Faire l'étanchéité avec du silicone entre l'axe et la tuile. Remplir le tube à l'intérieur de l'épi avec le silicone. Venir recouvrir immédiatement avec l'épi (l'axe doit rentrer dans le tube) et faire l'étanchéité avec du ciment ou du silicone entre l'épi et la tuile.
Le faitage zinc se fixe avec des clous calotins et protège le sommet d'un comble ou d'un toit. le faitage s'emboite facilement avec ses 2 pinces. Quantité : Ce produit n'est pas vendu à l'unité.
L'étanchéité au niveau du mur se fait avec un mortier, celui-ci peut-être amélioré en incorporant du latex dans l'eau de gâchage. Mouillez le mur abondamment et à l'aide d'une truelle, reliez le mur à la partie étanche du solin grâce à un joint en biais d'environ 10 cm.
Il est souvent nécessaire de choisir son faitage en fonction du type de toiture présent sur son toit. En effet, pour un toit de tuiles on préfère utiliser un faîtage en tuile. Cela assure, non seulement, une toiture esthétiquement cohérente, mais également une étanchéité au maximum de ses capacités.
Mise en place de la girouette (idéalement sur le toit)
faites un trou profond de 15 cm à l'aide d'une perceuse adaptée; insérez le mât dans le trou ; montez la girouette suivant le mât et un axe bien vertical ; fixez un joint de silicone à la base du mât afin de protéger le trou de la pluie.
Il faut se mettre dans un endroit sans vent ni courant d'air. Il faut ensuite incliner la girouette et vérifier qu'elle reste immobile quelque soit l'orientation qu'on lui donne - si elle tend à reprendre systématiquement la même position, alors il faut l'équilibrer.
La flèche de la girouette désigne la direction d'où provient le vent. Les points cardinaux sont indiqués sur la plupart des girouettes, à l'aide des lettres N pour Nord, S pour Sud, E pour Est et O pour Ouest.
Faîtage au mortier ou maçonné
Le mortier de chaux (mélange de ciment et de chaux) est le plus approprié car il empêche bien la pénétration des eaux de ruissellement grâce à la chaux. Celle-ci est plus élastique que le ciment trop rigide et sujet à fissuration.
Une fois prêt, poser des gros boudins de mortier sur le faîtage du toit en pré dessinant la forme de la tuile de faîtage. Humidifier la tuile pour améliorer son adhérence. Poser ensuite la tuile sur le boudin de mortier. La stabiliser et la tasser à la main.
La fixation des faîtières s'effectue avec des clous 3. Les tuiles sont posées à sec, du fait d'une fixation obligatoire (tirefond ou clou zingué) sur la panne faîtière. Chaque tuile dispose de deux trous de clouage non débouchants. Il faut prévoir un complément d'étanchéité sur la tête de chaque pointe ou tirefond.
Le faîtage à sec. Le faîtage à sec est désormais la solution technique de mise en œuvre de référence en neuf comme en rénovation. En effet, le faîtage à sec répond aux exigences de ventilation de toiture telles que prévues au DTU. Et également à l'obligation d'« assemblage homogène » du toit.
Si vous devez marcher sur une tuile, posez uniquement le pied sur le point de rencontre des tuiles (là où elles sont le plus solide). Mais attention : le risque de les briser est plus grand que si vous utilisez un chemin de planches.
Dans le cas d'un faîtage à sec, les tuiles faîtières se posent à l'inverse des vents dominants. Leur fixation s'effectue alors avec un clou ou une vis munie d'une étanchéité. Le closoir se place sous les tuiles du faîtage ou des arêtiers pour assurer l'étanchéité.
La pose des bandes de rive en zinc
Il faut éviter de mettre la bobine de zinc en contact avec du mortier, du bitume ou un autre matériau de type « chaux ». La pose doit être effectuée sur un support sec, propre et non gras. Les bandes de rive à biseau se raccordent entre elles en s'emboîtant par l'ourlet sur 5 cm.
Il faut également pré-percer les tôles ondulées. Les tirefonds ne se posent que dans des supports en bois. Il y a deux types de tirefonds de toiture, les tirefonds à visser et les tirefonds à bourrer. Les tirefonds à visser se vissent dans le bois sous l'action d'un outil en rotation (visseuse ou clé ou vilebrequin).
La couverture chaude en zinc
La couverture chaude, ou « toiture chaude » en zinc, dispose d'un isolant placé sur le support de toiture, sans ventilation. En règle générale on place un écran pare-vapeur entre le support et l'isolant et une membrane d'étanchéité afin de préserver les performances thermiques de l'isolant.
1 - Préférer un mortier bâtard à un mortier de ciment seul, pour limiter les risques de fissuration des joints, voire la détérioration de la tuile. 2 - Humidifier la tuile. 3 - Bien serrer le mortier en rive de tuile pour optimiser l'esthétique et l'étanchéité. 4 - Utiliser des sables de granulométrie 0/4 à 0/5.
La fixation des tuiles d'une toiture se fait soit par collage soit par liaison mécanique à l'aide de crochets. Les types de crochets de fixation des tuiles varient en fonction du type de tuile et du rôle principal à assurer contre le glissement et/ou le soulèvement.
La solution idéale est l'obturateur de tuiles. C'est un outil qui permet de boucher les trous des tuiles pour éviter que les nuisibles puissent s'y insérer, tout en gardant l'aération car ils sont formés d'un fil en inox équipé de ressorts.
Son dosage est de 1 volume de chaux pour 1 à 2 volumes de sable. le corps d'enduit, ou dégrossis. Le support doit être mouillé la veille. Le mortier est dosé, pour 1 volume de chaux, de 3 à 4 volumes de sable.
MORTIER - bâtard - n.m. :
Mortier réalisé avec deux liants (chaux et ciment à parts égales par ex.), utilisé pour les enduits en particulier.
Le closoir est un accessoire participant à l'étanchéité d'une couverture en tuiles. C'est une pièce métallique, en plastique ou en matériau bitumeux, contribuant à l'étanchéité d'un faîtage ou d'un arêtier.
Faisant office de girouette, un coq surmonte très souvent les clochers des églises. Une décoration qui s'explique par l'importance de ce volatile dans la culture chrétienne. L'animal, dont le chant annonce le lever du soleil, symbolise en effet le passage des ténèbres à la lumière.
La direction du vent se mesure avec une girouette dont la position peut être repérée soit par la rotation d'un potentiomètre, soit à l'aide de détecteurs photoélectriques (photodiodes ou phototransistors).