Installez 2 paires de rênes sur le mors.
Ainsi, dès que vous mettrez trop de tension, la rêne se détachera. Montez avec des rênes très détendues, et remontez dessus petit à petit jusqu'à ce que le cheval fasse ce qui est demandé. Commencez sur des choses simples d'abord : des transitions, se poser sur le mors, etc.
Plier les coudes lorsque le cavalier est assis et les tendre quand il se lève, tout en avançant le nombril en direction des mains et non l'inverse. Les bras ainsi articulés permettent aux mains de ne plus aller de haut en bas et sont alors fixées par rapport à la bouche du cheval.
Une bonne main c'est une main dont les actions sont voulues par le cavalier et donc forcément précises et justifiées. La bonne main est fixe, elle ne tire pas plus fort que le cheval et elle ne recule pas vers le cavalier. Elle agit progressivement et cède dès que le cheval répond favorablement à son action.
? Le bidet à l'obstacle, les fleurs en dressage, l'eau en complet, la poubelle en promenade….
Gardez vos mains sur l'encolure. Oui cela vous obligera à vous penchez un peu au début mais garder un bon mouvement de vos hanches en avant et faites les rappels de jambes si le cheval ralentit.
Il est possible de décontracter son cheval sans passer par les flexions, le cheval tombe dans la main et mâche son mors lorsque certains exercices sont bien réalisés, cela peut être une épaule en dedans, une simple mobilisation des hanches, des épaules ou un travail de transition.
quand ton corps accompagne bien le galop, tu n'as pas besoin de bouger tes mains pour accompagner la bouche, tout ton corps suit le mouvement du cheval, et donc tes mains sont forcément fixes par rapport a la bouche du cheval, il faut juste garder les mains au dessus du garrot, et ne pas contracter les bras, tout va ...
Les chevaux sont tous de même des animaux pour lesquels le premier sens utilisé est l'olfaction. Le réflexe naso-nasal pour dire bonjour est le plus approprié.
Tu dois d'abord gagner la confiance de ton cheval.
Rends-lui visite chaque jour. Donne-lui à manger et à boire à heure fixe. Panse-le régulièrement. Veille toujours à avoir un comportement très doux avec lui.
Vous pouvez lui dire en principe n'importe quoi, aussi longtemps que votre ton de voix n'est pas menaçant. La plupart des cavaliers se contentent simplement de dire des choses comme : « Salut le cheval, tu veux aller te promener ? »
Un cheval qui s'encapuchonne et qui lâche le contact peut se traduire par différentes choses : La mauvaise position des mains du cavalier. Un mors mal adapté à la bouche du cheval. Un manque de tension sur la ligne du dessus du cheval.
Quand vous mettez des jambes, le cheval se pousse vers l'avant et vous sentez qu'il se pousse de l'arrière vers l'avant, que toute cette force vient dans la bouche du cheval qui se tend alors sur ses rênes pour céder et s'arrondir. Et le cheval est ainsi dans un équilibre horizontal.
Elle ne s'obtient pas d'un coup de baguette magique ! Une mise sur la main correcte garantit un cheval qui travaille dans le bon sens ! Un cheval sur la main est un cheval qui tend également ses rênes d'une façon constante vers l'avant et légèrement vers le bas, sans résistance de la bouche ni de la nuque.
Le cheval est naturellement équilibré pour galoper à gauche quand il tourne à gauche et à droite quand il tourne à droite. Ainsi, si tu es à main gauche, ton cheval doit partir sur le pied gauche. Si tu es à main droite, ton cheval doit partir sur le pied droit.
Pour suivre le mouvement du galop sans heurt, le cavalier doit avant tout se décontracter et garder le rein souple. Le dos est droit, la tête est dégagée des épaules. Le bassin se fléchit légèrement vers l'avant pour laisser les fesses s'avancer dans la selle.
Mettez-vous en “suspension”, c'est-à-dire appuyé sur les étriers avec les fesses légèrement au dessus de la selle. Une fois votre équilibre trouvé en suspension au trot, lancez-vous au galop en ouvrant les doigts sur les rênes et en engageant les jambes fermement.
L'ajout de magnésium (sous forme hautement assimilable comme le chlorure de magnesium) est le traitement classique chez le cheval stressé, comme chez l'homme, car c'est un minéral essentiel au bon fonctionnement des systèmes nerveux et musculaire.
Vous devez toujours rester calme, une petite tape et un « non » ferme suffiront. Vous ne devez pas laisser votre cheval prendre le dessus sur vous de cette façon. De même, s'il menace de frapper, donnez-lui une tape sur la croupe, toujours avec un « non » ferme.
Pour ce qui est des jambes, c'est la même chose, vous déplacez vos épaules, ça va vous déplacer les hanches en même temps, vous allez avancer votre jambe pour pousser l'épaule extérieure pour que votre cheval tourne. Et plus vous voudrez tourner court et plus il va falloir pousser l'épaule extérieure.
Le headshaking est une pathologie du cheval dont la cause exacte est encore inconnue, même si on a démontré l'implication d'une hypersensibilité du nerf trijumeau. Cette affection se caractérise par des mouvements de tête intempestifs ainsi que d'autres signes tels que les frottements de nez et les éternuements.
Si l'encolure, de la nuque au garrot, est très flexible, la cage thoracique du cheval est assez rigide alors que le rein peut lui s'infléchir plus facilement. Ces particularités expliquent pourquoi les chevaux sont souvent trop incurvés de la nuque au garrot ou mettent aisément leur croupe en dedans.