plus généralement, changement climatique ; forte géoingénierie du Soleil ; explosion d'une supernova à faible distance du système solaire ; sursaut gamma orienté vers notre région de la galaxie.
Selon les études les plus optimistes, l'espèce humaine pourrait survivre encore un milliard d'années sur la planète bleue. Passé ce stade, Scientific American explique que le Soleil signera la fin de l'humanité. Lorsque ce dernier chauffera la Terre comme il le fait déjà avec Vénus, la planète deviendra invivable.
En 2025, la population mondiale pourrait atteindre de 7,5 à 9,5 milliards d'habitants, contre 5,8 aujourd'hui. En 2040, l'accumulation des gaz à effet de serre pourrait avoir entraîné un réchauffement de 1° C à 2° C de la température moyenne de la planète et une élévation de 0,2 à 1,5 mètre du niveau des océans.
Selon le biologiste Luc Bussière, la principale cause d'une extinction prochaine de l'humanité est la guerre nucléaire. Avec la prolifération de ce type d'armes, un conflit d'ampleur mondiale déclencherait certainement un hiver nucléaire prolongé amenant à la disparition de la majorité des espèces animales sur Terre.
Le risque d'extinction de l'humanité a été "dangereusement sous-exploré". C'est l'alarmante conclusion d'une étude réalisée par des climatologues et publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) le 1er août 2022.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
Le climatologue et météorologue, Robert Vautard, a dressé un panorama des espaces habitables à l'horizon 2050 sur une planète plus chaude de 2°C. Les espaces habitables seront modelés par deux principaux facteurs : le changement climatique et les politiques publiques qui seront menées en conséquence ou en anticipation.
Nous ne ferons plus face à de simples gratte-ciel, nous habiterons dans des méga-structures gigantesques, regroupant plusieurs tours. Mais le monde souterrain commencera lui aussi à être colonisé avec des structures d'habitations qui s'enfonceront jusqu'à 25 étages sous terre.
Le destin le plus probable pour la planète consiste en son absorption par le Soleil dans environ 7,5 milliards d'années, après que l'étoile sera devenue une géante rouge et que son rayon aura dépassé celui de l'orbite terrestre actuelle.
En 2100, les villes sont plus compactes et plus efficaces sur le plan énergétique. À cette date, la concentration en CO2 atteint 550 ppm (la population est de 8,5 milliards d'habitants), les températures mondiales sont en hausse, mais les conséquences des changements climatiques sont maîtrisées et en baisse.
La sixième extinction de masse s'accélère et met en péril la survie de la population humaine : c'est ce qu'affirme une étude, publiée le 1 er juin dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.
Les changements climatiques vont continuer à s'aggraver, mais même si les plus récents rapports scientifiques, dont celui dévoilé lundi par l'ONU, n'ont rien de particulièrement réjouissants, les chercheurs sont unanimes à dire qu'il n'est pas trop tard pour sauver la planète ou l'humanité.
Il y a de fortes chances pour qu'il n'y ait plus la moindre trace d'humanité puisque le réchauffement climatique aura rendu la planète si aride qu'on ne pourra plus survivre aux fortes chaleurs (et ça risque d'arriver un peu plus tôt que dans 3000 ans, mais bon finissez quand même votre tasse de café).
L'une des conséquences néfastes du réchauffement climatique sur les océans, mise à part la pollution globale et la hausse des températures de l'eau, c'est la désoxygénation.
D'ici 2070, si le pays restera habitable, il faudra s'habituer à une canicule permanente. Il faudra aussi envisager la fermetures des stations de ski, faute de neige. Et enfin, les habitants des régions côtières risqueront des inondations brutales en raison de la montée des océans.
En 2100 nous vivrons surement dans une planète très chaude suite au réchauffement climatique. Les températures seront très élevées. Nous serons beaucoup sur la planète. Que mangerons-nous ?
Si les émissions de CO2 continuaient au rythme actuel, les chercheurs estiment aussi que d'ici 2150, la Terre sera revenue 50 millions d'années en arrière, à l'aube de l'évolution des premiers mammifères (les dinosaures ont disparu il y a 65 millions d'années). De nombreuses espèces en danger.
Dans 1000 ans, les hommes seront davantage connectés à la technologie. De minuscules appareils électroniques seront implantés dans le corps humain pour en renforcer le système immunitaire. La solution faciliterait alors la lutte contre les maladies. La technologie des nanobots pourrait révolutionner la chirurgie.
En effet, à l'horizon 2050, six des sept plus grandes économies au monde pourraient être des pays émergents contre quatre aujourd'hui. La Chine, l'Inde, la Russie et le Brésil seraient donc rejoints par le Mexique et l'Indonésie.
on aura majoritairement adopté la mobilité douce en ville comme la marche, le vélo, la trottinette ; les villes laisseront plus de place à la nature ; la consommation sera plus durable privilégiant les produits locaux et les circuits courts.
Dans 20 ans, «nous devrions comprendre le climat bien mieux qu'aujourd'hui», répond Alain Royer. Présentement, on a du mal à prévoir les effets de rétroaction. Par exemple, le réchauffement climatique, dû principalement au CO2 dans l'atmosphère, permet aux plantes de pousser plus vite et plus tard en automne.
En septembre 2019 , il publie Devant l'effondrement : Essai de collapsologie, dans lequel il annonce que par effets systémiques l'effondrement mondial devrait se produire entre 2020 et 2040, période durant laquelle la population serait décimée par la famine, les maladies, les guerres, jusqu'à être réduite à deux ou ...
Et d'ici 30 à 50 ans, plusieurs zones pourraient devenir inhabitables, en raison d'un indice wet bulb supérieur à 35°C. Ce pourrait être le cas, d'ici 2050, de l'Asie du Sud, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen).
Le climat méditerranéen serait remonté jusqu'à la région du centre de la France, attirant de nombreux touristes à Mâcon, Dijon ou Beaune. Les lacs et les cascades du Jura seront idéaux pour se rafraîchir. La baie de Somme, elle, remplacerait la destination du bassin d'Arcachon, dont l'air serait devenu trop suffocant.
Notre planète va mal: réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles, pollutions des sols et de l'eau provoquées par les industries civiles et guerrières, disparité des richesses, malnutrition des hommes, taux d'extinction effarant des espèces vivantes, etc.