En ce sens, on dit que le bonheur est un bien suprême, un Souverain Bien, car il est ce que vise tout homme, il est le désirable absolu : en effet, il ne viendrait à l'idée de personne de se demander « à quoi bon être heureux ? » Et en même temps, il est ce que l'on vise pour lui- même, il vaut par soi seul.
Bonheur : « Etat de complète satisfaction, de plénitude. » Voilà pour le sens premier défini par le Petit Larousse illustré, dans son édition de 1992. Et le deuxième sens est : « Chance, circonstance favorable, joie, plaisir. » En peu de mots est ainsi exprimée toute l'équivoque du concept de bonheur.
Pourtant il y a un consensus pour admettre qu'un bonheur « global » s'acquiert par l'addition d'éléments tels que : bonne santé, réussite sociale, aisance matérielle, confiance en soi, optimisme. La question s'arrête-t-elle là ? On peut avoir tout cela et être incapable de trouver un sens à sa vie.
Une conception possible du bonheur, C'est l'état d'esprit de celui qui vit en harmonie avec lui-même et avec le monde qui l'entoure. C'est pourquoi, pour être heureux, il faut être soi-même. Mais être en harmonie avec soi-même, c'est établir une paix intérieure que rien ne vient troubler au sein de soi.
Définition du bonheur
Il s'agit d'un état durable de plénitude et de satisfaction, agréable et équilibré de l'esprit et du corps. La souffrance, l'inquiétude, le trouble sont absents. Le bonheur est en lien avec l'image que l'on a de soi par rapport à tout ce qui nous entoure.
Le bonheur se distingue du plaisir et de la joie, qui sont des émotions éphémères et toujours liées à un objet particulier. La satisfaction des besoins fondamentaux (se nourrir, se vêtir, se loger et se sentir en sécurité) représente les éléments essentiels pour atteindre un état de bien-être.
En somme, le bonheur rend créatif, flexible, ouvert d'esprit, et, bien souvent, efficace. Les émotions positives engendrent aussi des changements durables et profonds. Nous nous sommes récemment demandé si la joie de vivre constituait une forme de protection contre les événements néfastes de la vie.
L'origine. Le mot bonheur est composé de bon, le contraire de mauvais, et de heur. Heur vient du latin augurium, « présage tiré de l'observation du vol des oiseaux », qui a aussi donné le mot augure. L'heur, initialement, désigne un présage, qu'il soit bon ou mauvais.
Selon Épicure donc, le bonheur est non seulement à notre portée, mais il est facile d'accès : sera heureux, celui qui aura su discipliner ses désirs ; celui-là connaîtra le contentement véritable, en se tenant à l'écart de tout ce qui pourrait être source de malheur.
Le bonheur n'est pas seulement une somme de plaisirs, il est un état de totale satisfaction. Or cette raison et cette conscience exigent de l'homme qu'il soit à la hauteur de la dignité que celles-ci lui confèrent en tant que sujet. Si on peut tout sacrifier à notre bonheur, on n'a pas peut-être le droit de le faire.
Le bonheur, en philosophie, peut se définir comme l'état de complète satisfaction. Dans la philosophie antique (Epicure a écrit le premier traité du bonheur : La lettre à Ménécée), le but de la vie humaine est le bonheur, fin parfaite et Souverain Bien (summum bonnum).
Puisqu'il est un idéal impossible à atteindre, le bonheur n'existe pas réellement. Ce n'est ni un état, ni un but : c'est une idée. En tant qu'idée, le bonheur est imaginé différemment par chacun d'entre nous.
État heureux, de bien-être. Chance, hasard favorable. Notion philosophique relative à un état constant de plénitude, contentement, enchantement, bien-être. Bonheur entier, inconditionnel et stable, entière satisfaction qu'elle soit physique ou morale.
Le bonheur est vital, indispensable à notre équilibre. Il est à l'origine de nombreuses vertus et joue un rôle prédominant sur notre santé; être heureux permet de vivre plus longtemps, d'avoir un meilleur système immunitaire et d'être bien dans sa peau, tout simplement !
Le bonheur est un état de satisfaction complète caractérisé par sa stabilité et sa durabilité. Il ne suffit pas de ressentir un bref contentement pour être heureux. Une joie intense n'est pas le bonheur. Un plaisir éphémère non plus.
allégresse, béatitude, bien-être, contentement, euphorie, idéal, prospérité. – Littéraire : délectation, félicité.
Ainsi que l'indique l'universitaire Frédérique Ildefonse, « que le bonheur réside dans le plaisir, la connaissance ou la vertu, il est la caractéristique d'une vie : vie de jouissance, vie philosophique ou politique.
L'homme jouit du bonheur qu'il ressent, et la femme de celui qu'elle procure. Le plaisir de l'un est de satisfaire des désirs, celui de l'autre est surtout de les faire naître. Que l'homme est né pour le bonheur, certes toute la nature l'enseigne.
Etre respecté, être acteur de sa santé, réussir en couple et être un bon parent, aimer notre travail et bien gérer notre temps, voici ce qui nous rend heureux.
bonheur n.m. Événement heureux ; circonstance favorable.
Selon Martin Seligman, il existerait trois chemins pour accéder au bonheur : la vie plaisante, c'est-à-dire, la poursuite des expériences et des émotions positives ; la vie engagée, relative à la poursuite de l'engagement ; et la vie signifiante, propre à la poursuite du sens.
Quels que soient les critères d'évaluation du bonheur qu'elles proposent, les recherches en psychologie et en économie admettent deux présupposés : 1) Le bonheur est une valeur que nous plaçons, ou devrions placer, au-dessus de toutes les autres.
Le secret du bonheur c'est la liberté, et le secret de la liberté c'est le courage. Le secret du bonheur ne consiste pas à rechercher toujours plus, mais à développer la capacité d'apprécier avec moins. Le plus grand secret du bonheur, ne jamais faire semblant d'être bien avec l'autre...
"Le secret du bonheur, c'est de vivre comme tout le monde, en n'étant comme personne." Simone de Beauvoir.