le pistolet à tige perforante (couramment appelé matador) : utilisé principalement chez les bovins. Son application provoque des lésions au cerveau. Il provoque une perte instantanée de conscience et de sensibilité de l'animal ; l'électronarcose : utilisée principalement pour les porcs, les ovins et les volailles.
Le pistolet à tige perforante (ou matador) est principalement utilisé pour l'étourdissement des bovins, mais également pour celui des moutons, chèvres, porcs, chevaux… Posé sur le front de l'animal, l'outil permet de perforer le crâne jusqu'au cerveau, ce qui génère une onde de choc et la destruction des tissus.
Ainsi en France, l'anesthésie manuelle concerne désormais une minorité de porcs. Pour tous les autres, Griot (ITP) relevait il y a 5 ans (Viandes et produits carnés, n°99) que l'anesthésie se faisait à haut voltage (600-780 volts) et que la saignée intervenait en moins de 10 secondes (5 en moyenne).
Selon AVS (À Votre Service), label de certification halal, en France 70 % des bêtes abattues rituellement sont des volailles ; et sur ces 70 %, 90 % sont étourdies par électronarcose avant la saignée (comme en abattage standard).
La contention des animaux est réalisée grâce à des équipements adaptés pour permettre leur immobilisation. L'étourdissement est effectué à l'aide d'un pistolet d'abattage, ou Matador, qui déclenche la perte de conscience immédiate de l'animal.
Marie Le Bourdonnec l'affirme : "L'abattage par égorgement est le plus efficace pour. éviter le stress de l'animal, et je le constate tous les. jours.
Lorsque la viande kasher est abattue, l'homme qui va tuer l'animal dit une prière. Il pratique ensuite une incision dans la gorge de l'animal afin d'en faire sortir tout le sang. Ensuite, il se lave les mains à l'eau avant de le découper.
L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) nous a confirmé, de son côté, que l'abattage rituel ne cause pas davantage de douleur à l'animal.
le pistolet à tige perforante (couramment appelé matador) : utilisé principalement chez les bovins. Son application provoque des lésions au cerveau. Il provoque une perte instantanée de conscience et de sensibilité de l'animal ; l'électronarcose : utilisée principalement pour les porcs, les ovins et les volailles.
L'abattage sans étourdissement des animaux est organisé afin de garantir le libre exercice des pratiques religieuses dans le respect des dispositions réglementaires relatives à la protection animale, l'hygiène alimentaire et la protection de l'environnement.
En France, l'électronarcose par bain d'eau est la méthode d'étourdissement la plus répandue dans les abattoirs de volailles. Hautement décriée4, cette pratique nécessite d'accrocher les oiseaux encore conscients par les pattes.
Le sang est centrifugé et additionné d'anticoagulants dans les différents éta- blissements. Il est ensuite réfrigéré à une température de 4°C et transporté vers le siège d'exploitation de .
Cette technique consiste à faire passer un courant au travers de la tête de l'animal en utilisant une pince bi-temporale. Dans le principe, elle se rapproche du système mural disponible dans les exploitations où l'on pratique l'abattage à la ferme.
En Europe, l'abattage rituel est aujourd'hui interdit en Autriche, en Suisse, en Norvège, en Slovénie, en Islande, au Danemark et en Belgique.
Le but de cette technique est de drainer plus efficacement le sang du corps de l'animal, afin que la viande soit plus hygiénique, car selon les croyances de l'époque de l'institutionnalisation de la pratique, le sang est un vecteur de maladie.
L'étourdissement préalable avec un pistolet à projectile captif est imposé en 1974 en France. L'abattage des chevaux y a beaucoup diminué depuis le milieu du XX e siècle, ce qui représente une exception parmi l'évolution de l'abattage des animaux de boucherie.
Pour que la viande soit halal, l'animal doit être égorgé sans avoir été préalablement étourdi. La tête de l'animal doit être tournée vers la Mecque et des paroles sacrées doivent être prononcées par le sacrificateur au moment où il coupe la carotide et les jugulaires.
Il existe également quelques cimetières animaliers dans lesquels vous pouvez faire enterrer votre animal. Ce service est généralement payant. Jeter la dépouille de son animal dans une poubelle, un égout ou tout autre lieu est interdit et peut être puni d'une amende de 3 750 €.
Selon le Coran, les seuls aliments explicitement interdits sont la viande d'animaux qui meurent d'eux-mêmes, le sang, la viande de porc et toute nourriture dédiée à l'adoration d'un autre que Dieu, c'est-à-dire pour laquelle on a invoqué le nom d'un autre que celui d'Allah.
On peut donc dire que les insectes ne ressentent pas la douleur. Chez les animaux capables de nociception, reste à savoir s'ils ont aussi la conscience de souffrir comme les vertébrés à sang chaud (mammifères, oiseaux).
La loi halal exige que l'on prie à Allah avant ou pendant l'abattage de chaque animal, mais la loi kasher ne requiert pas de prière avant chaque abattage. Un shochet, ou un rabbin spécialement formé, doit abattre l'animal, tandis que tout adulte musulman, chrétien ou juif peut l'abattre en vertu de la loi halal.
En France, sauf pour les abattages rituels qui bénéficient d'une dérogation, les moutons et les agneaux sont « étourdis » au moyen d'une pince à électronarcose avant d'être saignés.
Notre système digestif n'aime pas la viande
Les intestins des humains sont beaucoup plus longs, comme ceux des mangeurs de plantes. Cela donne au corps plus de temps pour décomposer les fibres et absorber les nutriments des aliments d'origine végétale.
Le but de cette technique est de drainer plus facilement le sang du corps de l'animal, afin que la viande soit “plus hygiénique”. Le sang doit être vidé de l'animal.