"Offrir une présence, de l'empathie et du soutien peut aider à soulager les souffrances, mais il faut éviter toutefois de renforcer les comportements de l'autre. Parce que donner trop d'attention aux plaintes peut quelquefois les encourager !
Faites preuve d'empathie.
Essayez de faire preuve de compassion. Parfois, les gens ont juste besoin de se lâcher. Si l'une de vos collègues se plaint constamment parce qu'elle a trop de travail à faire, répondez de la sorte : « Je suis dans la même galère. Si tu veux, on pourrait à tour de rôle aller prendre du café. »
Selon le spécialiste, la tendance à se plaindre touche aussi bien les hommes que les femmes et provient de raisons multiples. Cela peut être une manière de cacher un mal-être plus profond. « On se cache derrière la plainte plutôt que d'être soi-même, oser exprimer qui on est, ce qu'on ressent vraiment.
Si l'on est victime d'un Calimero, il ne faut pas hésiter à dire stop, en exprimant que vous pouvez l'écouter, mais que vous ne pouvez pas trouver les solutions à sa place. En lui posant une limite, il est mis face à lui-même : sa plainte ne peut pas être déversée infiniment sur autrui.
Il faut vraiment désirer adopter une nouvelle façon de voir ou de faire les choses, considérer qu'il n'y a rien de plus important que cela. Et donc, prendre le temps nécessaire d'identifier le «pourquoi» du changement souhaité. «Retenez ceci : avec un «pourquoi» puissant, vous ferez face à tous les «comment».
Il arrive à chacun d'entre nous de pleurer. C'est une manière saine d'exprimer ce que l'on ressent et de libérer une accumulation de stress ou de tristesse. Certaines personnes pleurent plus que d'autres, mais dans certains cas, cela peut être excessif.
Syndrome de Calimero : ces collègues pénibles qui n'arrêtent pas de se plaindre. Certaines personnes ont le chic de râler pour tout mais le plus souvent pour rien. Elles seraient touchées par le syndrome de Calimero, du nom du célèbre oisillon pleurnichard.
geignard, geignarde
Qui se plaint, pleurniche sans cesse et pour des motifs futiles.
Se plaindre est un moyen détourné d'avoir de l'attention et de la reconnaissance. Leur donner des paroles valorisantes peut les rassurer et les aider à augmenter leur confiance en eux. D'autres ont plutôt besoin d'empathie pour se sentir compris.
geignarde. Qui se plaint tout le temps.
La personne qui critique sans cesse jouit d'une si faible estime d'elle-même qu'elle n'arrive pas à discerner les aspects positifs chez les autres. Au fond, elle projette ses propres faiblesses. Elle vous déprécie pour tenter de se valoriser. Sachant cela, prenez ses critiques avec un grain de sel.
Le syndrome de Münchhausen constitue un trouble psychologique où les sujets simulent ou provoquent volontairement des symptômes physiques ou psychiques sur sur eux-mêmes. Leur objectif est généralement d'attirer l'attention des médecins et souvent de subir une opération inutilement.
se plaindre
Exprimer la peine, la douleur qu'on éprouve, en cherchant auprès d'autrui la compassion, le soulagement, un remède : Se plaindre de maux de tête. 3. Exprimer (à quelqu'un) son mécontentement ou sa protestation au sujet de quelque chose, de quelqu'un : Se plaindre de la vie chère.
«Chialer, c'est, jusqu'à un certain point, le luxe de ceux qui s'ennuient dans leur existence et qui ont tout pour être heureux», croit-elle. Certaines personnes qui se plaignent souvent ont une attitude pessimiste qui fait partie de leur personnalité.
Le verbe chialer signifie pleurer, fondre en larmes, déplorer une situation malheureuse en versant des larmes. Exemple : Au lieu de chialer sur son triste sort, elle a préféré se ressaisir et d'aller de l'avant.
Restez poli. Vous obtiendrez de meilleurs résultats si vous expliquez le problème et demandez de l'aide poliment, sans agressivité ni menaces. Soyez clair. Expliquez clairement les faits pour bien faire comprendre ce que vous voulez.
Le pervers narcissique se montre violent. Il ne reconnaît jamais ses torts. Il utilise les mots pour manipuler. Le pervers narcissique ne ressent aucune empathie.
On appelle pusillanime celui qui manque totalement d'audace et à peur de prendre par lui-même ses responsabilités. De sorte que la moindre critique peut l'amener à se dédire et à s'humilier devant les autres.
Samuel Lepastier, psychanalyste et chercheur associé du CNRS en France nous enseigne : « Si nous prenons plaisir à rabaisser les autres, c'est parce que dénigrer permet de se valoriser. D'autre part, dire du mal de quelqu'un, c'est aussi projeter sur lui ce que nous n'aimons pas en nous.