Le traitement des discopathies consiste surtout à soulager la douleur lors des crises. Pour cela, on utilise des médicaments antalgiques, anti-inflammatoires et myorelaxants, associés à du repos. Des infiltrations de corticoïdes peuvent être réalisées lorsque les douleurs ne sont pas soulagées par les médicaments.
Une discopathie peut affecter un ou plusieurs disques. En outre, le disque L5 et S1 est le plus souvent touché. C'est également l'une des maladies les plus courantes affectant la colonne vertébrale ! Si la discopathie est sévère, elle peut également favoriser l'apparition d'arthrose.
Les épisodes de lombalgies, dorsalgies et cervicalgies durent de 15 jours à 3 mois. Ils peuvent se faire plus fréquents puis devenir chroniques. Chez certaines personnes, les douleurs sont si importantes qu'elles constituent un véritable handicap dans la vie personnelle ou professionnelle.
La discopathie est le plus souvent d'origine dégénérative : c'est l'arthrose vertébrale, une pathologie très fréquente en raison des sollicitations mécaniques quotidiennes que subit le rachis, et fortement corrélée à l'âge.
Le disque subit plusieurs phases de dégénérescence et tend à se ”dessécher” avec l'âge. Il ne peut donc plus assurer la souplesse et la résistance de la colonne vertébrale face aux chocs. Comme son nom l'indique, la discopathie dégénérative est une conséquence naturelle du vieillissement.
Le traitement des discopathies consiste surtout à soulager la douleur lors des crises. Pour cela, on utilise des médicaments antalgiques, anti-inflammatoires et myorelaxants, associés à du repos. Des infiltrations de corticoïdes peuvent être réalisées lorsque les douleurs ne sont pas soulagées par les médicaments.
La position idéale pour ceux qui souffrent de maux de dos est de dormir sur le côté, c'est-à-dire dans la position fœtale classique. Cette position est excellente car elle maintient les courbes naturelles de la colonne vertébrale.
Lorsque les douleurs de discopathie persistent à un niveau qui limite les activités de la vie quotidienne malgré un traitement médical (antalgiques, anti-inflammatoire, infiltrations) et une rééducation bien conduite, on peut envisager un traitement chirurgical.
La marche à pied et ses variantes comme la marche nordique ou la randonnée sont particulièrement indiquées en cas de mal de dos. "Ces activités permettent de muscler le dos et renforcer les muscles de la posture tout en gardant bien les courbures physiologiques de la colonne vertébrale, précise notre spécialiste.
Dans les formes les plus évoluées, la dégénérescence du disque peut entraîner un petit glissement d'une vertèbre sur une autre. Cette instabilité peut entraîner la compression de la racine d'un ou de plusieurs des nerfs qui sortent de la colonne vertébrale.
Les symptômes communs qui laissent présager qu'une discopathie dégénérative est à l'origine de la douleur cervicale chez un patient comprennent, sans s'y limiter, une douleur au cou, une douleur qui irradie jusque derrière les omoplates ou dans les bras, de l'engourdissement et des picotements, et parfois même des ...
En cas de discopathie L4L5 ou L5S1, le médecin prescrit des anti-inflammatoires qui permettent de soulager les douleurs. "Les anti-inflammatoires cortisoniques sont plus efficaces que les anti-inflammatoires non stéroïdiens si la personne est vraiment bloquée" informe le rhumatologue.
On parle de discopathie (disco = disque, pathie = maladie) protrusive en cas de hernie discale et de discopathie dégénérative (ou bien de discarthrose) en cas d'arthrose discale. La hernie discale est une des conséquences possibles de la détérioration d'un disque.
Les sports autorisés et conseillés
Natation, en faisant varier le crawl et le dos crawlé. Tous les sports cardio en salle comme le rameur, le vélo elliptique ou le steppeur. Toutes les activités faisant travailler la souplesse comme le yoga ou le tai chi, en évitant les positions douloureuses.
Douleur nerveuse par distraction exagérée lors de l'ouverture des plateaux vertébraux qui provoquent une tension excessive sur les racines. Lésions digestives : exceptionnelles, les brèches péritonéales sont facilement suturée. Risque d'éventration par faiblesse de la paroi abdominale suturée.
Le taux d'invalidité retenu est de 15%.
Le pincement discal est quelque chose de très fréquent. Il s'agit d'un disque situé entre les vertèbres et servant normalement d'amortisseur qui a tendance à s'écraser, se pincer; devenir plus fin. Tout d'abord, le pincement n'entraîne pas spécialement de problème par lui-même.
Il faut donc bien s'hydrater la journée, pour « repulper » le disque de son eau pendant la nuit. La meilleure position pour que le disque se réhydrate est la position « allongé sur le dos ». Cette position est encore plus réparatrice avec un coussin sous les genoux et une bascule du bassin.
Les patients ayant des douleurs au cou ou au dos associées à la discopathie dégénérative ne doivent pas tous subir une intervention chirurgicale. En fait, la plupart soulagent leurs symptômes par des traitements non chirurgicaux, comme l'exercice physique, les médicaments, la physiothérapie et les soins chiropratiques.
Inconvénients : Trop de pression sur les muscles et les articulations dû à l'absence de soutien par la colonne vertébrale. Peut provoquer des douleurs, des tensions et des engourdissements, notamment au niveau du cou et de la mâchoire.
Tout d'abord, allongez-vous sur le dos. Pliez ensuite vos genoux et ramenez-les lentement vers votre buste. Vous devez alors ressentir une légère tension dans les lombaires. Puis, relâchez vos genoux et étendez progressivement les jambes, sans à-coups.