Le fonctionnement du cryptosystème RSA est basé sur la difficulté de factoriser de grands entiers. Soit deux nombres premiers p et q, et d un entier tel que d soit premier avec (p-1)*(q-1)). Le triplet (p,q,d) constitue ainsi la clé privée.
Le chiffrement RSA est asymétrique : il utilise une paire de clés (des nombres entiers) composée d'une clé publique pour chiffrer et d'une clé privée pour déchiffrer des données confidentielles.
Protocole RSA pour le codage
e × d + m × (p – 1)(q – 1) = 1 Pour ce faire, elle peut utiliser un algorithme de calcul très connu depuis l'Antiquité (vers 300 ans avant Jésus-Christ) appelé algorithme d'Euclide. Elle calcule également n = p × q.
Le chiffrement repose sur l'utilisation d'un algorithme de chiffrement et d'une clé vont permettre de chiffrer les données. En retour, le destinataire utilisera une clé pour déchiffrer le message. On distingue deux systèmes de chiffrements : le chiffrement symétrique et le chiffrement asymétrique.
RSA est un système cryptographique, ou cryptosystème, pour le chiffrement à clé publique. Il est souvent utilisé pour la sécurisation des données confidentielles, en particulier lorsqu'elles sont transmises sur un réseau peu sûr comme Internet.
Le terme de cryptage et ses dérivés viennent du grec ancien kryptós pour « caché » ou « secret ». A la différence du chiffrement, il n'est pas nécessaire de connaître la clé pour « casser » le secret. Déchiffrer un message consiste à le décoder avec une clé tandis que décrypter un message revient à décoder sans clé.
Le principal objectif du chiffrement consiste à garantir la confidentialité des données numériques stockées sur des systèmes informatiques ou transmises via Internet ou d'autres réseaux.
Les méthodes les plus connues sont le DES, le Triple DES et l'AES pour le chiffrement symétrique, et le RSA pour le chiffrement asymétrique, aussi appelé chiffrement à clé publique.
Le cryptage des données a donc plusieurs intérêts pour l'entreprise. Il sécurise ses informations sensibles, même quand elles sont stockées hors de la structure. Il évite aussi les fuites de données sensibles en cas de perte ou de vol de matériel.
Transformation d'un message en clair en un message codé compréhensible seulement par qui dispose du code : L'agent a effectué le cryptage de la dépêche. (Si l'on veut formellement intégrer la notion de « clé », il est préférable d'utiliser le terme chiffrement.) 2.
La cryptographie quantique, qui repose sur la transmission de qubits générés aléatoirement, assure l'inviolabilité des échanges en toutes circonstances. Ces qubits constituent des clefs, qui sont ensuite utilisées dans des protocoles de chiffrement classiques.
La difficulté calculatoire supposée de ce problème implique la sécurité sémantique du chiffrement RSA avec un remplissage adéquat (comme OAEP par exemple), puisque le chiffrement RSA tel qu'il est usuellement décrit est déterministe et ne peut donc pas être sémantiquement sûr.
Symétrique par le fait d'utiliser une clé identique avec le même algorithme de chiffrement pour le chiffrement et le déchiffrement. Asymétrique par le fait d'utiliser une clé pour chiffrer (clé publique) et une autre clé pour déchiffrer (clé privée) avec le même algorithme de chiffrement.
Ainsi, les nombres premiers permettent de reconstruire les autres nombres, d'où l'appellation « premiers ». Par exemple, 6 n'est pas un nombre premier, mais il est égal à 2 x 3, où 2 et 3 sont des nombres premiers. De même, 9 = 3 x 3, 42 = 2 x 3 x 7, etc.
Le chiffrement de bout en bout est un protocole de sécurité qui garantit la sécurité de vos communications. Grâce à lui, personne (y compris Google ou des tiers) ne peut lire vos messages lors de leur acheminement entre votre téléphone et celui de votre interlocuteur.
Clé de chiffrement symétrique et asymétrique
Il existe deux principaux types de clé de chiffrement. Une clé peut être symétrique ou asymétrique. En réalité, il s'agit là encore d'un abus de langage, puisque c'est plutôt le chiffrement lui-même qui est symétrique ou asymétrique, mais le terme est très utilisé.
Dans le chiffrement asymétrique, on utilise la clé publique du destinataire pour chiffrer et la clé privée du destinataire pour déchiffrer un message. Ainsi, si Alice veut envoyer un message chiffré à Bob, elle chiffre le message avec la clé publique de Bob puis envoie à Bob le texte chiffré.
« Les faits, rien que les faits » : les commentaires porteront sur les seuls chiffres, ni plus, ni moins, sans exprimer aucune opinion de la part de l'émetteur. Afin d'éviter toute confusion, les tournures seront affirmatives et l'on évitera les négations ('ne' …'pas' ; 'ne'… 'que' …).
La confidentialité est la propriété qui assure que l'information est rendu inintelligible aux individus, entités, et processus non autorisés.
Les fonctions de hachage sont utilisées en informatique et en cryptographie notamment pour reconnaître rapidement des fichiers ou des mots de passe.
En français, crypter un fichier est un terme impropre parce qu'il ne renvoie pas à la notion de clé de chiffrement. Concrètement, crypter un fichier est possible : cela signifie chiffrer un document sans connaître la clé de chiffrement.
En algorithmique, un algorithme probabiliste, ou algorithme randomisé, est un algorithme qui utilise une source de hasard. Plus précisément le déroulement de l'algorithme fait appel à des données tirées au hasard.
Différences clés entre Cryptage et Décryptage
L'algorithme de cryptage utilise le message (texte en clair) et la clé au moment du processus de cryptage. D'autre part, dans le processus de décryptage, l'algorithme de déchiffrement convertit la forme altérée du message (c'est-à-dire, le texte chiffré) à l'aide d'une clé.