Un sol humide est un sol où l'eau stagne. Le sol humide retient donc l'eau, car les pluies s'écoulent très difficilement. Par exemple, les terres argileuses sont des terres humides qui conservent l'eau après une averse. Un sol humide se situe souvent en point bas, au fond d'une vallée.
Au fond du pot, disposez vos vieux vêtements en coton. Ils permettent de garder l'humidité plus longtemps en la gardant dans les fibres. Vous pouvez mettre d'autres types de tissus tant qu'ils sont absorbants. Les racines vont alors puiser l'eau des tissus.
Les pots en terre cuite enterrés sont de bons systèmes d'irrigation décentralisés. Les pots permettent à l'eau de s'infiltrer dans le sol sec, mais ils réservent l'eau lorsque le sol est déjà humide. Une fois rempli, couvrez l'ouverture du pot avec une pierre ou un couvercle.
Le paillis de coco, lui, possède une bonne capacité de rétention d'eau et s'utilise notamment pour les plantes potagères, les vivaces, les bulbes ou encore les arbustes. Les copeaux de bois, quant à eux, seront parfaits pour les cultures pérennes comme les plantes aromatiques ou les arbustes.
Généralement, lorsqu'un terreau ne présente aucune capacité de rétention d'eau, c'est parce qu'il contient une terre sableuse. Celle-ci est très fine, meuble et légère. Par conséquent, l'eau passe et se retrouve directement sous le sol, sans forcément agir sur les racines des plantes.
Pour améliorer la structure du sol et assouplir la terre, la rendre plus perméable, il faut apporter de la matière organique, notamment du fumier de cheval, de vache ou de mouton par exemple et du compost, enfouis à faible profondeur. Le fumier composté a un pouvoir asséchant, il se répand tous les 3 ans (4 kg/m²).
Le compost mûr, à la fois amendement et engrais, est surtout un ferment bourré de bactéries, idéal pour ensemencer un sol peu fertile. Le thé de compost se fabrique avec un sac en tissu contenant du compost, immergé dans un seau d'eau, additionné d'un peu de sucre pour nourrir les bactéries, et brassé.
Ne saturez pas le sol en eau, humidifiez-le simplement en profondeur. Puis, utilisez un râteau de jardin robuste et commencez à ratisser la terre jusqu'à ce que la surface soit lisse. Effectuez un mouvement de va-et-vient, en brisant les mottes de terre au fur et à mesure que vous ratissez.
Pour réchauffer sa terre
Si le sol n'est pas très chaud, il est possible de le réchauffer un peu en épandant sur le semis du terreau noir. La couleur noire capte et emmagasine les rayons du soleil. Sachez aussi qu'une couche de fumier de cheval a cette faculté très appréciable de chauffer le sol par en-dessous.
Remplissez la bouteille d'eau et vissez l'embout. Plantez la bouteille dans la terre, à l'envers. L'embout doit être dans la terre et le fond de la bouteille sur le dessus. Une fois retournée, faites plusieurs trous dans le fond de la bouteille pour permettre à l'eau de s'écouler.
En émiettant la terre, le binage limite l'évaporation de l'humidité contenue dans le sol et, en conséquence, permet de réduire les arrosages, d'où le fameux dicton « un binage vaut deux arrosages ». Au passage, le binage élimine les adventices.
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Pour alléger un sol glaiseux, ajoutez du sable On entend souvent dire que la solution à sol trop glaiseux , qui est lourd et souvent détrempé, difficile à travailler, serait d'y mélanger du sable… et d'ailleurs l'idée paraît logique. Après tout, si un sol glaiseux (argileux) est si dense et lourd,…
Les éléments jointifs à la construction tels que les garages, terrasses ou encore perrons peuvent aussi se détacher. Ces tassements peuvent également entraîner une distorsion des portes et fenêtres, une dislocation des dallages et des cloisons et, parfois, la rupture de canalisations enterrées.
Pour alléger les substrats de culture, vous devez utiliser du sable de rivière (sable de quartz) et non du sable de carrière (sable à lapin ou sablon). En effet, ce dernier est généralement calcaire mais également de consistance terreuse et il ne joue pas un bon rôle drainant.
Il faut veiller à ne pas attendre que la terre soit complètement sèche avant de l'arroser, au risque de faire souffrir la plante. Pour ce faire, il suffit de toucher la surface de la terre du bout des doigts afin de voir si elle est encore humide. Si c'est le cas, l'arrosage n'est pas encore nécessaire.
Insérez le doigt dans le sol à une profondeur de 2,5 à 5 cm. S'il est ferme ou tombe de votre doigt lorsque vous retirez celui-ci, il est peut-être sec. Si le sol est pâteux ou s'il colle à votre doigt, il est probable qu'il soit humide X Source de recherche .
Le terreau est sec
Si elle est sèche, qu'elle s'émiette entre vos doigts et qu'elle se détache des bords du pot, c'est probablement qu'il est grand temps d'arroser. Vous pouvez aussi vous fier au poids du pot : si ce dernier est trop léger, c'est qu'il n'y a pas assez d'eau, et vice versa.
La dégradation des copeaux de bois améliore la structure du sol et permet, dans un temps plus ou moins long selon le type de copeaux de bois utilisés, de créer de l'humus et de la fertilité, même en sol ingrat ! Plus sa couche est épaisse, plus l'apport en minéraux sera important.
Privilégiez le paillis minéral sur un sol riche. L'ardoise fait partie des paillis minéraux les plus connus et les plus efficaces alors que le paillis de chanvre sera très efficace en été et pour les végétaux aimant la chaleur.