– « Déjà-vu » : même signification qu'en français (avoir le sentiment d'avoir déjà vécu une situation)… mais évidemment à prononcer avec l'accent « déjà-vous ». – « Cliché » : les américains adore… « It's so cliché » !
Ainsi, « gosh » remplace « God » dans des expressions comme « Oh My Gosh », « By Gosh » ou tout simplement « Gosh ». Comme il était jadis jugé blasphématoire de prononcer le nom du Seigneur en vain, les gens lui ont inventé de nombreux mots de substitution, ou euphémismes, pour rester poli et éviter d'offenser Dieu.
En tant que français, la première règle de politesse américaine à respecter est de ne pas faire la bise pour saluer quelqu'un. Pour des personnes que vous connaissez pas ou peu, idem pour vos collègues de travail, optez pour la poignée de main (ferme de préférence) ou la combinaison sourire – hochement de tête.
La bise ? Oubliez. La coutume qui veut qu'on s'embrasse avant, pendant et après chaque rencontre avec 1, 2, 3, voire 4 bises, pas de ça aux États-Unis. Entre amis, la bonne manière américaine est de se prendre dans les bras, avec un tapotage franc dans le dos et un grand sourire.
Ils aiment l'architecture et la vie nocturne de notre chère capitale. Paris, c'est aussi le luxe et la mode. Ils l'aiment, et ils ont très envie d'y retourner encore et encore. Mais quelque chose les horrifie : les attentats.
Abréviation de " Oh my God ! ", employée dans les discussions électroniques instantanées, exprime familièrement une émotion vive et soudaine, suite à une information surprenante. Peut aussi bien exprimer le dégoût, le désarroi, que la joie, l'émerveillement.
“How are you doing?” ou “How is it going?” (littéralement : “comment ça va”) : Très utilisées par les anglophones, ces expressions sont similaires à “how are you” en termes d'usage et font aussi partie de celles qui n'appellent pas vraiment de réponse.
L'expression "big up" est un anglicisme témoignant une marque de respect ou d'admiration en faveur des personnes à qui elle est adressée. Exemple : Big up à tous les Bretons ici présents.
Ce sondage minore l'affection des Américains pour les Français puisque 65% des personnes interrogées (contre 75% chez Gallup) disent «goûter» les Français.
La légende raconte que nos amis américains seraient particulièrement friands de l'accent français… “Glamour”, “sexy”, “élégante”, la langue de Molière bénéficie de tous les adjectifs mélioratifs possibles et suscite un engouement certain outre-Atlantique.
On l'utilise pour «reconnaître le succès d'un coup en escrime ou la pertinence de l'argument de son partenaire ou d'un adversaire». C'est dans cette seconde acception que «touché» est de plus en plus à la mode parmi les Américains, tout particulièrement dans les échanges de discussion sur les réseaux sociaux.
Vous dire qu'avoir travailler à vos côtés m'a beaucoup apporté. Chaque journée de travail, j'ai été enrichi par votre présence. Faire partie de votre équipe, travailler avec vous fut une chance. Adieu et peut-être à bientôt si nos routes se croisent encore.
OK, cool, thanks. OK, super, merci. OK, cool, thanks. OK, c'est bon, merci.
Je vais bien, et toi? I'm fine, how are you?
Modification euphémistique de oh my God par remplacement de God (« Dieu ») par gosh .
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
Si les Européens et les Asiatiques sont de fervents sympathisants du baiser avec la langue à 70% et 73%, pour les habitants du Moyen-Orient, un baiser c'est avec la langue ou rien. Quant aux Américains, les trois quarts ne mettent pas la langue.
Selon lui, c'est principalement par désillusion que l'élite américaine est venue étudier en France au XIXe siècle. « Ils rêvaient de la France, ils désiraient la France, et ils n'avaient pas peur d'y aller parce qu'ils étaient désenchantés par leur propre pays.