Savoir reconnaître ses blessures
« Prendre conscience de ses blessures peut être désagréable, mais cela est nécessaire pour guérir». Par ailleurs, rappelons qu'accepter une blessure ne signifie pas être d'accord avec elle mais la regarder, l'observer et se dire qu'elle va nous enseigner.
Pour se guérir et se libérer : Prendre conscience de sa blessure et l'accepter. Se pardonner et pardonner aux autres. Apprendre à ne plus se mettre en colère lorsque les choses ne se déroulent pas comme on l'entend. Apprendre à lâcher prise et à ne plus vouloir tout contrôler.
Première étape quand on subit une blessure émotionnelle ? Recollez rapidement les morceaux. Si on attend, “que l'on cache les morceaux” dans un tiroir, on risque de les abimer ou d'en perdre un : pour ne pas se laisser aller dans la torpeur et la douleur, il faut tout recoller, le plus tôt possible.
Si vous êtes sensible à la colère ou au comportement des autres, comme boire trop, exprimez-le et dites-lui ce dont vous avez besoin, fixez des limites. Encore une fois, en s'affirmant, vous faites maintenant en tant qu'adulte ce que vous ne pourriez pas pu faire en tant qu'enfant.
La plupart du temps, les personnes souffrantes de blessure de l'âme d'humiliation sont en surpoids. On observe un visage rond, de grands yeux naïfs, et une taille courte. Cela peut paraître étrange, mais la personne ayant une blessure d'humiliation semble souvent tacher ses vêtements sans le faire exprès.
La cause la plus fréquente de blessure est un entraînement inadéquat – par exemple, ne pas accorder aux muscles assez de temps pour récupérer après une séance d'exercice (ils ont besoin de 48 heures de repos), augmenter l'intensité trop rapidement et ne pas s'arrêter lorsque la douleur s'accroît pendant l'exercice.
Les blessures de l'enfance ont le goût du rejet, de l'abandon, de l'humiliation, de l'abus, de la trahison, de l'injustice, de la détresse, de la non-reconnaissance, de la carence affective, de la maltraitance physique, verbale ou par défaut de soins.
La blessure de trahison n'est pas une fatalité en soi : elle peut être cicatrisée à condition de faire un travail sur soi-même et d'accepter de changer son mode de pensée. Attention, cela peut prendre du temps car le circuit neuronal est trop habitué à l'ancien système de pensée.
Le rejet par un groupe d'individus peut avoir un effet négatif, particulièrement lorsqu'il engendre un isolement social. L'expérience face au rejet peut conduire à bon nombre de conséquences psychologiques telles que la solitude, une faible estime de soi, une agressivité et une dépression.
C'est pourquoi une blessure = un masque. Ce masque est finalement le produit de notre égo et de ses mécanismes de défense. Ainsi, la personne qui souffre de la blessure de l'abandon porte le masque du dépendant. Elle a du mal à fonctionner seule et a besoin qu'on s'occupe d'elle…
A chaque blessure correspond un masque : Ainsi, le rejet adopte le masque du fuyant : il peut fuir les relations, il peut fuir dans l'imaginaire, les conduites à risques. Il peut même se fuir lui-même.
Refouler, s'en accommoder ou faire comme si elles n'avaient jamais existé... Lorsqu'elles sont ignorées, les blessures du passé peuvent réapparaitre sans prévenir. Brian a perdu son emploi il y a peu de temps et les souvenirs de maltraitance durant son enfance refont surface.
Pour résorber une blessure de l'humiliation, il faut essayer de rétablir la vérité et remettre au centre de sa vie ses réalisations et ses accomplissements positifs.
Le rejet, l'abandon, l'humiliation, la trahison et l'injustice : cinq blessures fondamentales à l'origine de nos maux, qu'ils soient physiques, émotionnels ou mentaux. Lise Bourbeau, grâce à une description très détaillée de ces blessures, nous mène vers la voie de la guérison.
L'idée est d'amener la personne à prendre conscience qu'elle est une victime, pour mieux apaiser ses sentiments de culpabilité et de honte. "Le rôle du thérapeute est d'aider à prendre du recul sur ce qui s'est passé et de montrer que c'est au parent, et non, à l'enfant d'endosser la responsabilité de la maltraitance."
Les expériences traumatiques de l'enfance (ACEs) – qui incluent : maltraitances émotionnelle et physiques ; humiliation verbale ; abus sexuels; présence d'un membre de la famille sous addiction ou malade mental ; abandon parental, divorce, perte, décès, emprisonnement - peuvent endommager le cerveau en cours de ...
Si nous le vivons tous à notre manière, en fonction de notre personnalité et de notre histoire, le rejet, quand il nous blesse durablement, peut être lié à différents facteurs : - À la naissance, le fait de ne pas avoir été désiré. e peut créer une blessure extrêmement douloureuse, que ce rejet soit conscient ou non.
Il y a plusieurs raisons derrière l'impossibilité d'oublier son ex. La première raison est qu'on se sent incapable de vivre sans cette personne. Après avoir passé plusieurs années aux côtés de quelqu'un, des habitudes de vie s'installent et rendent la rupture dévastatrice.
Pour aller de l'avant, il faut se focaliser sur le présent et viser loin. Le passé, tirez-en des leçons et c'est tout. La première habitude à avoir est donc quelque chose que vous connaissez bien. Cependant, vous devez intégrer cette pratique à votre quotidien de façon plus rigoureuse à partir d'aujourd'hui.