La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes. La planète sera confrontée à des défis démographiques, économiques et climatiques de plus en plus importants. Ils doivent être pris en compte sans tarder pour éviter que l'inertie ne rende la situation irréversible.
La première grande évolution repose sur le fait que nous ne serons plus 100% humains en 2050. En effet, chaque être humain sera augmenté, car doté de micro-robots circulant dans son corps et d'un assistant personnel greffé à son cerveau (bot cérébral*, appelé Mini-Moi).
Les villes devront être autonomes en matière d'énergie. Des immeubles pourront être capables de générer de l'électricité grâce à des éoliennes et des panneaux solaires intégrés. Des architectes imaginent même des espaces verts sur les toits comme des jardins ou même des fermes.
En 2050, les jeux vidéo aura été beaucoup plus immersives qu'aujourd'hui, grace à les ordinateurs plus puissants et les nouveaux technologies comme la réalité virtuelle.
La population mondiale compte près de 8 milliards d'habitants en 2020. Elle n'en comptait qu'un milliard en 1800 et et a doublé au cours des cinquante dernières années (4 milliards en 1974). Elle devrait continuer à croître et pourrait atteindre près de 10 milliards en 2050.
C'est ainsi que naît l'objectif 2050 de la neutralité carbone à l'échelle planétaire. Cet objectif a depuis été réaffirmé à différentes échelles. Selon les experts du GIEC, atteindre la neutralité carbone d'ici 2050 est une condition sine qua non de la limitation du réchauffement climatique à +1,5°C.
En 2100 la Terre compte 11 milliards d'habitants, elle sort d'une crise énergétique de plusieurs décennies. Malgré une transition énergétique réussie le réchauffement climatique atteint +5°C, avec de graves conséquences pour la disponibilité de l'eau, de la nourriture et de l'habitat.
La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes. La planète sera confrontée à des défis démographiques, économiques et climatiques de plus en plus importants. Ils doivent être pris en compte sans tarder pour éviter que l'inertie ne rende la situation irréversible.
Écrire son futur idéal pour l'atteindre
Elle consiste à vous imaginer de manière très détaillée dans 6 mois ou 3 ans, vivant votre meilleure vie, et à le traduire en mots. Cet exercice concret, qui pousse à la réflexion, est un début d'action vers votre future moi.
D'après les données de l'Injep-Crédoc de 2022, la course et la marche sont les activités les plus pratiquées (47 % de pratiquants). Viennent ensuite le sport dans les clubs de remise en forme et la gymnastique (26 %) puis le vélo et les sports motorisés (21 %) ainsi que les activités aquatiques et la natation (19 %).
L'avenir de l'Europe dépend d'une planète en bonne santé. Les pays de l'UE sont déterminés à atteindre la neutralité climatique d'ici à 2050, respectant ainsi les engagements pris dans le cadre de l'accord de Paris.
en moyenne montagne à l'horizon 2050. des cumuls de pluie en été. Les sécheresses sont plus longues en été jusqu'à 5 à 10 jours supplémentaires. tropicales en plus sur la moitié nord de la France, et jusqu'à 50 nuits sur les régions méditerranéennes.
Selon lui, en 2050 notre civilisation sera à l'apogée de technologies comme l'intelligence artificielle, le machine learning ou encore le Big data. La logique voudrait donc que l'on puisse régler ses achats simplement en présentant sa paume de main, voire par la pensée ou même par anticipation.
Selon les prédictions du Dr Oliver Curry du Centre de recherche Darwin@LSE, les humains de l'an 3000 vivront facilement 120 ans. Leur taille atteindra 1,95 m et leur peau sera couleur café. Leurs attributs sexuels seront également plus gros: les pénis grossiront et les seins seront plus imposants.
En l'an 3000, la technologie devrait avoir complètement modelé notre corps. Selon un modèle développé en 3D, l'humain pourrait ressembler à « Mindy ». Une femme au dos courbé avec des coudes à 90° et… une deuxième paupière.
En 2100, les villes sont plus compactes et plus efficaces sur le plan énergétique. À cette date, la concentration en CO2 atteint 550 ppm (la population est de 8,5 milliards d'habitants), les températures mondiales sont en hausse, mais les conséquences des changements climatiques sont maîtrisées et en baisse.
La ville de demain aura plus de verdures. Il y aura même des immeubles-forêts, des maisons-conteneurs, des villes-îles, donc des cités flottantes. Il y aura moins de pollution grâce aux transports collectifs, aux taxis volants et aux voitures électriques.
Le destin le plus probable pour la planète consiste en son absorption par le Soleil dans environ 7,5 milliards d'années, après que l'étoile sera devenue une géante rouge et que son rayon aura dépassé celui de l'orbite terrestre actuelle.
Il faudra dès lors changer notre rapport utilitaire à la nature, mais aussi accepter la diversité culturelle et se mettre en quête d'une économie du partage, travailler dans un esprit de tolérance à l'égard des autres nations, et s'appuyer sur la spiritualité pour faire œuvre de civilisation dans le monde qui vient.
Le réchauffement climatique se poursuivra sur les 20 prochaines années, stimulé par une augmentation hallucinante des émissions de gaz à effet de serre. Concrètement, les températures sur toute la surface du globe ne cesseront de s'élever selon un mécanisme environnemental aux engrenages bien graissés.
En 2030, nous pourrions vivre, travailler, étudier et évoluer dans un monde nouveau. Notre vie pourrait être meilleure et plus numérique et centrée sur les données. «Si la plupart des technologies existent déjà, un potentiel inexploité subsiste pour les entreprises innovantes.
Comment pensez-vous que la planète sera en 2100 ? Le pire scénario climatique nous placerait dans une situation de véritable catastrophe. En l'absence de politiques climatiques, le réchauffement climatique devrait atteindre entre 4,1°C et 4,8°C au-dessus des niveaux préindustriels d'ici la fin du siècle.
Selon l'outil ClimatHD de Météo France, la région Provence-Alpes-Côte d'Azur devrait par exemple connaître "peu d'évolution des précipitations annuelles d'ici la fin du 21 e siècle". En cela, ce territoire peut être privilégié par les Français souhaitant accéder à la propriété d'ici 2030.