Interrogée par: Louise du Chevalier | Dernière mise à
jour: 14. Oktober 2022 Notation: 4.1 sur 5
(6 évaluations)
Considérez-le plutôt comme une incitation à l'empathie. En plus de vous mettre dans les bonnes grâces de la « grande gueule », du « colporteur de ragots » ou du « tyran du bureau », cela vous permettra avant tout de le rendre plus humain à vos yeux. Et peut-être même de travailler avec lui.
Réagir. Il est crucial d'agir en faisant preuve de diplomatie et de vous adapter à la personnalité en face de vous. On ne gère pas un colérique comme on gère une personne totalement introvertie. En outre, veillez à toujours sanctionner le comportement et non la personne en tant que telle.
- Pour maîtriser la forte tête et canaliser son énergie, le manager doit lui fixer des objectifs ambitieux, être intransigeant sur ses résultats, mais faire preuve de souplesse sur son organisation, sa participation aux réunions, etc.
On ne naît pas psychorigide, on le devient. Selon la théorie psychanalytique, il s'agirait de personnes qui auraient trop idéalisé leurs parents : elles éprouveraient ainsi une grande satisfaction à se conformer à des règles, de la même façon, qu'enfant, elles obéissaient aux adultes.
Comment Appelle-t-on quelqu'un qui s'approprie tout ?
La mythomanie est un trait du caractère hystérique. L'hystérique falsifie constamment son rapport à l'autre, il se fait passer pour celui qu'il n'est pas, il modifie le réel soit en l'enjolivant, soit au contraire en le minorant. Essaye de lire du côté de l'hystérie si cela t'intéresse....
Une personnalité est dite difficile lorsque certains traits de son caractère sont trop figés ou trop marqués, mal adaptés aux situations, et qu'ils génèrent de la souffrance pour elle-même ou pour autrui. Les personnalités difficiles peuvent présenter des comportements néfastes dans leur milieu de travail.
La séduction : le manipulateur commence toujours par séduire sa victime pour mieux la manipuler ensuite. Au départ, il fait tout pour plaire à sa proie pour que celle-ci baisse la garde et se sente en parfaite confiance. Plus on se sent à l'aise avec une personne, moins on s'en méfie.
Inverser les rôles, jouer de l'ambiguïté, du doute et de l'accusation sont des caractéristiques du manipulateur pervers. En effet, sa victime est alors confuse et embrouillée. Elle ne comprend pas ce qui lui arrive. Elle est démunie face à cette place que le pervers narcissique lui impose.
Un manque de confiance en soi et d'estime de soi. Par peur d'être abandonnés car ils se sous-estiment, les égocentriques aiment faire croire qu'ils valent plus que les autres en se mettant sans cesse en avant. Des traumatismes psychologiques qui sont survenus dans l'enfance et qui ont bloqué l'évolution de la personne.
Les personnes psychorigides sont également peu chaleureuses, voire froides, même avec des personnes qu'elles apprécient. Elles ont aussi généralement un côté obsessionnel et perfectionniste à l'extrême, qui les pousse à vouloir tout gérer, tout contrôler (tout doit être organisé, planifié.
Restez très réservé(e) sur votre vie privée. Ne révélez jamais trop de choses sur vous-même si vous voulez être difficile à cerner. Songez à James Bond. Quand on lui pose des questions sur lui-même, il répond toujours le strict minimum, mais jamais de trop.
Laissez ici les émotions « au placard » et jouez la « factuel ». – Mettez votre interlocuteur face à ses contradictions. – A l'attaque frontale, répondez par une question. Exemple, il vous dit : « On ne peut décidément rien vous confier ! ».
Si la personne est plus petite que vous, regardez simplement par-dessus sa tête. ...
Si la personne est de votre taille et est à vos côtés, essayez de flouter votre vision afin d'avoir un regard vide si vous veniez à croiser son regard par accident.