Pour cela, une seule solution : faire une pause et pratiquer l'écoute active. Cessez de parler. Posez-lui des questions et reformulez clairement ce qu'elle vous dit. Vous comprendrez mieux son point de vue et elle se sentira, de son côté, davantage écoutée.
Si les conflits entre mère et fille sont inévitables, c'est parce qu'il s'agit de deux femmes, qui cherchent d'abord à élaborer, ensuite à séparer leurs destins féminins. Il n'y a pas de lien mère-fille simple: la normalité est que celui-ci soit fait d'accords et désaccords, d'éloignements et réconciliations.
Essayer de comprendre le comportement de l'autre permet de le juger moins vite et cela suffit parfois à renouer le dialogue. "Et si la réconciliation reste impossible en dépit de tous les efforts ? "Mieux vaut alors s'accorder une respiration en décidant de se voir moins souvent, conseille Monique Van Eyken.
En effet, il dépend de l'adulte pour sa survie. Pour cette raison, il est courant qu'il ait tendance à se sentir anxieux s'il est séparé de sa mère. Parfois, il a même tendance à rejeter les autres, y compris son propre père. Ce comportement est plus fréquent après l'âge de huit mois.
Cessez de parler. Posez-lui des questions et reformulez clairement ce qu'elle vous dit. Vous comprendrez mieux son point de vue et elle se sentira, de son côté, davantage écoutée. Un bon début pour résoudre un conflit mère-fille et établir une relation de confiance.
Autre piste de réflexion, votre colère peut également provenir d'une trop grande satisfaction de vos désirs. En effet, si votre mère a tenté de combler toutes vos envies, vous pouvez vous en sentir encore dépendante. Dans les deux cas, vous essayez de vous détacher d'une force maternelle étouffante.
Quand on dit que vous devez être le complice de votre enfant, on fait allusion au fait de devoir le suivre dans ses exploits. Allez voir ses matchs de football, accompagnez-le faire du camping, prenez le gâteau que sa grand-mère lui a fait et allez le manger tous les deux sous un lit sans que personne ne vous voie…
Essayez d'écouter et de faire attention à ce qu'elle dit. Cessez d'envoyer des messages sur votre téléphone quand elle est en train de parler. Exprimez de la reconnaissance pour tout ce qu'elle fait pour vous. Faites-lui part de tout ce qui se passe dans votre vie.
"Être une bonne mère, c'est être une mère suffisamment bonne”, disait Donald Winnicott, éminent pédiatre et psychanalyste anglais (1896-1971). Une mère sachant répondre aux besoins et désirs de son enfant, sans les ignorer... ni les devancer. Il faut le clamer haut et fort, la mère parfaite n'existe pas.
Vous avez le sentiment que votre vie d'adulte aurait pu être nettement plus épanouissante si vous aviez eu des parents différents. Vous êtes particulièrement peiné. e lorsque vos parents critiquent vos choix, votre mode de vie. Leurs propos ont tendance à vous blesser profondément et de façon assez récurrente.
La mère jalouse peut également rabaisser systématiquement sa fille, l'empêcher de voir ses amis. Cette rivalité s'opère aussi dans les tenues vestimentaires, où "l'on ne sait plus qui est la mère et la fille", illustre Yves Morhain. "J'ai également eu le cas d'une mère qui avait piqué le copain de sa fille de 18 ans.
Une mère toxique est une mère qui empoisonne la vie de son enfant en ayant recours à la manipulation, la domination ou encore la violence. Les traumatismes émotionnels sont difficiles à porter pour l'enfant devenu adulte.
Ce qui caractérise une mère toxique, explique Anne Laure Buffet, c'est “son attitude, ses comportements, sa personnalité et le mode d'interaction qu'elle met en place avec son enfant." Au lieu de l'aider à grandir sereinement, elle “nuit à son développement cognitif et comportemental en l'empêchant d'être autonome et ...
Essayer de prévoir du temps ensemble, rien que vous et votre enfant. Du temps dédié c'est du jeu, une aide aux devoirs ou une balade au parc par exemple. Vous renforcez votre lien parent-enfant si vous lui consacrez du temps exclusif : pas de portable, pas de télévision en même temps.
Pour qu'on puisse couper le cordon, notre mère doit accepter de nous laisser partir. Pas toujours simple! «Il y a parfois beaucoup de pression pour que la fille rentre dans le rang, et ce, à n'importe quel âge, car dans son vécu psychologique, la mère considère toujours sa fille comme son enfant.
Non, il n'est pas obligé d'aimer sa mère du point de vue du devoir, si celle-ci lui nuit et ne lui porte elle-même aucun amour. Mais de là à dire qu'on peut réellement ne ressentir strictement aucun amour pour sa mère, quel que soit son comportement, il est plus compliqué d'y répondre.
Demandez-lui pardon.
Commencez en lui disant : « comment te sens-tu ? Je le comprends si tu es encore énervée. » Si elle vous dit qu'elle va bien, demandez-lui si elle vous pardonne. Si elle vous répond qu'elle ne vous pardonne pas, dites-lui : « que puis-je faire pour que tu me pardonnes ?
Il peut être issu de nombreux facteurs. Si c'est en général un des deux parents qui est à l'origine des jeux et des activités, qui a une approche douce et pleine d'affection, tandis que l'autre parent est moins présent et plus autoritaire, voilà une première source d'explication.