour les régions où le climat est froid.
Les besoins du romarin sont simples : il requiert un apport d'eau modéré. Pour autant, l'arrosage du romarin ne doit pas être inexistant. Pour arroser le romarin en pleine terre, versez de l'eau au pied du plant, sans excès. En effet, cette plante aromatique n'aime pas l'humidité.
Lorsque votre sol est humide et que votre pied de romarin jauni, c'est le signe que les racines s'asphyxient. Pour éviter cela, faites un monticule d'une trentaine de centimètres et plantez le au sommet, afin que l'eau ne reste pas au premier niveau des racines.
La meilleure période pour tailler le romarin : en mars-avril juste après la floraison, puis à l'automne, c'est-à-dire en octobre-novembre.
Bon à savoir : le savon noir devra être privilégié pour une petite attaque de chrysomèles et il faudra utiliser une cuillère à soupe pour un litre d'eau ; en revanche, le pyrèthre ( insecticide naturel à base de fleurs séchées ) devra être utilisé en cas d'attaque plus importante.
Le romarin (Rosmarinus officinalis) est une plante boisée et aromatique qui peut vivre pendant 15-20 ans. C'est un arbuste à feuilles persistantes avec une hauteur de 1,2m.
Le romarin aime le plein soleil et l'aridité, sans exposition aux vents froids. Un sol chaud, léger et bien drainé est l'idéal pour le romarin mais un sol pauvre, un peu calcaire ou ordinaire lui conviendra aussi, dès lors que la terre soit bien drainée et sans trop d'humidité.
Cultivé en pleine terre, le romarin ne nécessite quasiment pas d'entretien. On se contente de le rabattre (tailler) de moitié après la floraison pour conserver un port assez compact et éviter que le bas de l'arbuste se dégarnisse. Les romarins taillés sont cependant en général moins florifères l'année suivante.
Cela pourrait être dû à la sécheresse (j'ai perdu un jeune pied de romarin cet été) ou à une infestation de thrips. Ce sont de toutes petites bestioles qui font le même genre de dégâts.
Le romarin a généralement besoin d'azote, de phosphore, de potassium, de soufre et de magnésium pour s'épanouir et donner un bon rendement durable pendant une dizaine d'année. Dans la plupart des cas, la plante répond bien à un apport en azote, particulièrement s'il est appliqué après la récolte.
Mâcher du romarin est un geste sain pour le système digestif. En effet, cette plante aromatique contient de précieux principes actifs qui aident à soulager l'inconfort causé par les troubles du système gastro-intestinal tels que les nausées, les brûlures d'estomac et les flatulences.