Lorsque votre ami a trop bu, il est vulnérable alors préparez-vous à avoir quelques bons réflexes ! Si votre ami est trop ivre, restez avec lui. S'il commence à se sentir mal, parlez-lui pour le garder conscient, partez prendre l'air ensemble, restez près de lui s'il vomit, calmez-le s'il devient agressif.
Dans ce genre de situation, le dialogue reste le principal moyen d'amener, petit à petit, la personne à remettre en question son comportement et sa consommation. Celui qui essaie d'en parler doit le faire sans jugement, sans reproche, car cela a plutôt tendance à envenimer les choses.
Faites-la dormir sur le côté avec un oreiller dans le dos.
Elle doit dormir dans une position qui permet au vomi de sortir de sa bouche au cas où elle vomirait pendant qu'elle dort. La position fœtale est une position de sommeil sure pour les personnes ivres.
Yeux rouges: Remarquez si les personnes ont des rougeurs aux yeux. Souffle court: Une personne ivre peut respirer beaucoup plus lentement ou avoir le souffle court: sa respiration est faible et peu d'air est inspiré ou expiré. Haleine : La personne peut sentir l'alcool.
Etre «ivre d'amour» est une métaphore courante dans notre culture qui assimile souvent l'attirance sexuelle ou sentimentale à une perte momentanée de raison… L'alcool induit un état second à quoi on a souvent comparé le désir. Il rend fou. Il fait sauter les inhibitions.
Il vous écrit quand il a bu
Tout le monde le sait, lorsqu'on a bu quelques verres, toutes les gènes et les inhibitions s'envolent comme par magie. Si dans ce moment-là, vous êtes la première personne qui lui vient à l'esprit, celle dont il attend le message, c'est forcément que vous êtes celle qui lui manque.
Selon une étude publiée dans Clinical Psychology Science et relayée par nos confères du New York Post, l'état d'ébriété d'un individu révèle sa réalité et sa vraie personnalité. Un test a été effectué sur un groupe de 156 participants volontaires.
Il peut s'agir d'une part de motifs dits de « coping » : la personne boit afin de gérer ses sentiments et émotions négatives, afin de les atténuer (je bois parce que cela m'aide lorsque je suis nerveux ou déprimé, ou pour oublier mes problèmes).
Accordez-vous des moments de répit. Faites des activités seul(e). N'hésitez pas à vous faire aider par un professionnel : vous n'êtes pas malade, mais vous subissez l'alcoolisme de votre proche. Une aide psychologique peut être d'un grand soutien.
De plus, l'effet désinhibiteur et dépresseur de l'alcool fait en sorte que certaines personnes finissent justement par exploser en libérant les émotions qu'elles refoulent depuis des mois, voire des années. C'est pour cela que l'on voit plusieurs personnes devenir très émotives ou agressives sous l'effet de l'alcool.
Prendre une douche froide, boire du café, faire de l'exercice, prendre de l'aspirine... Certaines personnes ont recours à ces différentes méthodes pour faire rapidement baisser leur taux d'alcoolémie, après avoir bu un ou plusieurs verres d'alcool.
- Pour en parler : faire preuve d'écoute, tenter de comprendre les raisons qui poussent l'autre à boire. Les reproches et le chantage peuvent se montrer néfastes. Restez ouvert au dialogue. - Pour l'aider à résoudre ses problèmes : orienter vers des professionnels, des numéros d'aide ou des associations locales.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Lâcher prise
S'il accepte de se faire aider professtionnellement, épaulez-le autant que votre énergie le permet. Donnez-lui une chance de changer, surtout s'il est capable de nommer sa souffrance et d'analyser son comportement à jeun. Par contre, s'il est violent psychologiquement ou physiquement avec vous, partez.
Transpiration excessive, tremblements, perte d'équilibre sont les principaux symptômes. L'irritation, des actes violents ou encore, les delirium tremens sont les manifestations psychiques qui peuvent conduire au déclic".
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
S'il commence à se sentir mal, parlez-lui pour le garder conscient, partez prendre l'air ensemble, restez près de lui s'il vomit, calmez-le s'il devient agressif. Si votre ami s'est endormi, protégez-le du froid mais aussi de toute source d'agression potentielle car il est sans défense.
L'alcool stimule la violence dans la phase où l'alcoolémie augmente, tandis qu'après le pic d'alcoolémie, il a plutôt un effet sédatif. Toutefois, l'alcool n'est ni nécessaire ni suffisant pour que survienne une agression.
Certaines études montrent en effet que l'alcool augmente le taux de testostérone chez la femme. Cette hormone jouant un rôle important au niveau du désir, on peut facilement comprendre et expliquer le comportement aussi inhabituel qu'il soit.
Parlez-lui de vos envies de façon positive, à petites doses de temps en temps. Complimentez-le, mettez-le en valeur pour lui montrer qu'il vous rend heureuse, qu'il serait un bon père etc. Vous pouvez par exemple l'inviter au mariage de votre ami Jonathan pour lui montrer que le mariage c'est beau, c'est cool.
Il ne faut pas toujours aller chercher la réponse plus loin : si les hommes reviennent, c'est tout simplement parce qu'on n'a pas fermé la porte à clé. En effet, pour de nombreux hommes, une rupture ou un « non » ne suffisent pas à décourager leur insistance.