Depuis sa formation il y a 4,5 milliards d'années, la Terre ne cesse de dégager de la chaleur, et donc de se refroidir. Cette chaleur provient majoritairement de la désintégration radioactive des composants des différentes enveloppes terrestres.
Une croûte refroidie, plus fragile
En dessous de celle-ci, l'énergie thermique a provoqué des événements majeurs, tels que la tectonique des plaques ou ce qui est observable aujourd'hui, des mouvements volcaniques. C'est ainsi que la Terre est dépeinte comme une planète active.
La Terre s'est donc refroidie jusqu'à atteindre une température de 1100°C. Alors que la Terre a environ 50 millions d'années, elle va entrer en collision avec une autre protoplanète (de la taille de Mars). Cette collision sera telle que la Terre va "fondre".
Selon ces scientifiques en géo-ingénierie solaire, relâcher dans l'atmosphère, grâce à des avions, des solutions chimiques comme le carbonate de calcium ou le dioxyde de soufre, pourrait permettre de diminuer de moitié la hausse des températures dans le monde, relaie le site du magazine d'affaires américain.
la force de gravitation (responsable d'une accélération de 9,8 m/s2) qui résulte de la masse de la Terre et qui nous attire vers son centre ; la force centrifuge (responsable d'une accélération d'environ 0,02 m/s2) qui résulte de la rotation de la Terre et qui a tendance à nous en éjecter.
Les faits: la Terre est attirée par le Soleil; elle ne tombe pas dessus, mais tourne autour. C'est la même chose qu'un satellite artificiel qui tourne autour de la Terre: il est attiré par elle, mais ne tombe pas parce qu'il tourne.
Le destin le plus probable pour la planète consiste en son absorption par le Soleil dans environ 7,5 milliards d'années, après que l'étoile sera devenue une géante rouge et que son rayon aura dépassé celui de l'orbite terrestre actuelle.
Les écosystèmes terrestres et marins sont aussi touchés, puisque l'aire de répartition traditionnelle de certaines espèces s'est déplacée sous l'effet du réchauffement. Celui-ci a également un impact négatif sur le rendement de cultures telles que le blé et le maïs.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
De jour, l'absorption du rayonnement solaire est bien supérieure à l'émission du sol à travers l'atmosphère si bien qu'au final le sol chauffe sur une faible épaisseur dizaine de centimètres. La nuit, l'absorption du rayonnement solaire n'a plus lieu et le sol se refroidit vers le ciel à travers l'atmosphère.
La Terre se refroidit et son noyau se solidifie
Quand, dans quelques milliards d'années, la graine occupera une grande part du noyau, le champ magnétique terrestre s'éteindra. Privée de ce bouclier, la Terre sera irradiée par le vent solaire.
Des gaz naturellement présents dans l'atmosphère, comme l'ozone (O3), la vapeur d'eau (H20), le protoxyde d'azote (NO2), le méthane (CH4) ou le dioxyde de carbone (CO2), empêchent une partie de ce rayonnement de s'échapper dans l'espace et le renvoient vers la terre, ce qui la réchauffe.
L'ellipticité trop faible fait que nous avons manqué cette période favorable pour un début de glaciation. Les prochaines périodes favorables de mise en glace auront lieu 23.000, 46.000 ou 69.000 ans après cette dernière période favorable (il ya 5000 ans approximativement), soit dans 18.000, 41.000 ou 64.000 ans.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
En zoomant sur la France métropolitaine, on constate qu'une hausse de 0,5 m serait "très probable" à l'horizon 2080-2100 et inonderait en conséquence une partie du littoral breton (Roscoff, Brest) et du Pays-de-Loire (Saint-Nazaire), mais aussi des Hauts-de-France (Dunkerque, Calais...), de Normandie (Dieppe, Le Havre, ...
En détruisant des habitats riches en vie animale, végétale et en insectes, le sucre serait la plantation qui détruit le plus de biodiversité dans le monde. En plus de son utilisation intensive d'eau et de pesticide, la culture de la canne à sucre ou de la betterave à sucre provoque aussi une forte érosion des sols.
La Terre est confrontée à une « triple crise planétaire » : le dérèglement climatique, la perte de nature et de biodiversité, et la pollution et les déchets. « Cette triple crise menace le bien-être et la survie de millions de personnes dans le monde.
Les éléments les plus pollueurs sur la planète
En effet, les gaz émis par les voitures, les déchets quotidiens, les fumées des usines ainsi que les déchets dans les égouts et ceux abandonnés en pleine nature, constituent les principales causes de la pollution.
La vie sur la terre s'arrêtera dans environ 2,8 milliards d'années, selon une étude menée par Jack o'Malley-James, astrobiologiste à l'université de St. -Andrews. Notre Soleil va lentement se réchauffer à mesure qu'il avancera en âge.
L'une des conséquences néfastes du réchauffement climatique sur les océans, mise à part la pollution globale et la hausse des températures de l'eau, c'est la désoxygénation.
Oui. Dans cinq milliards d'années, il se transformera en géante rouge, puis en naine blanche, qui se refroidira lentement. Le soleil dans son état actuel (en haut à gauche), comparé à la plus grande géante rouge observée par le satellite Kepler (au centre).