L'océan et la photosynthèse de ses organismes végétaux (le phytoplancton notamment) absorbent le CO2 et produisent de l'oxygène (O2). L'océan absorbe ainsi 30% du CO2 de la planète et produit entre 50% et 75% de l'oxygène que nous respirons, selon les sources et les zones géographiques (16).
L'oxygène est apporté dans l'eau par la photosynthèse des plantes aquatiques et principalement du phytoplancton, et par diffusion au niveau de l'interface air – eau.
C'est plus précisément le phytoplancton, ou plancton végétal, qui en est le véritable responsable.
Le procédé physico-chimique (représente 90% de l'absorption) : le CO2 est transmis à l'océan par simple dissolution du gaz dans l'eau de mer. Plus les eaux sont froides, plus la quantité de carbone absorbée est grande (le CO2 est plus soluble dans l'eau froide).
La photosynthèse consomme du dioxyde de carbone et de l'eau pour produire du glucose et du dioxygène. Le glucose constitue le « carburant » de la croissance de la plante. La respiration cellulaire quant à elle va consommer une partie de ce glucose et de l'oxygène pour former de l''oxygène et de l'eau.
La majorité des moyens mécaniques utilisés pour oxygener l'eau d'un bassin le font à de faibles profondeurs, là où la température est plus élevée, et au fur et à mesure que la profondeur augmente, la température diminue et, avec elle, l'oxygène dissous dans l'eau.
L'arbre représente un véritable atout pour notre environnement. Lui et son écosystème associé possèdent bien des bénéfices.
Une partie du plancton, le plancton végétal ou micro-algues, se comporte comme les plantes vertes : grâce à la photosynthèse, il absorbe du dioxyde de carbone et produit plus de 50 % de l'oxygène de l'air que nous respirons.
Un puits de carbone est un réservoir naturel ou artificiel qui absorbe et stocke le carbone de l'atmosphère, grâce à des mécanismes physiques et biologiques. Le charbon, le pétrole, les gaz naturels, les hydrates de méthane et les roches calcaires sont autant d'exemples de puits de carbone.
En effet, la circulation thermohaline contribue à enfouir le CO2 dans les eaux profondes : lorsque les eaux froides et denses plongent vers le fond de l'océan, elles « emportent » avec elles les molécules de CO2 dissoutes en surface et contribuent ainsi à la répartition verticale du CO2 dans les océans.
La majorité de l'oxygène 16 est synthétisée à la fin du processus de fusion de l'hélium au sein d'étoiles massives mais une partie est aussi produite lors des réactions de fusion du néon. L'oxygène 17 est principalement issu de la fusion de l'hydrogène en hélium au cours du cycle CNO.
Ce que nous appelons « air » se compose de…
L'air sec se compose d'environ 78 % d'azote, 21 % d'oxygène et 1 % d'argon. L'air contient également de la vapeur d'eau qui représente entre 0,1 et 4 % de la troposphère. L'air chaud contient généralement plus de vapeur d'eau que l'air froid.
Palmier Kentia
Non seulement cette espèce de palmier est magnifique dans les salons, les bureaux et les chambres, mais la nature l'a conçue pour agir comme un moteur capable d'absorber de grandes quantités de dioxyde de carbone et de rejeter de l'oxygène, tout en éliminant les toxines présentes dans l'air ambiant.
Prisée par les sportifs, l'eau Oxygizer est la favorite des coureurs, joggers mais aussi de tous ceux désireux de boire une eau enrichie en oxygène et d'une extrême pureté.
D'après les chercheurs, ce déclin est directement lié à l'activité humaine. En haute mer, le changement climatique, dû aux gaz à effet de serre, est le principal responsable.
Le premier critère qui distingue la mer de l'océan est avant tout une histoire d'étendue. L'océan est plus grand ! Pour vous donner un ordre d'idée, le plus petit océan, l'Arctique, fait 14,09 millions de km². Alors que la mer la plus grande, la mer d'Arabie, s'étend sur 3,6 millions de km².
Le CO2 se dissout de préférence dans les eaux froides des hautes latitudes puis est emporté par les courants qui rejoignent le fond. Ce phénomène est temporaire. Les courants de fond mettent des centaines d'années à parcourir la planète et finissent par remonter à la surface.
L'augmentation rapide des gaz à effet de serre dans l'atmosphère provoque l'accumulation de chaleur au sein du système climatique. L'océan absorbe plus de 90 % de l'excès de chaleur accumulé dans le système climatique et se réchauffe.
I Les sources et les puits de dioxygène
Tous les êtres vivants consomment du dioxygène en respirant : la. En plus de la respiration, les végétaux chlorophylliens réalisent la photosynthèse qui libère du dioxygène : la photosynthèse est donc une source de dioxygène.
L'océan, réservoir de chaleur
« La machine climatique fonctionne grâce à l'énergie solaire et l'océan en est le principal récepteur : il absorbe près de 60 % du rayonnement solaire qui entre dans le système climatique. L'atmosphère, assez transparente au rayonnement solaire, en absorbe deux fois moins. »
L'Océan a été traditionnellement subdivisé en trois grands ensembles (Atlantique, Indien et Pacifique), séparés par des limites de continents, mais aussi distingués par leurs caractéristiques structurelles, composition et circulation de l'eau.
Durant la journée, les plantes profitent de la photosynthèse. Elles rejettent plus d'oxygène que de CO2. Durant la nuit, il n'y a plus de photosynthèse, les plantes respirent. Elles ne rejettent plus que du CO2, c'est pas très bon ça !
« Poumon vert » est une expression anthropomorphique souvent utilisée pour caractériser les grandes forêts tropicales, voire les forêts en général, dans la mesure où elles fixent le CO2 atmosphérique grâce à la photosynthèse.
À chaque fois que la photosynthèse produit de la matière organique contenant 12 g de carbone, il y a production de 32 g de dioxygène. L'O2 est donc libéré dans la proportion de 32/12 par rapport au C incorporé au cours de la photosynthèse.
La température a aussi un effet, car l'eau froide peut accueillir une concentration plus élevée d'oxygène dissous que l'eau chaude. La concentration en oxygène dissous peut donc être plus basse en été. Les petits plans d'eau sont plus sensibles aux écarts de température et au débit.