Dans le domaine religieux on appelle stigmates les marques des plaies du corps de Jésus de Nazareth crucifié qu'ont portées certaines personnes au cours de leur vie. Le phénomène, signalé à partir du XIII e siècle, est d'ordre mystique en religion.
Les plaies du Christ ou Saintes Plaies sont les cinq plaies des deux mains et des deux pieds de Jésus de Nazareth crucifié et cloué sur la croix, et de sa plaie au flanc droit faite par le centurion Longin avec son javelot, pour constater sa mort, selon l'Évangile selon Jean, 19.
Pierre serait mort en 64 : Eusèbe de Césarée affirme que Pierre « fut crucifié la tête en bas, après avoir lui-même demandé de souffrir ainsi ». Il s'estimait indigne d'être crucifié de la même manière que Jésus.
Celle de Paris disparaît pendant la Révolution française. Celles du Vatican et d'Arménie sont aujourd'hui conservées respectivement à Saint-Pierre de Rome et au musée Manougian d'Etchmiadzin. Après bien des péripéties, celle des empereurs germaniques est aujourd'hui conservée au palais du Hofburg, à Vienne.
Marque durable que laisse sur la peau une maladie, une plaie : Les stigmates de la petite vérole. 2. Littéraire. Toute marque, toute trace qui révèle une dégradation (surtout pluriel) : Les stigmates de la guerre.
Le stigmate n'est pas un attribut en soi : il se définit dans le regard d'autrui. Il renvoie à l'écart à la norme : toute personne qui ne correspond pas à ce qu'on attend d'une personne considérée comme « normale » est susceptible d'être stigmatisée. Le stigmate s'analyse donc en termes relationnels.
Littéraire. Imprimer sur le corps de quelqu'un une marque indélébile à titre de châtiment : Jadis, on stigmatisait au fer rouge les condamnés. 2. Dénoncer, critiquer publiquement quelqu'un ou un acte que l'on juge moralement condamnable ou répréhensible : Stigmatiser les responsables de la mauvaise gestion économique.
Saint Longin le Centurion (ou sanctus Longinus sous sa forme latine) (dont le grade de « centurion » est légendaire) est le nom traditionnel que la tradition chrétienne donne au soldat romain qui a percé de sa lance le côté droit du Christ une fois mort sur la croix.
Selon une tradition chrétienne qui remonte à la fin du IV e siècle, c'est la mère de l'empereur Constantin Ier , l'impératrice Hélène, qui aurait découvert la Croix de Jésus ainsi que celles des deux larrons, lors d'un pèlerinage en Palestine entrepris en 326.
Selon Simon Claude Mimouni, « la tradition chrétienne la plus ancienne affirme que Pierre a été tué en 68 et que Paul l'a été en 64 », mais pour lui « il est tout à fait envisageable de penser que c'est Pierre qui a disparu le premier en 64, et Paul le second en 68 ».
INRI serait l'acronyme, dit Titulus Crucis, de l'expression latine Iesvs Nazarenvs, Rex Ivdæorvm généralement traduit par : « Jésus le Nazaréen, roi des Judéens », une autre proposition, pourtant dénuée de sens dans son contexte historique initial, serait « Igne Natura Renovatur Integra » "le feu renouvelle tout dans ...
On peut commencer et terminer le chapelet en faisant 5 fois le signe de croix, en souvenir des cinq plaies. On peut aussi, sur chaque plaie symbolisée par une médaille réciter l'invocation du chapelet des saintes Plaies: « Père éternel, je vous offre les Plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ.
Un crucifix consiste en l'image de Jésus attaché à la croix, souffrant, parfois mort. La croix, qui présente deux morceaux de bois liés, renvoie à l'outil de torture et de mise à mort utilisé dans l'Empire romain et sur lequel Jésus a perdu la vie.
« Et le vendredi saint, en mémoire du sacrifice de Jésus-Christ, les Chrétiens ont coutume de manger maigre et de s'abstenir de consommer de la viande, le poisson venant ainsi se substituer à ces aliments.
Le baiser de Judas est celui de Judas à Jésus-Christ afin de désigner aux soldats romains l'homme à arrêter, signant sa trahison.
Récits bibliques
Chacun des quatre Évangiles rapporte qu'après l'arrestation de Jésus, l'apôtre Pierre, par peur de risquer lui aussi la mort, nie trois fois avoir eu aucune relation avec celui-ci.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
Stigmatisation, discrimination, quelle différence ? La stigmatisation relève d'une dévalorisation de la personne, tandis que la discrimination implique une action pour lui nuire ou la mettre à l'écart.
Mettre quelqu'un à l'écart de la société, le situer en dehors du centre d'une activité : Les structures sociales marginalisent certaines couches de la population. 2. Écarter quelque chose, une activité de ce qui est essentiel, les rendre accessoires, secondaires : Marginaliser une formation politique.
Qui cause du dégoût par son caractère vil, bas, indigne : Un crime infâme. 2. Qui cause de la répugnance par sa saleté : Un infâme taudis.
La stigmatisation est un processus qui, à terme, marque l'individu ou le groupe d'un opprobre : les stigmatisés sont ceux et celles qui subissent une réprobation sociale parce qu'ils auraient contrevenu à une loi ou une norme sociale ; ils sont vus comme étant déviants.
« Lorsqu'un individu est mis en présence d'autres personnes, celles-ci cherchent à obtenir des informations à son sujet ou bien mobilisent les informations dont elles disposent déjà ».