Hisser une voile, c'est la tirer vers le haut pour l'établir et la préparer pour la navigation. Pour la tirer, on va utiliser un cordage qui s'appelle une drisse. Lorsqu'on hisse la GrandVoile, on veut donc tirer la voile vers le haut.
On commence généralement par hisser la grand-voile car elle permet de naviguer face au vent avec l'aide du moteur sans freiner le bateau (ce qui n'est pas le cas du génois). De nos jours, l'énorme majorité des voiliers de croisières sont équipés d'enrouleurs de génois.
Dans le vent léger, réglez d'abord le vrillage de grand-voile à l'aide de l'écoute. Pour les grand-voiles semi-lattées, bordez l'écoute de sorte que la latte supérieure soit plus ou moins parallèle à la bôme. 2. Ajustez ce réglage de manière à ce que le penon le plus haut soit à la limite du décrochement.
Petit largue ; c'est l'allure la plus rapide car elle conjugue trainée et portance. Au travers : C'est un juste milieu entre les réglages B et C. Les voiles se règlent l'une après l'autre.
Bien sûr, chaque tour du monde est différent, il est donc difficile de généraliser. Néanmoins, pour avoir une idée, l'achat de bateau coûte entre 50 000 € et 400 000 €. La location de bateau, quant à elle, revient plutôt entre 40 000€ et 100 000 € à l'année.
Le travers est l'allure la plus confortable, car rapide, avec le voilier qui ne gîte pas trop, mais qui reste tout de même calé par le vent (il ne roule pas).
Le vrillage
Vriller une voile c'est former une sorte de « S » sur la chute de la voile. Cela a pour action d'évacuer l'air en haut de la voile. Et cela peut nous aider, car plus on monte en altitude et plus il y a de vent.
Quel est le meilleur angle au vent ? En aérodynamique, l'efficacité optimale de l'angle d'incidence est atteinte lorsque cet angle est d'environ 15° à 20°. Cet angle est valable au vent de travers, après quoi la laminaire est inclinée vers le vent turbulent à l'arrière.
A l'inverse, ils doivent les border quand le bateau se rapproche du vent (le barreur lofe). Ainsi l'angle voiles-vent reste le même du près jusqu'au travers.
La corde qui sert à hisser les voiles sur un bateau s'appelle une drisse.
La grand-voile (anciennement grand'voile, main sail en anglais) est la voile principale sur un voilier à mât unique ou la plus grande voile portée par le plus grand mât sur un voilier à mâts multiples.
masc. MAR. À VOILES. Chacune des bandes horizontales d'une voile qu'on replie et qu'on serre sur la vergue au moyen de garcettes pour diminuer la surface de la voilure pendant le mauvais temps.
La combinaison néoprène protège du froid et de l'humidité. A prendre avec des manches longues ou courtes selon la saison de navigation, elle doit disposer des renforts au niveau des genoux et du fessier. Plus légère que la veste de quart, la vareuse protège du vent et de l'humidité.
Pour rester au sec et au chaud sur un voilier, il est nécessaire d'adopter les vêtements respirants et le principe des trois couches. Hiver comme été, les trois couches doivent permettre d'évacuer la transpiration et de protéger contre les embruns.
De 5 à 20 nœuds
C'est idéal pour pratiquer la voile habitable ou la voile légère, type dériveur. Les conditions sont maniables à toutes les allures — même au près — et l'on peut naviguer toutes voiles dehors.
Quatre vents principaux sont à distinguer parmi ceux que dirige le dieu des vents : Borée, le terrible vent hivernal du nord, Notos, le vent pluvieux du sud, annonciateur de l'été, Euros, vent automnal froid et violent de l'est et enfin Zéphyr, la douce brise printanière.
La manœuvre pour louvoyer ou tirer un bord s'effectue en quelques étapes. Rapprocher le voilier le plus près du vent soit à 45°, le voilier navigue « au plus près » Les voiles sont pratiquement bordées dans l'axe du bateau afin que le vent ait un écoulement laminaire.
Quelle est la vitesse moyenne d'un bateau ? Les bateaux à voiles (voiliers monocoques ou catamarans de croisière habitables) avancent généralement à une vitesse de 5 à 8 nœuds en fonction de la force du vent (cela correspond à une vitesse de 9 à 15 km/h).
La chute. C'est la partie libre de la voile, celle qui relie le point de drisse au point d'écoute. C'est souvent celle que l'on regarde pour régler proprement sa voile (aplatir la chute, vriller la voile…).
Ce qui empêche un voiliers de chavirer dans des conditions « normales », c'est le fait de posséder une quille qui le maintient à la verticale et lui offre une résistance pour l'empêcher de dériver latéralement dans l'eau. La quille contient du lest qui donne au bateau un centre de gravité plus bas.
Le réglage du pataras
On regarde le bateau depuis le côté (tribord). L'un des effets du pataras est d'ouvrir la chute de la grand voile. En effet, en cintrant le mât, on diminue la distance entre le point de drisse et le point d'écoute. La chute est alors moins tendue et elle « ouvre », elle peut « vriller ».
Expression renvoyant à une navigation en zigzag provoqué par un fort vent de face. Exemple : Marc le navigateur est obligé de tirer des bords car sinon le bateau ne pourrait avancer et on ne pourrait se rendre aux îles des Saintes.
Le Wally esense 143
Fruit d'une collaboration entre un designer français (Odile Decq) et américain (Bill Trip), c'est le plus beau et le plus grand voilier de la marque mythique de yachts monégasques avec ces 43,7 mètres de coque, tout en carbone.
Joliment dénommé L'Armania, cet Oceanis 46.1 constitue le moyen idéal pour réaliser le tour du monde. Très récent puisque construit à l'été 2021, il dispose de très grands volumes intérieurs qui conviendront à dix personnes. Elles se partageront les trois cabines spacieuses et bien aménagées. Le petit plus ?