Les émissions de polluants atmosphériques de l'industrie proviennent de processus de combustion (chaudières, fours, moteurs…) ainsi que de certains procédés de production (fabrication d'engrais, cuisson de matières calcaires en cimenterie, production de chaux, production d'ammoniac et d'acide nitrique...).
Ces polluants ont deux origines principales : la production de produits chimiques, en particulier, celle des pesticides, des PCB et de l'hexachlorocyclohexane ; la production non-intentionnelle, en particulier par combustion, notamment la combustion du bois et dans les incinérateurs d'ordures ménagères.
Certaines activités génèrent des poussières qui contribuent à la concentration de particules dans l'air, tandis que l'utilisation de solvants, par exemple dans la transformation des métaux ou la production chimique, peut entraîner des émissions de composés organiques polluants.
La pollution industrielle peut prendre 3 formes différentes : La pollution de l'air avec les fumées qui sont rejetées par les usines. La pollution des sols et de l'eau avec le rejet des eaux usées ou de déchets industriels. La pollution sonore causée par le bruit qu'engendre l'activité industrielle.
Toutefois, les principaux sites industriels européens représentent une part importante des émissions de polluants et de gaz à effet de serre. Ils ont également un impact majeur sur l'environnement en polluant l'eau et le sol, en produisant des déchets et en consommant de l'énergie.
On appelle pollution de l'air un ensemble de gaz et de particules en suspension présents dans l'air (intérieur ou extérieur) dont les niveaux de concentration varient en fonction des émissions et des conditions météorologiques, et qui sont nuisibles pour la santé et l'environnement.
Les combustibles fossiles comme le pétrole, le gaz naturel, ou le charbon, constituent la principale source de polluants atmosphériques.
Les polluants dans l'atmosphère peuvent être d'origine naturelle (ils sont alors émis par la végétation, l'érosion du sol, les volcans, les océans, etc.) ou d'origine anthropique, c'est-à-dire qu'ils sont "émis" par les activités humaines.
Ainsi, en 2020, la Chine arrive en tête d'un tel classement avec des émissions de CO2 représentant 9 899 millions de tonnes, soit plus de 30 % des émissions mondiales. Les États-Unis sont à la deuxième place avec 4 457 millions de tonnes de CO2 émis (13,8 % du total mondial).
Nous sommes tous responsables.
de l'agriculture, des industries et de la production d'énergie, du brûlage à l'air libre des déchets (déchets verts, du B.T.P. …). Ces activités émettent également des gaz à effet de serre : gaz carbonique, méthane, protoxyde d'azote, gaz fluorés…
La cause la plus significative de la pollution de l'air ambiant à l'intérieur des lieux d'habitation dans un monde en voie de développement est la combustion du charbon ou des carburants non transformés (bois, fumier animal et déchets) prélevés sur la biomasse pour le chauffage, la cuisson ou l'éclairage.
Selon le type de polluant, on peut classer la pollution en trois catégories : pollution physique, pollution chimique et pollution biologique.
et les activités humaines (industries, transports, agriculture, chauffage résidentiel, etc.) sont à l'origine d'émissions de gaz et de particules dans l'atmosphère. Une fois émises dans l'air, ces substances sont transportées sous l'effet des vents, de la pluie, des gradients de température dans l'atmosphère.
Les polluants présents dans l'air (composés organiques volatils, particules fines, pollens …) sont également des facteurs aggravants de l'asthme et des allergies respiratoires.
La pollution de l'air extérieur entraîne le cancer du poumon
Des chercheurs ont également constaté que le radon présent dans l'air intérieur peut mener au cancer du poumon. La recherche démontre par ailleurs un lien entre la pollution de l'air extérieur et une hausse du risque de cancer de la vessie.
Aérez régulièrement les pièces. Si nécessaire, utilisez un système de filtration pour piéger les allergènes. Entretenez ou nettoyez fréquemment les filtres de l'unité de climatisation. Pour améliorer encore la qualité de l'air intérieur, évitez les peintures toxiques qui émettent des gaz et des composés dangereux.
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Répartition sectorielle des émissions de CO2 dans le monde
En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
En détruisant des habitats riches en vie animale, végétale et en insectes, le sucre serait la plantation qui détruit le plus de biodiversité dans le monde. En plus de son utilisation intensive d'eau et de pesticide, la culture de la canne à sucre ou de la betterave à sucre provoque aussi une forte érosion des sols.
Très abondants et très courants dans l'air intérieur, ce sont : Le monoxyde de carbone ou CO : ce gaz est incolore, inodore et mortel à forte concentration.
Au final, 2 % des rejets mondiaux de CO2 sont émis par les avions de ligne ! Mais les avions rejettent également d'autres gaz comme l'oxyde d'azote (NOx), le monoxyde de carbone (CO), les hydrocarbures (HC), le dioxyde de soufre (SO2) et les particules en suspension PM10 et PM2,5.