Les principales causes de dégradation des sols sont anthropiques : agriculture intensive, déforestation, surpâturage, pollution industrielle, irrigation… Et cette dégradation risque de s'aggraver si rien n'évolue dans les pratiques agricoles et environnementales.
L'expansion rapide et la gestion non durable des terres cultivées et des pâturages est le principal facteur de dégradation des terres, causant une perte importante de biodiversité et affectant la sécurité alimentaire, la purification de l'eau et la production d'énergie notamment.
La dégradation physique des sols : L'érosion
L'érosion est le départ des terres agricoles soit avec l'eau de pluie (érosion hydrique) soit avec le vent (érosion éolienne). C'est l'érosion hydrique qui rend les inondations actuelles catastrophiques. En effet la force érosive de l'eau est liée au carré de sa densité.
Causes de la dégradation de l'environnement
Les types de pollutions les plus connus et étudiés sont la pollution du sol, la pollution atmosphérique, hydrique et acoustique, mais il y en a d'autres moins connus comme la pollution lumineuse, visuelle, thermique, électromagnétique, radioactive ou génétique.
Action d'endommager quelque chose, fait d'être abîmé, altéré ; détérioration : La dégradation de l'environnement. 2. Détérioration progressive d'une relation, d'une situation : Dégradation des relations internationales.
Gestion des déchets, industrie et situation transfrontalière
Les pratiques agricoles sont loin d'être la seule source de pollution des terres et des sols. Les déchets mal gérés, aussi bien municipaux qu'industriels, sont responsables de plus d'un tiers des contaminations locales, suivis par les activités industrielles.
limiter le lessivage et augmenter la biodiversité par la couverture des sols, valoriser l'eau de profondeur et limiter les apports d'eau par irrigation, limiter les apports en fertilisants minéraux en améliorant le fonctionnement racinaire, limiter au maximum le recours aux intrants non renouvelables et chimiques.
– les pesticides et assimilés (engrais, insecticides) ; – les pollutions atmosphériques (gaz des usines, fumées des véhicules, odeurs) ; – la pollution des eaux et des sols (pollution radioactive, chimique et biologique) ; – les nuisances diverses (bruits et émissions sonores, fumées des cigarettes et pipes).
L'adoption de certaines pratiques de conservation, comme les cultures intercalaires, la mise en place de bassins de rétention d'eau et la construction de terrasses peuvent permettre de réduire l'érosion des sols.
La dégradation peut être de trois formes : physique chimique ou biologique. Elle contribue à l'affaiblissement de la structure du sol induisant l'encroûtement, la compaction, et l'érosion.
Le sol résulte de l'union de la matière minérale (les argiles provenant de la roche mère) et de la matière organique (humus provenant des débris organiques). Les éléments minéraux du sol, soudés par le complexe argilo-humique, forment des agrégats entre lesquels circulent l'eau et l'air.
La terre devenant plus aride, elle se dégrade. Cela favorise les sécheresses, les incendies, la désertification, ainsi que la pollution de l'air par la mort des plantes et des arbres absorbeurs des gaz atmosphériques, responsables du changement climatique.
C'est pourquoi la Terre n'a pas encore synchronisé sa rotation avec l'orbite lunaire. Cela finira éventuellement par arriver, mais il faudra être patient : on estime que cela prendra encore… 50 milliards d'années.
Si ces effets saisonniers s'annulent, la tendance est au ralentissement par la faute des marées. Les mouvements des masses d'eau dissipent une partie de l'énergie de la Terre. Conséquence : une réduction de la vitesse de rotation, et donc une augmentation de durée de la journée d'environ 2,4 millisecondes par siècle.
Le destin le plus probable pour la planète consiste en son absorption par le Soleil dans environ 7,5 milliards d'années, après que l'étoile sera devenue une géante rouge et que son rayon aura dépassé celui de l'orbite terrestre actuelle.
Les principales causes de dégradation des sols sont anthropiques : agriculture intensive, déforestation, surpâturage, pollution industrielle, irrigation… Et cette dégradation risque de s'aggraver si rien n'évolue dans les pratiques agricoles et environnementales.
"Les cinq principaux facteurs de la perte de biodiversité sont les changements d'utilisation des terre (dont l'agriculture), la surexploitation (chasse pour la nourriture), les espèces invasives, la pollution et le changement climatique.
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
Ils permettent l'infiltration de l'eau, contribuent au stockage de l'eau et emmagasinent les éléments nutritifs pour les plantes. Ils résistent au compactage et offrent un environnement radiculaire sain et aéré.
En période de sécheresse, un sol sain et bien aéré a pu stocker cette l'eau et permet alors de mieux supporter les évènements arides. De plus, ces sols stockent le carbone responsable de ces dérèglements. En effet, en décomposant la matière organique, un sol sain capture le carbone des végétaux.
Le sol reçoit des déchets organiques et recycle leurs nutriments par l'intermédiaire des plantes. Il retient aussi et décompose certains déchets toxiques. Son rôle est si considérable dans la stabilité de la santé, de l'économie et de l'environnement planétaires qu'il faut le conserver et l'utiliser de manière durable.
Les éléments les plus pollueurs sur la planète
En effet, les gaz émis par les voitures, les déchets quotidiens, les fumées des usines ainsi que les déchets dans les égouts et ceux abandonnés en pleine nature, constituent les principales causes de la pollution.
Déchets, le détenteur responsable
L'article L. 541-2 du code de l'environnement dispose que tout producteur ou détenteur de déchets est responsable de la gestion de ces déchets jusqu'à leur élimination ou valorisation finale, même lorsque le déchet est transféré à des fins de traitement à un tiers.
Sites et sols pollués : des sources de pollution multiples
Les deux catégories de polluants les plus fréquemment identifiées dans les sols ou les nappes sont les métaux et métalloïdes (moins d'un quart de l'ensemble des pollutions des sols) et les hydrocarbures (moins d'un tiers).