Le paillis de coco, lui, possède une bonne capacité de rétention d'eau et s'utilise notamment pour les plantes potagères, les vivaces, les bulbes ou encore les arbustes. Les copeaux de bois, quant à eux, seront parfaits pour les cultures pérennes comme les plantes aromatiques ou les arbustes.
Un sol humide est un sol où l'eau stagne. Le sol humide retient donc l'eau, car les pluies s'écoulent très difficilement. Par exemple, les terres argileuses sont des terres humides qui conservent l'eau après une averse. Un sol humide se situe souvent en point bas, au fond d'une vallée.
Paillez généreusement
Pour garder la terre humide en permanence, un paillis épais (5 à 10 cm) sera étalé au pied des plants de tomates et tout autour. Toutes sortes de mulchs peuvent convenir : tontes de gazon séchées, foin, paille, etc...
La tuile va permettre de protéger les plants du vent, et d'encourager ainsi la production de chaleur. Les tomates pousseront mieux et en nombre.
Pour ce faire, munissez-vous de bocaux en verre (environ 250 grammes). Versez-y trois quarts d'eau, puis 1 gramme d'agar-agar, une algue rouge gélatineuse, ou deux feuilles de gélatine alimentaire. Une fois votre sachet prêt, placez-le au réfrigérateur pendant 4 h environ. Sortez-le quand le gel est bien compact.
Parce que la Terre est une planète qui fonctionne en circuit fermé. Lorsqu'un litre d'eau arrive à la mer, un litre d'eau s'évapore. C'est ce que l'on appelle le cycle de l'eau.
La dégradation des copeaux de bois améliore la structure du sol et permet, dans un temps plus ou moins long selon le type de copeaux de bois utilisés, de créer de l'humus et de la fertilité, même en sol ingrat ! Plus sa couche est épaisse, plus l'apport en minéraux sera important.
La paille forme une véritable couverture protectrice pour le sol en permettant de ne pas le laisser à nu entre les cultures. Elle régule la température du sol et évite de trop fortes fluctuations, très néfastes pour la croissance et la santé des plantes.
Il faut veiller à ne pas attendre que la terre soit complètement sèche avant de l'arroser, au risque de faire souffrir la plante. Pour ce faire, il suffit de toucher la surface de la terre du bout des doigts afin de voir si elle est encore humide. Si c'est le cas, l'arrosage n'est pas encore nécessaire.
Remplissez la bouteille d'eau et vissez l'embout. Plantez la bouteille dans la terre, à l'envers. L'embout doit être dans la terre et le fond de la bouteille sur le dessus. Une fois retournée, faites plusieurs trous dans le fond de la bouteille pour permettre à l'eau de s'écouler.
En émiettant la terre, le binage limite l'évaporation de l'humidité contenue dans le sol et, en conséquence, permet de réduire les arrosages, d'où le fameux dicton « un binage vaut deux arrosages ». Au passage, le binage élimine les adventices.
L'observation attentive de votre environnement peut parfois suffire pour vous en assurer. Une infiltration dans la cave, la présence de cours d'eau à proximité de votre habitation ou des voisins ayant eux-mêmes installé un puits vous apportera confirmation de la présence d'eau souterraine.
C'est la présence de l'eau qui a été à la source de la vie sur Terre. La quantité d'eau présente sur la Terre est toujours la même depuis plus de 4 milliards d'années.
Pourquoi la date de 2030 figure-t-elle dans le nom? En 2008, nous avons calculé que si rien ne changeait, nous aurions en 2030 un déficit d'eau douce de 60 %. Concrètement, l'humanité dispose de 4200 km3 d'eau potable par an que nous pouvons prélever de manière durable.
Privilégiez un arrosage automatique ou manuel, moins fréquent, mais abondant, pour que l'eau ait le temps d'atteindre les racines avant de s'évaporer. Si des restrictions d'eau sont mises en place, selon le niveau d'alerte, vous pouvez être amené à ne pas arroser certains jours.
Arroser au soir plutôt qu'au matin, afin d'éviter le phénomène d'évaporation. Un arrosage crépusculaire sera 100 % rentabilisé par le plant ; Arroser au goulot plutôt qu'au pommeau de l'arrosoir : optez pour un arrosoir léger et ergonomique. Otez le pommeau pour arroser de façon précise, sans perte d'eau.
Le goutte à goutte simple qui consiste à percer un trou dans le bouchon à l'aide d'un clou et plusieurs trous dans le fond de la bouteille, puis de retourner la bouteille en plaçant le goulot dans la terre. Son point faible ? Un écoulement imprécis.