Une sororité est un groupe de femmes tel qu'ils se sont développés dans les universités américaines, soit l'analogue féminin des fraternités.
Pour comprendre il faut se mettre un peu au latin. Sororité vient de “soror” qui veut dire soeur et cousine. Ce qui désigne une attitude de solidarité féminine, le fait de s'entraider entre femmes. Sororité est souvent comparé et désigné comme l'équivalent féminin au mot “fraternité”.
1- Pourquoi rejoindre une sororité ? Entrer dans une sororité c'est l'occasion d'étendre ses réseaux sociaux et professionnels, de prendre part à des activités autant philanthropiques que festives et de créer des liens forts, qui dureront plusieurs années après le diplôme.
Sororité se veut l'équivalent féminin de fraternité. Dans cette acception, l'emploi du terme (encore absent du Dictionnaire de l'Académie française) reste un néologisme. L'occurrence la plus ancienne en français se trouve dans Rabelais, en 1546, pour désigner non pas une fratrie, mais une communauté de femmes.
Il existe deux formes de recrutement dans l'année : le formel et l'informel. On peut rejoindre une fraternité ou une sororité à n'importe quel moment de l'année de façon informelle. Le recrutement formel, qui concerne la majorité des nouveaux membres, débute à la rentrée universitaire.
Une fraternité ou sororité est souvent appelée aussi une « maison grecque » ou simplement « maison », des termes qui sont parfois trompeurs car ces confréries n'ont pas obligatoirement une véritable maison pour se réunir.
Le terme d'adelphité, plus « neutre » et surtout plus inclusif, regroupe à la fois la fraternité et la sororité, sans dimension ni mention genrée ; et désigne la solidarité entre ses semblables, qu'ils soient hommes, femmes ou non binaires.
En français, la fratrie désigne l'ensemble des frères et sœurs d'une même famille, y compris quand il n'y a que des sœurs. Il s'agit donc, en principe, d'un terme neutre équivalent à « siblings » en anglais. Toutefois, « fratrie » étant un dérivé savant du latin frater, « frère », il est de fait fortement masculinisé .
Le terme de sororité, popularisé par les féministes dans les années 70, réemployé aujourd'hui au-delà des cercles militants, s'est ainsi construit en opposition au concept de fraternité, pour rendre visible les femmes, favoriser l'entraide entre elles et la lutte contre le patriarcat.
Rejoindre une fraternité ou une sororité vous donne un accès instantané à un groupe social, ainsi qu'à un flux constant d'événements sociaux, des fêtes aux lieux de rencontre à la maison et même aux événements philanthropiques.
cadet, cadette
Se dit de celui des enfants d'une famille, qui vient après l'aîné. 2.
Ensuite, c'est le frère ou la soeur cadet (appelé aussi puiné). Le benjamin désigne le petit dernier d'une fratrie. Ainsi, dans une fratrie de trois enfants, l'ainé sera la premier, le cadet sera le second et le troisième enfant sera le benjamin.
Selon Larousse.fr , cadet "se dit de celui des enfants d'une famille qui vient après l'aîné" (mon fils aîné, mon cadet, mon troisième); "se dit [aussi] d'un frère plus jeune" (j'ai 20 ans, mon frère cadet en a 19); "se dit [également] du dernier-né des enfants, le benjamin".
fraternel, fraternelle
Qui a lieu entre personnes unies comme frères et sœurs : Un partage fraternel. 3.
Le premier à avoir formulé cette devise en tant que telle est Maximilien de Robespierre dans son Discours sur l'organisation des gardes nationales, imprimé mi- décembre 1790 et diffusé largement dans toute la France par les Sociétés populaires, même s'il ne fut jamais prononcé, ni le 5 décembre 1790 , ni les 27 et 28 ...
Adelphe est un mot issu du grec ancien, qui a d'abord été employé dans le domaine de la botanique. Il a ensuite désigné un enfant ayant les mêmes parents que le locuteur. Pour faire plus simple, l'adelphe de quelqu'un, c'est son frère ou sa sœur.
Le processus d'entrée dans une fraternité ou une sororité est habituellement composé de deux étapes. La première est le rushing (recrutement), qui a lieu durant la rush week et où l'on appelle ceux qui tentent l'entrée des rushees.
Toutes les places dans la fratrie ne sont pas équivalentes. Etre l'aîné, le cadet ou le benjamin n'est pas identique pour un enfant. Une étude révèle que le deuxième enfant serait le plus difficile à gérer, du fait d'une place plus inconfortable… Le détail.
Être le benjamin
Le benjamin d'une fratrie est le dernier né, il peut donc être le second comme le cinquième ! La position dans laquelle se trouve le benjamin peut être la plus facile à vivre, comme la plus difficile s'il ne se sent pas entendu ou écouté comme les autres.
Définition "premier-né"
n.m. Le premier enfant d'une famille, l'aîné.
Parce qu'il est le deuxième né dans une famille et se trouve être « l'enfant du milieu », le benjamin est souvent décrit comme le plus coopératif et le plus flexible. Enfin, arrive le cadet. Petit dernier de la famille, il est aussi le plus créatif, le plus indépendant et le plus charismatique de ses frères et sœurs.
1. Le plus jeune des enfants d'une famille. 2. La personne la plus jeune d'un groupe.
Cadet, plus jeune enfant d'une fratrie.
sororal, sororale, sororaux
1. Qui concerne la sœur, les sœurs : Héritage sororal. 2. Se dit d'une famille dans laquelle un groupe de sœurs avec leurs enfants sont placés sous l'autorité de leur frère aîné.