Après avoir trempé dans le lavoir, le linge était savonné et frotté sur la pierre avec la brosse à chiendent. Le linge savonné reposait ensuite, en tas, le temps d'allumer le feu sous la lessiveuse. Quand l'eau bouillait, on y mettait le linge, qu'on remuait avec une grande pince en bois, le temps de la bouillée.
On posait les baquets sur un poêle pour chauffer l'eau et on essorait le linge à la main. Puis l'essoreuse à deux rouleaux a fait son apparition dans les pratiques. Au fur et à mesure, on a mécanisé les processus, les machines à rotation électrique ont été inventées au début du XXe.
Le premier lave-linge mécanique arrive en 1851, toujours sous l'impulsion d'un Américain, James King. Le linge plongé dans de l'eau est dans cylindre hérissé de pâles dont la rotation est actionnée par une manivelle. En 1907, la première machine à moteur électrique naît grâce à un autre Américain, Alva Fischer.
Le lavage du linge autrefois : Autrefois on allait au lavoir . Un lavoir est un bassin public alimenté en eau détournée d'une source ou d'un cours d'eau, en général couvert, où les lavandières rincaient le linge après l'avoir lavé, en général chez elles. Le passage au lavoir était la dernière étape avant le séchage.
"La lessive se faisait aussi à la rivière, ou encore à la maison dans un bac avec de la cendre : on était tous pareils et personne n'en est mort". Pour la toilette, elle s'effectuait "à la cuisine, dans une bassine : tout le monde y passait et les parents se lavaient en dernier, quand les enfants étaient couchés.
Un bon lavage des mains a toujours été l'une des premières choses que les enfants devraient maîtriser. En 1930, tout comme aujourd'hui, ces enfants de maternelle se lavent les mains et le visage. Un garçon se fait essuyer la figure par l'enseignante, sûrement après le dîner.
Il servait, comme son nom l'indique, à taper le linge mouillé pour désincruster les tâches et le laver en profondeur. Le battoir s'employait pour la lessive « coulée », qui fut en usage jusqu'à la fin du XIXème siècle. C'est la dernière phase de du grand nettoyage du linge qui voit l'utilisation du battoir à linge.
Au fond de la lessiveuse se trouve un double-fond ou plateau perforé. L'eau bouillante remonte depuis le double fond dans la cheminée jusqu'au champignon, poussée par la vapeur produite par l'ébullition. Le champignon percé d'orifices arrose toute la surface du linge d'eau bouillante et de lessive (solution alcaline).
C'est le 22 Février 1906 que Jules Ronchetti déposa la marque de la première lessive pour laver le linge « autoactive », Persil, une contraction de perborate (agent de blanchiment oxygéné) et de silicate.
Sa fonction consistait à laver le linge grossier ou peu délicat, de clients, le plus souvent les torchons, les grands draps, les robes et habits communs. Une appellation voisine était buandière lorsque l'ouvrière travaillait en buanderie et non en plein air ou sous un toit de lavoir.
Lave-linge hublot: Les marques qui ont la meilleure fiabilité (122/200) sont Miele, Electrolux, Siemens. Si vous recherchez une machine avec une ouverture dessus, l'indice de durabilité est un peu plus faible, 106/200 mais privilégiez Indesit, Faure et Proline.
La laveuse à rouleaux est inventée en 1843 par John E. Turnbull à Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick. En 1866 apparaissent, en Angleterre, les premières machines à laver mécaniques fonctionnant à manivelles. L'Américain Alva John Fisher dépose un brevet concernant une machine à laver à moteur électrique en 1910.
Le brevet du premier lave-vaisselle semi-automatique est déposé par Josephine Cochrane en 1886.
Laissez vos vêtements bouillir à feu moyen pendant 30 à 45 minutes. Retirez ensuite la casserole du feu et laissez tremper vos vêtements dans la casserole jusqu'à ce que l'eau soit froide. Retirez ensuite les vêtements de la casserole et lavez les normalement.
Le bord du lavoir comportait en général une pierre inclinée. Les femmes, à genoux dans une sorte de bac en bois, le « garde genoux », jetaient le linge dans l'eau, le tordaient en le pliant plusieurs fois, et le battaient avec un battoir en bois sur la pierre afin de l'essorer le plus possible.
Raoul St Marc a créé en Gironde en 1902 une lessive appelée « Cendres de Lessive St Marc », mais c'est en 1950 que des peintres mélangent de la lessive St Marc à de l'eau et s'en servent pour décaper les murs. Dégraissante, elle fait des miracles. C'est depuis lors un fait acquis ; on lessive les murs.
Lessive (détergent) — Wikipédia.
La plupart des acheteurs considèrent Ariel comme la meilleure marque de détergents pour lave-linge du fait de sa longue expertise et le grand savoir-faire qu'elle met toujours en avant sur ses produits. Ce détergent en particulier se présente justement sous forme de poudre que vous pouvez facilement doser et utiliser.
Le bicarbonate de soude et les cristaux de soude
Il est, notamment, extrêmement efficace pour blanchir du linge en coton jauni. Pour le lavage à la main, vous devez mélanger une tasse de bicarbonate de soude avec de l'eau chaude. Trempez vos vêtements et votre parure de lit jauni dans le mélange.
Dans 4 l d'eau chaude, ajoutez 180 g de bicarbonate de soude et mélangez. Immergez le linge dans ce mélange. Laissez agir durant toute la nuit. Le lendemain, il ne vous reste plus qu'à rincer le linge.
Le vinaigre blanc
Pour dégriser ou déjaunir un textile, ajoutez simplement une tasse de vinaigre blanc dans le compartiment à lessive. En plus de retrouver sa blancheur d'origine, votre linge sera tout doux, le vinaigre étant un assouplissant naturel.
Donc, on s'assoyait sur un trou, et on s'essuyait les fesses en passant le tersorium par un autre trou, entre les jambes, jusqu'à ce qu'elles semblent « propres ».
Au Moyen Âge, comme avant au cours de l'Antiquité gréco-romaine et égyptienne, l'essuyage des fesses à l'aide d'un tissu dédié (et non un morceau de vêtement) est l'apanage des élites. Balle de laine, filaments de chanvre ou de lin (…) mais aussi dentelle, à chacun sa fibre.
Une rumeur raconte que les français sentent mauvais et ne se lavent que très peu. Cette légende internationale date du XVIème siècle, époque à laquelle les Parisiens se défaussaient de leurs déchets par les fenêtres, ne prévenant que très peu les passants.