Dans une classe de maternelle Montessori, les éducateurs présentent les activités et les aires de travail puis les mettent en libre-service. Les enfants sont ainsi maîtres de leur choix et évoluent librement, dans un cadre rassurant et structuré.
Donner du sens aux règles :
L'enfant a besoin de comprendre pourquoi il ne peut pas faire quelque chose dans l'immédiateté. L'enseignant doit l'aider à se familiariser à l'école maternelle c'est à dire à partager des lieux, des objets, des adultes avec d'autres enfants.
Encourager le travail d'équipe et la collaboration entre élèves. Le travail d'équipe, la collaboration entre élèves et la médiation par les pairs agissent positivement sur l'autonomie. Création d'espaces de travail collectif favorables, postures à adopter, communication bienveillante, etc.
Il s'agit d'accompagner l'autonomie des élèves par le développement de stratégies d'apprentissage adaptées et par l'entrainement à une réflexion analytique sur les tâches scolaires demandées. L'engagement de l'élève dans son apprentissage est ainsi soutenu.
- L'autonomie corporelle : l'enfant prend conscience de ses possibilités physiques, il apprend et contrôle les gestes quotidiens. - L'autonomie matérielle : gérer son matériel, le prendre, le ranger, etc. - L'autonomie spatio-temporelle : se situer dans l'espace et le temps, s'orienter.
Faire participer les enfants aux tâches quotidiennes de la maison a plusieurs bénéfices. Elles aident grandement à développer l'autonomie au quotidien de l'enfant. En effet, vous l'aidez à faire seul des actions qu'il aura à réaliser seul lorsqu'il sera adulte. Autant lui apprendre le plus tôt possible !
La résolution de problèmes, l'apprentissage coopératif et la participation active de l'élève dans l'évaluation formative sont trois pratiques pédagogiques qui peuvent favoriser l'autonomie de l'apprenant.
Du côté des élèves :
maintenir leur attention et se concentrer ; avoir la possibilité de répéter, de s'entrainer et ainsi d'automatiser des procédures, des savoir-faire, à leur rythme ; développer leur autonomie et respecter des règles de la vie quotidienne de la classe (utiliser, ranger, respecter le matériel...).
Christian Staquet dit, dans Pratiques de coopération en classe : rendre les élèves autonomes, responsables et solidaires, que l'autonomie permet d'apprendre la liberté ainsi que la prise de décision et d'initiatives. Lorsque les enfants sont autonomes ils doivent faire des choix pour résoudre leur problème.
Déléguez : confiez-lui des tâches à valeur ajoutée et invitez-le à prendre des décisions importantes. Encouragez la prise de risques : travailler en autonomie dans son travail, c'est aussi sortir des sentiers battus et oser découvrir des zones méconnues avec les risques que cela comporte.
L'autonomie scolaire est souvent regardée comme une capacité à savoir faire seul, sans l'adulte, dans le contexte d'actes personnels quotidiens comme l'habillage (“je sais faire mes lacets”), le passage aux toilettes, l'hygiène, l'alimentation, les déplacements ou la posture dans le coin-regroupement par exemple.
C'est un âge où l'enfant fait un bond en avant en matière d'autonomie. Il mange désormais seul, avec plus d'aisance et sans bavoir. Il est également propre et peut généralement se passer de couches.
La communication et la collaboration sont des outils importants pour développer l'autonomie des élèves en classe. En encourageant les élèves à discuter et à travailler ensemble, vous les aidez à développer leurs compétences sociales et à apprendre à travailler avec les autres.
L'apprentissage autonome comprend la prise de conscience et la gestion de ses processus d'apprentissage, notamment pour développer des dispositions relatives à la motivation, la maîtrise de soi, la persévérance, la flexibilité et la résilience.
Certains ont besoin de lire, d'autres d'écouter, ou encore de manipuler… Et parfois, les trois à la fois. Raison pour laquelle l'éducation doit s'adapter aux besoins de chaque enfant.
Le principe d'autonomie implique la liberté et la capacité de discernement pour décider et agir. Il rencontre des limites quand une personne est hors d'état de décider pour elle-même ou lorsqu'elle exprime un choix que les dispositions légales et réglementaires interdisent.
l'autonomie physique ( le fait d'accomplir, seul, les actes de la vie quotidienne). l'autonomie psychique ( le fait pour une personne de réfléchir, de prendre des décision seul). l'autonomie social ( le fait qu'une personne entretient des liens sociaux, de vivre et être en contact avec les autres).
L'autonomie est source d'épanouissement des compétences. Elle suppose la liberté de décider de l'organisation de son travail et de son temps. Ainsi les tâches à réaliser deviendront-elles pour vos collaborateurs une source de motivation.
L'autonomie n'est pas significative d'absence de liens, bien au contraire. Une personne autonome n'est pas une personne qui décide et agit seule, mais dont le pouvoir décisionnel et les capacités d'action sont soutenus par de multiples relations (sociales, techniques, institutionnelles, symboliques…).
La grille nationale Aggir : Aggir : Autonomie Gérontologie Groupe Iso Ressources permet de mesurer le degré de perte d'autonomie du demandeur de l' Apa : Apa : Allocation personnalisée d'autonomie .