Parmi les plus efficaces, il y a les panneaux de polystyrène extrudé ou expansé et la mousse de polyuréthane giclée. Si vous ne disposez pas de ces isolants en continu, vous pouvez utiliser une membrane pare-humidité recouvrant la portion intérieure du mur de fondation qui se situe sous le niveau du sol.
Il faut donc des isolants perméables et perspirants : fibre de bois, ouate, chanvre, liège, etc.
Il existe des solutions peu coûteuses pour remédier à ce problème : La peinture isolante : Elle se pose comme une peinture classique et crée une sorte de barrière anti-froid sur les murs. Le liège en rouleau : Il est isolant et décoratif, et sa faible épaisseur permet de l'installer à peu près partout.
L'isolation des murs par l'intérieur qui consiste à placer des plaques d'isolant (liège, plaques de polystyrène, etc.) directement sur la paroi. Elle peut aussi être réalisée par soufflage. On soufflera alors un isolant entre le mur et une contre-paroi.
Cela dépend de l'épaisseur de choisie et des isolants comparés. La laine de verre étant le meilleur isolant mince, c'est elle qui présentera souvent le meilleur ratio isolation / épaisseur.
Pour isoler un mur de l'intérieur sans perdre trop de place, il est possible de projeter un isolant directement dans la cloison. On peut aussi choisir de poser des panneaux rigides, qui seront collés sur le mur. Certaines autres méthodes d'isolation des murs comme les peintures isolantes laissent quelquefois à désirer.
Classés par grandes catégories, les meilleurs isolants thermiques et phoniques en termes de rapport qualité / prix sont : Le liège, la laine de bois, le lin, le chanvre, la ouate de cellulose pour les isolants biosourcés. La laine de roche et la laine de verre pour les isolants minéraux.
À part le polyuréthane (déconseillé par Que Choisir en intérieur, voir encadré Matériaux), le mieux, c'est la laine de verre. On en trouve avec un λ de 0,03, contre une moyenne, tous isolants courants confondus, de 0,04. Soit 14 cm d'épaisseur au lieu de 18 pour une même résistance thermique.
Recourir à un enduit isolant extérieur de faible épaisseur. Il peut s'agir de polystyrène expansé et de fibre de verre ou bien encore d'un mortier colle. Un ragrément peut s'avérer indispensable avant de poser l'enduit. Il permet de gommer toutes les aspérités et irrégularités des murs.
n'est pas grave. qu'elle soit au contact direct du mur est une erreur grossière. il faut respecter une lame d'air de 2 à 3 cm pour que l'humidité qui peut se trouver sur le mur ne soit pas transmise à l'isolant.
Déterminez le centre du mur, en traçant deux perpendiculaires. Encollez le mur au rouleau, sur une surface correspondant à quelques dalles. Optez pour une colle acrylique, qui permet de repositionner le liège facilement. Placez la première dalle au niveau de l'intersection des deux perpendiculaires.
Pour une isolation des murs efficace et ainsi avoir accès aux subventions mises en place par l'État, il faut donc prévoir une épaisseur de 8 à 14 cm selon le matériau utilisé. Pour une isolation des murs élevée, prévoyez plutôt 11 à 20 cm d'épaisseur selon le type d'isolant posé.
La laine de verre comme le polystyrène sont deux isolants couramment utilisés dans le bâtiment. La laine de verre est employée pour l'isolation des toitures, tandis que le polystyrène est souvent préféré pour isoler les murs.
un panneau isolant en fibre de bois directement appliqué sur la façade, sur lequel on place un treillis et une couche d'accrochage. On applique alors un crépi. on place contre le mur un matériau isolant (chanvre, laine de verre, flocons de cellulose, etc) puis un panneau en fibre de bois.
Les produits réfléchissants minces sont des bons isolants, mais ils sont surtout réellement efficaces en complément d'isolation. De plus, lorsque le PMR est situé côté intérieur de la paroi (côté chauffé), il peut jouer le rôle de pare-vapeur.
Extrudé ou expansé, le polystyrène est un bon isolant thermique. Il présente une conductivité thermique comprise entre 0,029 et 0,038 W/m.K. ll favorise de ce fait peu les échanges de chaleur et permet de lutter contre les ponts thermiques.
Le pare-vapeur est déconseillé pour la construction neuve avec des matériaux sains, en ossature bois ou pour la rénovation de bâtisses construites avec des matériaux naturels. Sa valeur SD est très élevée : il transforme un logement en boite à oeufs thermique dont aucune paroi ne peut respirer.
Un mur intérieur mince demande une isolation spécifique
Étant à la fois simples d'application, robustes et faciles d'entretien, les isolants minces pourront s'associer à des matériaux plus classiques comme les laines minérales ou naturelles telles que la laine de bois, la laine de verre ou la laine de roche.
Fibres de bois : très bon isolant thermique et acoustique, la fibre de bois est en général utilisé sous forme de panneaux rigides résistant très bien à la compression et limitant les ponts thermiques.
Une sensation de paroi froide
Pour vous en assurer, faites ce test simple. Posez votre main sur un mur : si le mur est froid, c'est le signe d'une mauvaise isolation thermique ; si le mur est chaud mais se refroidit à proximité d'une fenêtre ou d'une porte, c'est le signe d'une mauvaise isolation de votre menuiserie.
L'épaisseur de la laine de verre pour les murs
Pour de nouveaux murs, il faudra arriver à 4 m2/K/W. Cela signifie qu'en utilisant une laine de verre offrant une conductivité thermique de 0,04 W/m.K, l'épaisseur de votre couche de laine de verre devra être de : 14,8 cm pour des murs anciens ; 16 cm pour des murs neufs.
L'isolation par lame d'air.
Cela consiste en créer un vide d'air de 2 cm entre l'isolant et la paroi. Cette solution est idéale pour les murs poreux, notamment dans les logements anciens.
Une lame d'air entre le mur et l'isolant sera nécessaire pour maintenir l'équilibre hydrique du mur. Les règles de l'art requièrent 2 cm minimum, de façon continue sur toute la paroi. Une isolation par l'intérieur avec doublage sur ossature respectant une lame d'air de 2 cm sur toute la hauteur du mur est recommandée.